Végétations pré-néolithiques d’après l’anthracoanalyse de sites préhistoriques du sud de la France
p. 81-85
Résumés
L’analyse anthracologique de nombreux gisements préhistoriques du Sud de la France, situés dans la zone méditerranéenne et sur ses marges, met en évidence la complexité de la végétation pré-néolithique dans cette région. Dans la zone méditerranéenne, le développement de la chênaie caducifoliée est précédé d’une végétation steppique à Genévriers, dont Amygdalus, Oléacées, Rhamnacées, Cistacées et d’Erables de Montpellier (entre 11 000 et 7 500 BP environ). Sur le littoral, la chênaie est remplacée par une pineraie à Pin d’Alep. Sur les marges, le stade transitionnel est télescopé, la chênaie se met en place plutôt (vers 12 000 BP dans l’arrière pays niçois) aux dépens de la pineraie à Pin sylvestre.
The charcoal analysis of many prehistoric settlements in southern France, stretched in the mediter-ranean area and its border, reveals a complex pre-neolithic végétation. In the mediterranean area (Sensu stricto) a transitory steppic phase with Juniperus, Rosaceae and among them Amygdalus, Oleaceae, Rhamnaceae, Cista-ceae and Acer monspessulanum goes before deciduous oak forest development (from 11 000 to 7 500 BP about). Along the shore, after the steppic phase, the pine wood with Pinus halepensis takes place of the deciduous oak forest. On the border of the mediterranean area, the deciduous oak forest increases earlier (about 12 000 BP) without the transitory steppic phase.
Note de l’auteur
Note portant sur l’auteur1
Texte intégral
1Si nous connaissons globalement la végétation du Néolithique dans la région méditerranéenne française aussi bien par les résultats de la Palynologie (Triât, 1979 ; Planchais, 1973, 1982) que par ceux de l’Anthra-coanalyse (Vernet, 1973, 1974, 1980a ; Krauss-Marguet, 1980), il n’en était pas de même jusqu’à ces dernières années, pour la période immédiatement antérieure, à savoir celle qui va de la fin du Tardiglaciaire au début de la néolithisation.
2La récolte systématique, puis l’étude de nombreux charbons de bois provenant de près d’une vingtaine de gisements préhistoriques, principalement languedociens, nous permettent maintenant d’avoir une meilleure image de la végétation des temps pré-néolithiques (fig- 1).
1. Le Languedoc oriental
3Le Languedoc oriental, et plus particulièrement la région du Bas Rhône, est un des secteurs où les documents sont les plus abondants pour la période considérée. Pour la clarté de l’exposé nous avons résumé nos principaux résultats sous la forme d’un tableau synthétique (tabl. 1) demandant cependant quelques commentaires.
4Nous avons pris comme point de départ les niveaux 3 et 2 de la Salpêtrière qui marquent nettement le passage d’un climat de type continental à un climat à régime plus méditerranéen (Bazile E. et F., 1978 ; Bazile-Robert, 1979 et 1981 ; Bazile et Guillerault, 1981).
Un premier événement floristique majeur débute vers 13 000/12 500 BP avec la disparition de l’Argousier (Hippophae rhamnoïdes) et la première mention, au Tardiglaciaire, de l’Amandier. Ce taxon, qui sera présent dans la quasi totalité des niveaux étudiés jusqu’à 7 500 BP, apparaît dès 13 000 BP dans le niveau b du couloir de la grotte de Laroque II, dans la moyenne vallée de l’Hérault (Bazile-Robert, 1980a) ; il est également présent dans la couche 2 de la Salpêtrière, corrélable avec un épisode modéré du Tardiglaciaire aux environs de 13 000 BP (Bölling).
Le Bouleau va progressivement se raréfier pour disparaître dans les garrigues languedociennes vers 11 000 BP (Valorgues) (Bazile-Robert, 1981b) alors qu’il se maintient jusqu’à 10 000 BP à Gazel (C.5) sur les contreforts de la Montagne Noire.
1, El Gay ; 2, Gazel ; 3, Salpêtre de Pompignan ; 4, Laroque II ; 5, La Salpêtrière, 6, Valorgues ; 7, Montclus ; 8, Baume de Ronze ; 9, Oullins ; 10, Le Colombier ; 11, La Pécoulette ; 12, le Plaisir ; 13, Baume de Sulauze ; 14, Mourre Poussiou ; 15, La Montagne ; 16, Châteauneuf-les-Martigues ; 17, Fontbrégoua ; 18, abri Lombard ; 19, abri Martin.
Le Pin sylvestre perdure tout en se raréfiant jusqu’à 8 000-7 500 BP (couche 21F de Montclus).
Le Pin de Salzman n’est plus visible dans les gisements étudiés au même moment (couche 21 F de Montclus). Ce conifère connaît une brève poussée à Valorgues, vers 12 000 BP, corrélativement au déclin du Pin sylvestre (Bazile-Robert, 1981b).
Les Genévriers (sans qu’il soit possible de préciser l’espèce), peu nombreux au Tardiglaciaire, jouent un rôle important dans la végétation à partir de 11 000 BP jusqu’à 7 500 BP environ où ils commencent à se raréfier en même temps que l’Amandier, dans les couches 23 à 17 de la Baume de Montclus (Bazile-Robert, 1983).
Les Chênes à feuillage caduc jouent un rôle discret jusqu’à 8 000 BP dans les couches de base de la Baume de Montclus. Les Chênes sclérophylles, présents à la fin du Tardiglaciaire (Valorgues, couche 10), deviennent très rares au début du Postglaciaire (Oullins 7a).
5Du point de vue de l’évolution de la végétation, on assiste au remplacement progressif de la végétation du Tardiglaciaire, traduisant des conditions fraîches et globalement humides par des formations steppiques, pionnières, traduisant, à la fin, des conditions climatiques plus tempérées mais nettement plus sèches. Ceci après un épisode tempéré humide (Valorgues, CIO) où l’If est associé aux Chênes à feuillage caduc et aux Chênes sclérophylles.
6La végétation du début du Postglaciaire et de l’extrême fin du Tardiglaciaire correspond à une association originale que nous avons déjà décrite (Bazile-Robert, 1980b) qui se caractérise par une fruticée à Genévriers accompagnés de rosacées dont l’Amandier, d’oléacées, de rhamnacées, de cistacées et d’Erables, particulièrement d’Erables de Montpellier qui jouent un rôle parfois non négligeable dans certaines stations.
7Un stade transitionnel vers la chênaie caducifoliée paraît découler de l’analyse de niveaux de base de la Baume de Montclus (C.23 à 17) dans les gorges de la Cèze, où les Genévriers sont associés aux Chênes à feuillage caduc en pourcentage important, l’Amandier étant toujours présent.
8A partir de 7 500 BP, la chênaie caducifoliée est sans doute la formation végétale dominante dans la région considérée. Des anomalies notables sont toutefois à signaler dans les gorges de l’Ardèche à la Baume d’Oullins et à la grotte de Rochas.
A Oullins, un niveau « mésolithique » non encore daté, situé en stratigraphie entre le Sauveterrien (9 600 BP) et le Néolithique ancien (6 630 BP) montre une proportion équivalente de Buis et de Chênes accompagnés d’Erables de Montpellier.
A Rochas, la couche de base du Néolithique cardial (6 100 + 210 BP) témoigne d’une végétation très proche de celle enregistrée au début de l’Holocène, alors que les niveaux sus-jacents, attribués également au Néolithique cardial, montrent un « passage tardif » à la chênaie caducifoliée.
9Ces exemples, qui s’intègrent mal dans les schémas traditionnels, montrent bien la complexité de la question et pourraient suggérer que le passage à la chênaie caducifoliée ne s’est pas fait partout en même temps.
10Dans le même esprit nous soulignerons le cas de Gazel où les Chênes à feuillage caduc sont présents dans la couche 6 (10 760 ± 190 BP) en pourcentage notable, dans la couche 5 (10 080 ± 190 BP) et dans les couches 4 et 2 bis (d’âges vraisemblables compris entre 10 000 et 9 000 BP) où ils sont accompagnés du Noisetier.
11L’influence de refuge de moyenne altitude, déjà invoquée pour la vallée de l’Aude par Van Campo et Jalut (Van Campo et Jalut, 1969 ; Jalut, 1977), est sans doute à prendre en compte pour Gazel qui se marginalise ainsi par rapport aux autres gisements du Languedoc.
2. La Provence occidentale littorale (zone de l’étang de Berre)
12Dans la zone de l’Étang de Berre, où les gisements fouillés par M. Escalon de Fonton nous ont fourni une abondante documentation, la végétation de la fin du Tardiglaciaire et du début du Postglaciaire est comparable à celle du Languedoc à quelques exceptions près.
Le Pin sylvestre s’efface de façon précoce et, s’il est présent dans les niveaux valorguiens de l’abri Cor-nille, il disparaît dans les niveaux du Montadien ancien de Sulauze aux environs de 10 000 BP.
13Nous retrouvons au début de l’Holocène une fruticée à Genévriers, rosacées et Erables de Montpellier avec un rôle plus important des Genévriers par rapport aux gisements languedociens. Un peu plus à l’intérieur des terres, au gisement de la Montagne à Sénas (près de Salon), les Genévriers sont seuls représentés vers 9 000 BP, alors qu’au Mourre Poussiou (8 980 ± 200 BP) à Fos sur Mer, ils sont accompagnés de Phillyrea cf. lati-jolia et Rhamnus type catharcica saxatilis.
14Postérieurement, vers 7 500 BP, les niveaux castel-noviens de Châteauneuf-les-Martigues témoignent d’une végétation dominée par les Genévriers accompagnés de Phillyrea cf. angustifolia et de Prunus maha-leb ; on doit souligner la présence du Pin d’Alep déjà signalé par J.L. Vernet dans le niveau F7 de ce gisement (Vernet, 1971) et du Pin pignon déjà connu au Würm récent en Provence (Bazile-Robert, 1981c).
15Dans les niveaux sus-jacents du Néolithique cardial (E. Bazile-Robert, inédit), le pin d’Alep prend progressivement de l’importance accompagné de rosacées et d’oléacées et de rares Chênes à feuillage caduc, Pinus pinea est également présent.
3. La Provence centrale
16En Provence centrale, seul le gisement de Fontbrégoua (Salernes, Var), étudié par J.L. Vernet (1980b), présente une séquence importante pour la période considérée malgré une lacune entre les derniers niveaux mésolithiques et le Néolithique ancien.
17— La fin du Tardiglaciaire et le début du Postglaciaire sont marqués par une végétation composée du Pin sylvestre, du Pin de Salzman, de Genévriers et de quelques rares Pins d’Alep ; vers 9 500 BP, le Pin de Salzman disparaît alors que les Chênes à feuillage caduc et le Noisetier font leur apparition, ici précoce, sans doute selon un processus identique à celui de Gazel.
4. La Provence orientale (arrière pays niçois)
18Deux gisements, l’abri Martin (Gréolières, Alpes-Maritimes) et l’abri Lombard (St Vallier de Thiey, Alpes-Maritimes), fouillés par D. Binder, nous fournissent des informations sur la végétation de la fin du Tardiglaciaire et du début du Postglaciaire dans l’arrière pays niçois, sur les marges du domaine méditerranéen.
A l’abri Martin, dans la couche 5a vers 12 000 BP, la végétation est dominée par le Pin sylvestre, accompagné d’un pourcentage notable de Chênes à feuillage caduc et de Sorbus domestica. Dans la couche 3 à lb (10 500 à 10 000 BP), les Chênes à feuillage caduc dominent largement (plus de 50 %) accompagnés du Pin sylvestre et du Noisetier bien représenté.
A l’abri Lombard, des foyers à hélicidés de la phase finale du Sauveterrien montrent la prédominance des Chênes à feuillage caduc avec quelques Sorbus domestica.
19Ici encore, on constate un développement précoce de la chênaie caducifoliée dont les prémices sont sensibles dès 12 000 BP. Ceci irait dans le sens de l’interprétation de J.L. de Beaulieu (1977) selon laquelle la chênaie aurait eu un développement précoce dès l’Alleröd au sud des Alpes méridionales.
Conclusion
20Ce travail préliminaire, non exhaustif, montre bien, malgré des progrès importants, la complexité d’une approche synthétique de la végétation qui précède la néolithisation dans le Sud de la France.
21Si la présence de stades préforestiers originaux n’est plus à mettre en cause en domaine méditerranéen strict (bas Languedoc oriental, Provence littorale, Catalogne espagnole), le problème est moins simple aux marges de la région méditerranéenne, à proximité des premiers contreforts montagneux.
22La chênaie caducifoliée n’apparaît pas partout en même temps et de la même façon. Son apparition précoce dans l’arrière pays suppose un télescopage des stades préforestiers connus dans la zone des garrigues languedociennes.
23Sur le littoral, on assiste à un passage des stades préforestiers à une pineraie à Pin d’Alep (avec quelques Pins pignon) sans que la chênaie arrive à émerger.
24Autres cas de figure, pour certaines stations des gorges de l’Ardèche, le stade préforestier paraît perdurer jusqu’au Néolithique ancien (Rochas) alors que la chênaie caducifoliée est en place depuis plus d’un millénaire dans la vallée de la Cèze.
25La solution à ces problèmes passe par l’étude d’un plus grand nombre de gisements particulièrement pour des périodes (passage Mésolithique/Néolithique) et dans des régions (littoral languedocien) où les documents sont encore très rares.
Bibliographie
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Notes de fin
1 Laboratoire de Préhistoire méditerranéenne et rhodanienne, E.R. n° 46 du C.N.R.S.
Auteur
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