Évocation de Daniel Fabre au ministère de la Culture
2006-2016
p. 21-32
Extrait
1Daniel Fabre était un tout jeune universitaire lorsqu’il prit part, à la fin des années 1970, au groupe de travail qui réfléchissait à la mise en place d’une politique en ethnologie de la France et à la création de la mission du Patrimoine ethnologique1 (MPE). C’est au cours des dix dernières années de sa vie, entre 2006 et 2016, que je l’ai côtoyé, alors qu’il était un chercheur de grande renommée, et c’est avec à l’esprit cette stature internationale que je l’abordais peu de temps après mon arrivée à la tête de la mission ethnologie, héritier d’une lignée déjà assez longue de conservateurs chartistes qui, à un moment ou un autre de leur vie professionnelle, avaient choisi de « passer par l’ethno ». Tout au long de cette période, je l’ai rencontré, de manière assez régulière, au gré des rendez-vous, réunions, séminaires, colloques ou journées d’étude qui étaient organisés par le Lahic, le Garae, la mission ethnologie puis le département du Pilotage de la recherche2. Comme po
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