Chapitre 1. Présentation générale des sites
1 General présentation of the sites
p. 17-23
Résumés
À la fin des années quatre-vingts, un vaste espace industriel et commercial s’est développé à la périphérie sud-est de la ville de Caen. L’opportunité était ainsi offerte d’examiner sur près de 200 ha, presque d’un seul tenant, les occupations qui se sont succédées sur le plateau de Mondeville. Une perspective exceptionnelle qui a motivé les archéologues de l’État (service régional de l’Archéologie), de l’Afan (aujourd’hui Inrap) et du Conseil général du Calvados à mettre leurs moyens en commun dans un grand programme de fouilles préventives. Véritable « laboratoire archéologique à ciel ouvert », l’aire industrielle a ainsi été parcourue pendant presque dix ans par plusieurs dizaines d’archéologues sur trois zones correspondant à autant d’opérations d’aménagement : la ZI de Mondeville sud (110 ha) sur les communes de Grentheville et de Mondeville, la ZAC de L’Étoile (60 ha) sur la commune de Mondeville et la ZAC du MIR (28 ha) sur les communes de Mondeville et de Giberville. Sur le terrain, toutes les périodes étaient représentées, de la Préhistoire à l’époque médiévale, mais dans cet ouvrage, seules les plus anciennes font l’objet d’une analyse monographique, de la maison danubienne du Haut Saint-Martin aux sites du Bronze final et du 1er âge du Fer de Mondeville,
In the late 1980s, a vast manufacturing and commercial estate was developed on the south-east outskirts of Caen in Normandy, presenting an idéal opportunity to explore the successive occupations of the Mondeville plateau on a single, almost continuons 200-hectare site. This was an unprecedented prospect that prompted State archeologists from the Regional Archeology Department and others from the National Institute for Préventive Archeology (Inrap, formerly Afan) and the Calvados General Council, to pool their resources in a major "préventive archeology" campaign. As a result, the industrial estate, as a unique open air laboratory, was explored for almost a decade by several dozen archeologists working in three zones, each corresponding to a separate property development. These were the 110-hectare Mondeville Sud industrial estate, located in Grentheville and Mondeville, the 60- hectare L’Étoile Urban Development Zone, again in Mondeville and the 28-hectare MIR Urban Development Zone in Mondeville and Giberville. On the ground, every period was represented, from prehistoric to medieval times. In the présent Work, however, only the oldest sites receive monographie analysis, from the Haut Saint Martin Danubian house, to Mondeville’s Late Bronze Age and Early Iron Age sites.
Texte intégral
1Les communes de Mondeville et de Grentheville sont des communes périurbaines de l’agglomération caennaise situées sur le plateau qui domine la rive droite de la vallée de l’Orne (fig. 1). Elles font partie d’une entité géographique du département du Calvados, la plaine de Caen, ainsi dénommée à cause de son relief monotone et de son altitude relativement faible. Cette région enclavée entre le Massif armoricain à l’ouest et les contreforts du pays d’Auge à l’est, mais largement ouverte sur la mer au nord, est particulièrement fertile. Elle constitue de nos jours un vaste paysage ouvert entièrement tourné vers les cultures céréalières et industrielles (oléagineux, lin, betterave sucrière, etc.).

FIG. 1
Localisation et implantation topographique des trois zones industrielles où ont été découverts les sites : I ZAC du Marché d’Intérêt Régional (MIR) ; II ZAC de L’Étoile ; III ZI de Mondeville sud.
2Les sites présentés dans le cadre de cette étude se répartissent en trois zones distinctes qui correspondent à autant d’opérations d’aménagement à l’intérieur du vaste espace industriel et commercial développé en périphérie de ville, le long des axes de sortie vers Paris (fig. 2-5). Il s’agit de la Zone Industrielle (ZI) de Mondeville sud (110 ha) sur les communes de Grentheville et de Mondeville, de la Zone d’Aménagement Concertée (ZAC) de L’Étoile (60 ha) sur la commune de Mondeville et de la ZAC du Marché d’Intérêt Régional (MIR) sur les communes de Mondeville et de Giberville (28 ha). Ces trois zones occupent une langue de plateau orientée NE-SO, encadrée de vallons secs très peu encaissés tributaires de la Gronde, un petit affluent de l’Orne. L’altitude de ce plateau varie entre 20 et 25 m.

FIG. 2
Plan des trois zones industrielles et emprises concernées par les opérations de sauvetage.

FIG. 3
ZI de Mondeville sud. Plan de synthèse des excavations archéologiques (tranchées et décapages). Les numéros renvoient au tableau I.

FIG. 4
ZAC de L’Étoile. Plan de synthèse des excavations archéologiques (tranchées et décapages). Les numéros renvoient au tableau I.

FIG. 5
ZAC du MIR. Plan de synthèse des excavations archéologiques (tranchées et décapages). Les numéros renvoient au tableau I.
1.1 Géologie, géomorphologie
3Sur le plan géomorphologique, les sites ont tous des caractéristiques homogènes. L’ensemble des terrains est, en effet, sous-tendu, par le calcaire de Ranville (Bathonien supérieur). Ce substrat a été profondément affecté par la gélifraction quaternaire et apparaît aujourd’hui sous forme de plaquettes. Par endroits, la désagrégation superficielle a été plus poussée et une couche déstructurée de calcaire et de limon mélangé (chaussin) recouvre la roche compacte. Une cimentation de la surface de cet horizon altéré a parfois été observée.
4Ce calcaire est recouvert de formations superficielles de différentes natures (fig. 6). La plus étendue consiste en un placage de lœss calcaire qui peut atteindre plusieurs mètres d’épaisseur, notamment au nord dans un paléothalweg aujourd’hui comblé où son épaisseur a été reconnue par forage sur 11 m. De petits lisérés de cailloutis correspondant à des reprises de colluvionnement affectent sa masse. Ils traduisent des répits interstadiaires à l’intérieur de cette formation périglaciaire d’âge entièrement weischelien. Le lœss fortement carbonaté est altéré à sa partie supérieure par le sol holocène et actuel. Celui-ci a une épaisseur moyenne de 70 à 80 cm. Il est de type brun lessivé et est relativement pauvre en carbonates. L’horizon Bt, développé à sa base sur environ 40 cm d’épaisseur, présente une structure polyédrique. Les horizons A sont absents ou très peu marqués, suggérant par là une troncature des profils et une évolution perturbée par la très forte anthropisation du milieu depuis le Néolithique. Cette couverture de lœss est irrégulière sur l’emprise des zones explorées. Elle n’occupe pas le centre de l’interfluve délimité par les deux vallons secs, mais plutôt sa moitié orientale.

FIG. 6
Carte géomorphologique simplifiée du secteur : a limons éoliens > 0,75 m d’épaisseur ; b plaine alluviale holocène inondable ; c anciennes terrasses pléistocènes ; d calcaire subaffleurant inférieur à 0,25 m de profondeur ; e limons éoliens compris entre 0,25 et 0,75 m d’épaisseur ; f colluvions limonocalcaires ; g vallons périglaciaires en V.
5Ailleurs, c’est-à-dire tout autour du placage lœssique, la formation superficielle est beaucoup plus mince, en général moins de 50 cm. Elle correspond à une formation gélifractée supportant une rendzine rubéfiée remontant aux interglaciaires du Saalien. Cette formation qui constitue la totalité du profil a, elle aussi, été affectée par le développement du sol holocène et actuel. Le passage latéral entre la rendzine et le sol brun est relativement rapide, parfois de l’ordre de quelques décimètres. La zone de transition, qui fait entre 75 et 45 cm d’épaisseur, est en général un limon brun où les cailloux vont en se raréfiant.
6Ces différents types de sols ont ensuite été recoupés par les labours sur une épaisseur constante de 27 à 30 cm. Dans certains secteurs très érodés, le labour peut affecter la totalité des formations superficielles.
7Telles qu’elles se présentent sur ce petit interfluve, les formations superficielles portent la trace d’une érosion postglaciaire. Celle-ci divise aujourd’hui les géomorphologues et les pédologues qui ont à son sujet des points de vue assez contradictoires. Les premiers, s’appuyant sur la notion de bilan sédimentaire, considèrent que le milieu est resté stable pendant tout l’Holocène. Ils se fondent pour cela sur les prismes alluvionnaires des petits fleuves côtiers qui ne présentent pas, au niveau des estuaires, d’apports massifs de sédiments fins et sur les basses vallées qui comportent fréquemment des dépôts de tourbes. Les seconds, au contraire, estiment, d’après le degré d’évolution des profils, qu’une part importante des apports lœssiques quaternaires a disparu. Pour eux, les horizons d’illuviation (Bt, Bfe) de la base des sols sont trop épais par rapport aux horizons éluviaux (A). Il manque, en effet, environ 1 m de sédiment pour justifier du développement des horizons d’accumulation observés. Le processus invoqué pour expliquer cette ablation est celui de la déflation sur sols nus labourés qui a pu être un facteur érosif beaucoup plus actif qu’on ne l’a considéré jusqu’à présent.
8Cette question de l’érosion des sols est d’une extrême importance. Elle s’applique, en effet, sur des sites dont les niveaux d’occupation font aujourd’hui défaut et dont le degré de conservation est difficile à évaluer. Elle interfère aussi et surtout dans notre appréciation du statut de certains sites. Certaines hypothèses explicatives peuvent, en effet, différer totalement suivant que l’on intègre ou non le facteur érosif.
9S’il est à peu près certain qu’un couvert végétal forestier a figé les formations superficielles pendant la majeure partie de l’Holocène, une rupture de cet équilibre s’est certainement produite avec les premiers défrichements néolithiques. Malheureusement, il n’est guère possible aujourd’hui d’en apprécier tous les effets à l’échelle de temps qui nous occupe. Sur les sites étudiés, les témoins archéologiques retrouvés sont tous excavés (fosses, fossés, trous de poteau, sépultures, etc.). Dans certains cas, ces témoins ne posent guère de problèmes d’identification, comme par exemple une maison longue sur poteaux porteurs ou des cercles funéraires. Par contre, dans d’autres cas, comme celui des grandes enceintes protohistoriques dénuées de toute trace d’occupation interne, l’interprétation fonctionnelle est conditionnée par l’étude pédo-sédimentaire. Entre un habitat ceinturé, une enceinte cérémonielle ou un enclos agricole, l’absence de structures observées dans l’aire interne n’a pas la même signification si le terrain naturel n’a pas été modifié ou s’il a été tronqué sur 50 cm.
10On le voit bien, parmi les questions essentielles posées par ces sites, figurent nécessairement celles de l’importance et plus encore de l’âge de l’érosion. Celle-ci était-elle acquise ou non au moment des implantations ? S’est-elle poursuivie après et sous quelles modalités ? Toutes ces interrogations, qui concernent la taphonomie des sites eux-mêmes, ne peuvent être débattues qu’au cas par cas. Elles seront donc reprises et discutées dans les présentations monographiques. Il apparaît, en effet, que les données relevant des sciences de la terre ont eu des incidences multiples, tant au niveau des contraintes que les premiers occupants du plateau ont eu à gérer pour tirer le meilleur parti du milieu naturel, qu’au niveau de la stratégie de fouille que les archéologues ont eu à adopter pour parvenir à la meilleure lecture des faits.
1.2 Conduite des recherches
11Sur le plan chronologique, les sites présentés dans cet ouvrage concernent le Néolithique et l’âge du Bronze (tabl. I). Les périodes représentées sont :
le Néolithique ancien (culture de Villeneuve-Saint-Germain) avec la maison danubienne du Haut Saint-Martin ;
le Néolithique moyen I avec les fosses et les silos de la ZI sud ;
le Néolithique récent avec une fosse sur le site de la ZAC de L’Étoile ;
la fin du IIIe millénaire avec l’enceinte du MIR ;
le Bronze moyen Bronze final avec l’enceinte de L’Étoile ;
le Bronze moyen/Bronze final avec la double enceinte de la ZI sud ;
le Bronze indifférencié avec les cercles de divers secteurs ;
12le Bronze final et le Halstatt avec diverses fosses du Haut Saint-Martin et de la Delle Saint-Martin.

TABL. I
Identification des sites. Les numéros de sites renvoient aux figures 3 à 5.
13Ces sites ne représentent qu’une faible part des découvertes réalisées au cours de grandes opérations préventives qui concernaient surtout le second âge du Fer, l’Antiquité et plus encore le Moyen Âge. Par l’ampleur des surfaces étudiées, ces opérations ont fait la notoriété du site de Mondeville en révélant tout un terroir et son évolution, analysés ici de façon très approfondie, même si le contexte difficile des chantiers a pu entraîner, sur le moment, bien des crispations au sein de la communauté archéologique.
14Pour ce qui est des sites présentés ici, l’étalement dans le temps des opérations, la diversité des responsables et la variété des méthodes d’approche utilisées ont entraîné des disparités parfois très importantes dans le rendu des travaux. La coordination venue tardivement, au moment de la préparation de cette publication, n’a pas toujours permis d’en homogénéiser le niveau, même si le passif a pu en grande partie être résorbé. Beaucoup de DFS n’avaient pas été réalisés, parfois faute de postfouilles, d’autres nécessitaient une refonte, dans d’autres cas les analyses n’étaient pas faites, et si elles l’étaient, leurs résultats n’étaient pas intégrés à l’interprétation. L’état de la documentation était extrêmement disparate d’un chantier à l’autre et parfois même d’un accès variable d’un archéologue à l’autre. Les données n’ont pas toujours été fournies par les chercheurs et certaines contributions, toujours attendues, comme celle pourtant essentielle sur les cercles de l’âge du Bronze, ont finalement été abandonnées. Plus grave, des informations ont parfois été perdues (égarement de minutes, souvenirs défaillants, déménagements successifs, etc.), et d’autres n’ont pas été recueillies dans le feu de l’action au moment de la fouille. Malgré cela, l’importance et la somme de données nouvelles livrées par ces sauvetages de grande envergure sont sans commune mesure avec les quelques ratés ou repentirs que l’on découvre toujours inévitablement après coup. L’heure n’est pas aux regrets et quelles que soient les responsabilités des uns et des autres, chacun, ici, a pris le parti d’assumer les éventuels manques et erreurs du passé afin que les connaissances accumulées soient, en fin de compte, diffusées comme il se doit. Toutes les opérations apportent, en effet, des informations majeures, de portée interrégionale ou d’intérêt plus large encore, qui justifient sans l’ombre d’un doute leur présentation détaillée dans le cadre d’une publication à caractère monographique.
15Pour plus de clarté, les différentes interventions archéologiques, qui sont discontinues dans le temps et surtout dans l’espace, sont présentées suivant un mode chronologique. De la même façon, les circonstances administratives parfois très complexes ne sont rappelées ici que sous la forme d’un tableau simplifié (tabl. II). Si pour la plupart des sites, les données ont été acquises lors des opérations de fouilles, dans certains cas, elles l’ont été tout autant, si ce n’est plus, lors des diagnostics. Ces tableaux récapitulatifs permettent de retrouver ce qui a été de la responsabilité de chacun.
n° site | type d’opération | responsable | dates | nature des découvertes |
2 | diagnostic | D. Leroy | 1/9/1990-31/10/1990 | silos Néolithique moyen II |
4 | diagnostic | D. Leroy | 1/6/1990-31/7/1991 | enceinte Bronze ancien, nécropole cercles Bronze, |
5 | diagnostic | I. Jahier | 15/12/1994-28/2/1995 | enceinte Bronze, |
6 | diagnostic | D. Leroy | 1/3/1990-31/5/1990 et 1/9/1990-31/10/1990 | enceinte Bronze, fosses ext., 1 cercle, |
10a | diagnostic | D. Leroy | 21/10/1990-21/11/1990 | 1 cercle Bronze |
10b) | diagnostic | A. Leduc | 4/11/1991-29/2/1992 | 1 cercle Bronze (fouillé) |
1 | sauvetage (*) | V. Renault | 1/6/1993-30/6/1993 | maison VSG |
2 | sauvetage (**) | A. Chancerel | 1/4/1991-31/5/1991 | silos et fosses Néo. moyen II |
3 | sauvetage (***) | C. Vautérin | 1/6/1995-31/6/1995 | fosse Néolithique récent |
4 | sauvetage | D. Leroy | 1/3/1991 15/3/1991 | enceinte Néo/Bronze ancien |
5 | sauvetage | C. Vautérin | 1/6/1995-31/6/1995 | enceinte Bronze |
7 | sauvetage (***) | D. Leroy | 1/6/1990-31/7/1991 | nécropole à cercles Bronze |
6a | sauvetage (**) | G. San Juan | 1/1/1991-1/3/1991 | enceinte Bronze (partie nord) |
6b | sauvetage (**) | A. Chancerel | 1/4/1991-31/5/1991 | enceinte Bronze (partie sud) |
9 | sauvetage (***) | V. Renault | 1/9/1991-30/6/1992 | 1 fosse isolée |
10 | sauvetage | J. Desloges | 1/6/1991-31/7/1991 | 3 cercles Bronze |
11 | sauvetage (***) | M.-C. Taupin | 15/3/1992-15/12/1992 | 1 cercle isolé Bronze |
8 | fouille programmée (***) | C. Lorren | 1/7/1981-31/7/1981 | 1 fosse isolée Bronze |
TABL. II
Récapitulatif des opérations. (*) sous la conduite d’A. Chancerel ; (**) même opération ; (***) découverte et fouille réalisées au cours d’une opération ne concernant pas la période principale de l’opération. Les numéros de sites renvoient aux figures 3 à 5.
Auteur
Conservateur en chef du Patrimoine longtemps en poste au service régional de l’Archéologie de Basse-Normandie et aujourd’hui au Musée national de Préhistoire des Eyzies-de-Tayac, après un passage par la Guadeloupe comme conservateur régional de l’Archéologie, Antoine Chancerel est spécialisé en Préhistoire récente. Il a dirigé de nombreuses recherches, principalement sur le Mésolithique et le mégalithisme de Normandie, et notamment un chantier franco-britannique sur le tumulus allongé de la Commune Sèche à Colombiers-sur-Seulles (Calvados). Il a assuré le suivi scientifique de nombreuses opérations préventives, dont celle de Mondeville.
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