1 Guglielmo Ferrero, Le génie latin et le monde moderne, Paris, Grasset, 1917, p. 24.
2 Amotz Giladi, « L’idéologie panlatine et les méandres des rapports franco-italiens : le cas de la Revue des nations latines (1916-1919) », La Revue des revues, no 49, printemps 2013, p. 45-56.
3 Amotz Giladi, « L’idéologie panlatine et les méandres des rapports franco-italiens : le cas de la Revue des nations latines (1916-1919) », La Revue des revues, no 49, printemps 2013, p. 52.
4 À ce sujet, Juliette Bessis, La Méditerranée fasciste. L’Italie mussolinienne et la Tunisie, Paris, Karthala, 1981, p. 33 : en Italie, on s’emportait contre « la trahison de 1881 », et les Français s’opposaient à la « Tunisi nostra ».
5 Pierre de Nolhac, Le testament d’un Latin, Paris, Plon, 1929, p. 28.
6 Charles Maurras, « Les forces latines », préface dans Marius André, La fin de l’empire espagnol d’Amérique, 1922, réimprimé la même année dans le numéro de février de la Revue de l’Amérique latine, édition électronique réalisée par Maurras.net et l’Association des amis de la maison du Chemin de Paradis, 2011, document en ligne, consulté le 23 août 2019 : http://maurras.net/textes/196.html
7 Charles Maurras, Quand les Français ne s’aimaient pas. Chronique d’une renaissance, Paris, Nouvelle librairie nationale, 1916, p. 123-125 et 143. Les citations proviennent de textes de Maurras publiés en 1900 et 1902.
8 On ne peut passer sous silence le grand engagement humanitaire de Follereau qui s’est particulièrement occupé des lépreux.
9 Constantin Frantz, Louis Napoleon. Von dem Verfasser „Unserer Politik“, 2e éd., Berlin, F. Schneider, 1852. Par la suite Frantz changea son avis positif sur Louis Napoléon. En 1850, Frantz avait publié à Berlin, également de manière anonyme, le livre Unsere Politik.
10 Constantin Frantz, Louis Napoleon. Von dem Verfasser „Unserer Politik“, 2e éd., Berlin, F. Schneider, 1852, p. 31.
11 Constantin Frantz, Masse oder Volk. Louis Napoleon, édité par et avec une introduction de Franz Kemper, Potsdam, Protte, 1933.
12 « L’impossible Union latine » – tel est le sous-titre du livre de David Mataix, L’Europe des révolutions nationales 1940-1942. L’impossible Union latine, Paris, L’Harmattan, 2006.
13 Voir Christophe Poupault, « Les voyages d’hommes de lettres en Italie fasciste. Espoir du rapprochement franco-italien et culture de la latinité », Vingtième siècle. Revue d’histoire, no 104, octobre-décembre 2009, p. 67-79.
14 Nina Valbousquet, compte rendu sur l’ouvrage de Jérémy Guedj, Le Miroir des désillusions. Les Juifs de France et l’Italie fasciste (1922-1939), Histoire@Politique. Politique, culture, société, document en ligne, consulté le 15 avril 2019 : https://www.histoire-politique.fr/index.php?numero=1&rub=comptes-rendus&item=370.
15 Cité d’après Christophe Poupault, « Les voyages d’hommes de lettres en Italie fasciste. Espoir du rapprochement franco-italien et culture de la latinité », Vingtième siècle. Revue d’histoire, no 104, octobre-décembre 2009, p. 74.
16 Pierre de Nolhac en 1932 dans un article pour le bulletin mensuel France-Italie, cité d’après Christophe Poupault, « Les voyages d’hommes de lettres en Italie fasciste. Espoir du rapprochement franco-italien et culture de la latinité », Vingtième siècle. Revue d’histoire, no 104, octobre-décembre 2009, p. 75.
17 Louis Gillet, cité d’après Christophe Poupault, « Les voyages d’hommes de lettres en Italie fasciste. Espoir du rapprochement franco-italien et culture de la latinité », Vingtième siècle. Revue d’histoire, no 104, octobre-décembre 2009, p. 76.
18 Juliette Bessis, La Méditerranée fasciste. L’Italie mussolinienne et la Tunisie, Paris, Karthala, 1981, p. 169.
19 Mussolini, le 26 mars 1939, dans un discours devant les squadristes, les groupes paramilitaires fascistes de combat ; voir Juliette Bessis, La Méditerranée fasciste. L’Italie mussolinienne et la Tunisie, Paris, Karthala, 1981, p. 260-261.
20 Selon le ministre italien de l’Éducation, Giuseppe Bottai, dans son journal du 13 avril 1939, d’après David Mataix, L’Europe des révolutions nationales 1940-1942. L’impossible Union latine, Paris, L’Harmattan, 2006, p. 79. Le commentaire de Mauriac d’avril 1939 se trouve dans ses Mémoires politiques, Paris, Grasset, 1967, p. 68.
21 Charles Mauriac, Mémoires politiques, Paris, Grasset, 1967, p. 64-66.
22 Cité d’après Galeazzo Ciano, Ciano’s Diary. 1939-1943, édité par et avec une introduction de Malcolm Muggeridge, Londres, Heinemann, 1947, p. 49, 90 et 383 [traduction libre].
23 Charles Maurras, Vers l’Espagne de Franco, Paris, Éditions du Livre moderne, 1943, p. 150-152.
24 Cité d’après Matthieu Séguéla, Pétain-Franco. Les secrets d’une alliance, Paris, Albin Michel, 1992, p. 233. À ce sujet, voir aussi Michel Catala, Les relations franco-espagnoles pendant la Deuxième Guerre mondiale. Rapprochement nécessaire, réconciliation impossible 1939-1944, Paris, L’Harmattan, 1997.
25 Voir Helena Pinto Janeiro, « Salazar et les trois France (1940-1944) », Vingtième siècle. Revue d’histoire, no 62, avril-juin 1999, p. 39-50.
26 D’après Michel Catala, Les relations franco-espagnoles pendant la Deuxième Guerre mondiale. Rapprochement nécessaire, réconciliation impossible 1939-1944, Paris, L’Harmattan, 1997, p. 224.
27 David Mataix, L’Europe des révolutions nationales 1940-1942. L’impossible Union latine, Paris, L’Harmattan, 2006, p. 308 et 310.
28 Cité d’après Michel Toda, Henri Massis. Un témoin de la droite intellectuelle, Paris, La Table Ronde, 1997, p. 267-268. Dans la vision de Mussolini de la société fasciste, le parti fasciste déterminait la vie politique de la nation, l’Église catholique la vie spirituelle. Après la « prise de pouvoir » par Mussolini, des crucifix furent placés dans toutes les classes scolaires, les salles d’audience des tribunaux et les chambres des hôpitaux. L’insulte aux prêtres était considérée comme un délit pénal, le catholicisme devait être enseigné dans les écoles publiques, les salaires des prêtres étaient augmentés par des subventions publiques.
29 Henri Massis, Entretien avec Mussolini (septembre 1933), Paris, Les Amis d’Édouard, 1937. Henri Massis, « Mussolini ou la dictature des choses », dans id., Chefs, Paris, Plon, 1939, p. 49-81. Je cite d’après cette dernière publication.
30 Henri Massis, « Salazar ou la dictature de l’intelligence », dans id., Chefs, Paris, Plon, 1939, p. 83-137.
31 Henri Massis, « Franco, soldat de Dieu », dans id., Chefs, Paris, Plon, 1939, p. 139-175.
32 Les textes des deux manifestes sont imprimés par Jean-François Sirinelli, Intellectuels et passions françaises. Manifestes et pétitions au xxe siècle, Paris, Fayard, 1990, p. 92-100.
33 Henri Massis, « Hitler dans Rome », dans id., Chefs, Paris, Plon, 1939, p. 235-257.
34 Michel Toda, Henri Massis. Un témoin de la droite intellectuelle, Paris, La Table Ronde, 1997, p. 317-321.
35 Voir à ce sujet Paul Preston, « Franco and Hitler: the Myth of Hendaye 1940 », Contemporary European History, vol. 1, no 1, 1992, p. 1-16.
36 Adolf Hitler, Monologe im Führerhauptquartier 1941-1944. Die Aufzeichnungen Heinrich Heims, édité par Werner Jochmann, Bindlach, Gondrom, 1988, p. 90-91 [traduction libre].
37 À propos de la « stratégie méditerranéenne » de Hitler, voir Walter Ansel, Hitler and the Middle Sea, Durham, N.C., Duke University Press, 1972 ; Douglas Porch, Hitler’s Mediterranean Gamble. The North African and the Mediterranean Campaigns in World War II, Londres, Weidenfeld & Nicolson, 2004 ; et Simon Ball, The Bitter Sea. The Struggle for Mastery in the Mediterranean, 1935-1949, Hammersmith, HarperPress, 2009.
38 Walter Ansel, Hitler and the Middle Sea, Durham, N.C., Duke University Press, 1972, p. 24. Les expressions « South Plan » et « East Plan » proviennent d’Ansel.
39 Walter Ansel, Hitler and the Middle Sea, Durham, N.C., Duke University Press, 1972, p. 484-485 [traduction libre].
40 Le testament politique de Hitler. Notes recueillies par Martin Bormann, préface de Hugh R. Trevor-Roper, commentaires de André Francois-Poncet, version française et présentation de François Genoud, Paris, Fayard, 1959, p. 144-145 (2 avril 1945).
41 Le testament politique de Hitler. Notes recueillies par Martin Bormann, préface de Hugh R. Trevor-Roper, commentaires de André Francois-Poncet, version française et présentation de François Genoud, Paris, Fayard, 1959, p. 76-77 (10 février 1945).
42 Le Testament politique de Hitler. Notes recueillies par Martin Bormann, préface de Hugh R. Trevor-Roper, commentaires de André Francois-Poncet, version française et présentation de François Genoud, Paris, Fayard, 1959, p. 113-114 (20 février 1945).
43 Adolf Hitler, Monologe im Führerhauptquartier 1941-1944. Die Aufzeichnungen Heinrich Heims, édité par Werner Jochmann, Bindlach, Gondrom, 1988, p. 245-246 (31 janvier 1942) [traduction libre].
44 Le testament politique de Hitler. Notes recueillies par Martin Bormann, préface de Hugh R. Trevor-Roper, commentaires de André Francois-Poncet, version française et présentation de François Genoud, Paris, Fayard, 1959, p. 274-275 (20 février 1945).