1Je remercie vivement tous ceux qui ont appuyé mon travail, et d’abord Michel Espagne, qui a dirigé la thèse dont ce livre est issu. Merci à Étienne François de m’avoir accueillie au Centre Marc Bloch de Berlin, et d’avoir suivi si chaleureusement la progression de l’enquête. A Thomas W. Gaehtgens et à Pierre Rosenberg qui, par leur enthousiasme communicatif et leur bienfaisante Tatkraft, en ont rendu possible la publication. Merci à Michael S. Cullen de m’avoir suggéré l’idée de cette recherche, à Dominique Poulot de l’avoir efficacement éclairée et à Christophe Duhamelle pour ses encouragements amicaux. Grâce à Isabelle Le Masne de Chermont, Marie-Anne Dupuy et Daniela Gallo, j’ai eu la chance d’être associée à la belle aventure de l’exposition et du colloque Denon au Louvre, et de voir ainsi de grands professionnels au travail. Merci particulièrement à Monica Preti-Hamard, Lina Propeck et Geneviève Bresc d’avoir guidé mes pas. A la Bibliothèque nationale, je n’oublie ni la gentillesse d’Ursula Baurmeister, qui m’a consacré de longs moments, ni la fermeté bienveillante de Marie-Pierre Laffitte. L’identification et la localisation des œuvres transférées à Paris voici deux siècles aurait été impossible sans l’accueil toujours favorable que le projet a reçu en Allemagne : merci à Jochen Luckhardt, Alfred Walz, Thomas Döring et Silke Gatenbröcker du musée Herzog-Anton-Ulrich à Brunswick ; à Christoph Martin Vogtherr et Gerd Bartoschek à la galerie de peinture du château de Sanssouci à Potsdam ; à Andreas Scholl et Horst Getter du musée des Antiques de Berlin, et, toujours à Berlin, à Bernhard Maaz et à Astrid Dostert ; merci également à Krishna Hegner, au musée de Schwerin ; à Bernhard Schnackenburg, Peter Gercke, Rudolf-Alexander Schütte et Ekkehard Schmidberger des musées de Cassel ; et à Danièle Héritier à Berne. Merci enfin à Nicolas Labasque pour sa patience et son professionnalisme. A Susanne Faraut, Olivier Grussi et Jacques-Antoine Bresch d’avoir donné forme au manuscrit avec tant de soins, de précision et de goût, et aux amis du Centre Marc Bloch de leur solidarité sans faille.