1 Claude-Henri de Saint-Simon et Augustin Thierry, « De la réorganisation de la société européenne », dans Michel Chevalier, « Le système de la Méditerranée » et « La prédication d’Émile Barrault du 15 janvier 1832 ». p. 160 dans original ce n’est pas une citation
2 Idem. p. 160 dans original ce n’est pas une citation
3 Idem – p. 160 dans original ce n’est pas une citation.
4 Wolf Lepenies, « L’influence de l’Allemagne et la germanisation de la Sorbonne », dans id., Les trois cultures. Entre science et littérature, l’avènement de la sociologie, traduit de l’allemand par Henri Plard, Paris, Éditions de la Maison des Sciences de l’Homme, 1990, p. 70-71.
5 Paul Valéry, « Réponse au remerciement du maréchal Pétain à l’Académie française », dans id., Œuvres, t. I, édition établie et annotée Jean Hytier, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1957, p. 1102.
6 Par la suite Maurras intégra ses comptes rendus des Jeux olympiques dans le volume d’Anthinéa (1901). Je cite les comptes rendus de Charles Maurras, Lettres des Jeux olympiques, présentation par Axel Tisserand, Paris, Flammarion, 2004.
7 Charles Maurras, Lettres des Jeux olympiques, présentation par Axel Tisserand, Paris, Flammarion, 2004, p. 47-48.
8 Maurras publia ces réflexions le 25 juillet 1902 dans la Gazette de France ; cité d’après l’« Introduction à la troisième lettre » d’Axel Tisserand, dans Charles Maurras, Lettres des Jeux olympiques, présentation par Axel Tisserand, Paris, Flammarion, 2004, p. 44.
9 Charles Maurras, « Amitiés germaniques » (1895), dans id., Quand les Français ne s’aimaient pas. Chronique d’une renaissance, Paris, Nouvelle librairie nationale, 1916, p. 12-13.
10 Johann Gottlieb Fichte, « Reden an die Deutsche Nation », dans id., Fichtes Werke, édité par Immanuel Hermann Fichte, vol. 7, Zur Politik, Moral und Philosophie der Geschichte Berlin, De Gruyter, 1971, p. 257-516, ici p. 279 et 324-325 ; en français : Discours à la nation allemande, présenté, traduit et annoté par Alain Renaut, Paris, Imprimerie nationale, 1992, p. 71 et 135.
11 Charles Maurras, « Amitiés germaniques » (1895), dans id., Quand les Français ne s’aimaient pas. Chronique d’une renaissance, Paris, Nouvelle librairie nationale, 1916, p. 14.
12 Léon Bazalgette, À quoi tient l’infériorité française, Paris, Fischbacher, 1900, p. 32, 38, 40, 147, 293 et 295.
13 À Sadowa, près de Königgrätz, la Prusse vainquit les troupes unies d’Autriche et de Saxe en 1866 ; à Sedan, l’armée française capitula en 1870 et Napoléon III fut capturé par les Prussiens ; à Santiago de Cuba, en 1898, eurent lieu les batailles décisives de la guerre hispano-américaine qui mirent fin à la domination coloniale de l’Espagne à Cuba.
14 Léon Bazalgette, Le problème de l’avenir latin, Paris, Fischbacher, 1903, p. 135.
15 Léon Bazalgette, Le problème de l’avenir latin, Paris, Fischbacher, 1903, p. 49, 48 et 76.
16 Léon Bazalgette, Le problème de l’avenir latin, Paris, Fischbacher, 1903, p. 94, 101-102 et 118.
17 Léon Bazalgette, Le problème de l’avenir latin, Paris, Fischbacher, 1903, p. 130.
18 Jules Michelet, Introduction à l’histoire universelle, Paris, Hachette, 1831, p. 49-51 et 73-74.
19 Mario Wilhelm Wandruszka von Wanstetten, Nord und Süd im französischen Geistesleben, Iéna, Gronau, 1939, p. 230.
20 Léon Bazalgette, Le problème de l’avenir latin, Paris, Fischbacher, 1903, p. 255.
21 Werner Adolf Eicke, Léon Bazalgette (1873-1929) und seine Anschauungen über Latinität und Germanentum, Diss. Phil., Bonn, Scheur, 1937.
22 Louis Bertrand, « Nietzsche et la Méditerranée », dans id., Les grands coupables, Paris, Fayard, 1915, p. 27 et 29.
23 Charles Maurras, « Le renoncement à nous-mêmes » [1902], dans id., Quand les Français ne s’aimaient pas. Chronique d’une renaissance, Paris, Nouvelle librairie nationale, 1916, p. 51-52. De même Léon Daudet écrivit à propos du « grand Fustel de Coulanges » qu’il était totalement inconnu du public français. Léon Daudet, L’Entre-deux-guerres. Souvenirs des milieux littéraires, politiques, artistiques et médicaux de 1880 à 1905, Paris, Nouvelle librairie nationale, 1915, p. 4.
24 Charles Maurras, Quand les Français ne s’aimaient pas. Chronique d’une renaissance, Paris, Nouvelle librairie nationale, 1916, p. 54-55.
25 Wolf Lepenies, « L’influence de l’Allemagne et la germanisation de la Sorbonne », dans id., Les trois cultures. Entre science et littérature, l’avènement de la sociologie, traduit de l’allemand par Henri Plard, Paris, Éditions de la Maison des Sciences de l’Homme, 1990, p. 72.
26 Léon Daudet, Hors du joug allemand. Mesures d’après-guerre, Paris, Nouvelle librairie nationale, 1915, p. 3.
27 Léon Daudet, Hors du joug allemand. Mesures d’après-guerre, Paris, Nouvelle librairie nationale, 1915, p. 125-126.
28 En épigraphe de Charles Maurras, « Conclusion : “Barbares et Romans” », dans id., L’étang de Berre, Paris, Librairie ancienne Édouard Champion, 1920, p. 318.
29 En Allemand, le Rhin « der Rhein » est de genre masculin, mais le Rhône « die Rhone » de genre féminin. En confrontant les deux fleuves, on devrait employer le masculin pour tous les deux.
30 Georges Liens, « Le stéréotype du Méridional vu par les Français du Nord de 1815 à 1914 », Provence historique, vol. 27, 1977, p. 427.
31 Charles Maurras, Quand les Français ne s’aimaient pas. Chronique d’une renaissance, Paris, Nouvelle librairie nationale, 1916, p. 123.
32 Alphonse Daudet et Charles Maurras, Notre Provence, Paris, Flammarion, 1933, p. 100.
33 Cf. Albert Thibaudet, Mistral ou la République du soleil, Paris, Hachette, 1930. Un règlement de compte ironique à l’enthousiasme pour le Midi, le « grand Midi solaire » – « Ils veulent une Cannebière à Paris », figure dans l’article de Albert Thibaudet, « La critique du Midi », La Nouvelle Revue française, no 105, juin 1922, p. 724-735.
34 Marcel Decremps, « Mistral et l’idée latine », dans Georges et Ilinca Barthouil-Ionesco (dir.), La Latinité hier, aujourd’hui, demain. Centenaire des Jeux de la latinité 1878-1978, actes du congrès international (Avignon, mai 1978), Bucarest, Editura Eminescu, 1978, p. 193.
35 Charles Maurras, « Le Midi esclave », L’Action française, juillet 1907, document en ligne, consulté le 23 août 2019 : https://maurras.net/textes/215.html.
36 Le résumé de l’article d’Adam dans La Dépêche d’après Charles Maurras, « Pour et contre l’union sacrée » (14 septembre 1914), dans id., « Pour et contre l’union sacrée », L’Action française, juillet 1917, édition électronique réalisée par Maurras.net et l’Association des amis de la maison du Chemin de Paradis, 2013, p. 142-143, document en ligne, consulté le 26 août 2019 : http://maurras.net/textes/240-4.html. Comme Léon Daudet, Maurras ne pardonna jamais à Adam ses anciennes déclarations amicales à l’égard de l’Allemagne et lui intima le silence. Léon Daudet qualifia Adam de « néant de bibliothèque » qui massacrait la langue française avec son style affreux, dans Léon Daudet, Hors du joug allemand. Mesures d’après-guerre, Paris, Nouvelle librairie nationale, 1915, p. 156.
37 Camille Mauclair, Paul Adam 1862-1920, Paris, Flammarion, 1921, p. 60, 110 et 191.
38 Paul Adam, Vues d’Amérique ou La Nouvelle Jouvence, Paris, Société d’éditions littéraires et artistiques/Paul Ollendorff, 1906, ces citations et suivantes, p. 1-3, 17, 31, 114, 123, 273 et 278. Adam ne tarissait pas d’éloges à propos du livre Outre-Mer de Paul Bourget sur l’Amérique dont il subit probablement aussi l’influence. Paul Bourget, Outre-Mer (Notes sur l’Amérique), t. I, Paris, Alphonse Lemerre, 1895. Mark Twain fut si contrarié par les notes américaines de Bourget qu’il y répondit par deux articles : « What Paul Bourget Thinks of Us » et « A Little Note to M. Paul Bourget », dans Mark Twain, How to Tell a Story and Other Essays, New York, Harper, 1897, p. 141-164 et 165-181. Ce dont Max O’Rell s’agaça à son tour dans son article « Marc Twain and Paul Bourget », The North American Review, vol. 160, no 460, 1895, p. 302-310. Marc Twain avait demandé, avec moquerie, ce que la France pouvait apprendre aux États-Unis. Et O’Rell répondit : « Elle ne peut peut-être pas lui apprendre à travailler, mais à se reposer, à vivre, à être heureux. Elle peut lui apprendre que le but de la vie n’est pas de faire de l’argent, et que ce dernier n’est qu’un moyen d’atteindre un but », dans Mark Twain, How to Tell a Story and Other Essays, New York, Harper, 1897, p. 307.
39 Léon Daudet, « À travers la Provence », dans Léon Daudet et Charles Maurras, Notre Provence, Paris, Flammarion, 1933, p. 21-22.
40 Wilhelm von Humboldt, « Latium und Hellas oder Betrachtungen über das classische Alterthum » (1806), dans id., Werke, vol. 2, Schriften zur Altertumskunde und Ästhetik, 3e éd., Darmstadt, Wissenschaftliche Buchgesellschaft, 1979, p. 25-64, ici p. 55.
41 Paul Adam, Le Malaise du monde latin, 2e éd., Paris, R. Roger et F. Chernoviz, 1910, p. 24.
42 Paul Adam, Contre l’aigle. Contre nous, Paris, H. Falque, 1910, p. 10.