Chap. 4
Les occupations de la culture de Sotira (5e millénaire av. n. è.) et de l’Antiquité et leur impact sur les dépôts pré-céramiques
The occupations of the Sotira culture (5th millennium cal BC) and of Antiquity, and their impact on the Pre-Pottery deposits
p. 59-66
Résumés
Ce chapitre résume les observations de terrain et l’étude du mobilier témoignant de l’occupation des trois terrasses de Klimonas après l’abandon du village PPNA. Deux périodes sont bien documentées. Le Néolithique avec céramique de la culture Sotira est représenté par les restes d’un, voire de plusieurs bâtiments implantés sur la terrasse moyenne, accompagnés de nombreux creusements ayant parfois sérieusement endommagé les vestiges du Néolithique pré-céramique. Après une nouvelle phase d’abandon, le versant a fait l’objet d’activités agricoles (terrasses, labours, fosses de plantation) de façon plus ou moins continue entre l’Âge du Fer et la période protobyzantine. Cette troisième phase n’a toutefois entraîné que des dégâts mineurs pour les vestiges pré-céramiques, les murs de terrasse ayant parfois contribué à leur protection.
This chapter summarises the field observations and the study of the material testifying to the occupation of the three terraces of Klimonas after the abandonment of the PPNA village. Two periods are well documented. The pottery Neolithic of the Sotira culture is represented by the remains of one or maybe several buildings settled on the middle terrace. They are accompanied by numerous pits that sometimes seriously damaged the pre-pottery remains. After a new phase of abandonment, the slope was frequented for rural activities (terraces, ploughing, plantation pits) more or less continuously between the Iron Age and the Protobyzantine period. This third phase, however, caused only minor damage to the pre-pottery remains. The terrace walls sometimes even contributed to their protection.
Texte intégral
Introduction
1Il n’y a pas que pour les villageois pré-céramiques que les trois terrasses naturelles de Klimonas (chap. 2 et 3) ont été attractives. Elles l’ont de nouveau été durant le Néolithique à céramique de la culture de Sotira (5e millénaire av. n. è.), et à la période antique, entre le viie s. av. n. è. et le vie s. de n. è., où s’y sont développées des activités rurales, en marge de la proche cité d’Amathonte. Même si la plupart des traces archéologiques de ces implantations n’ont été qu’effleurées par la fouille, dont la problématique prioritaire était le Néolithique pré-céramique, celles d’entre elles qui étaient implantées au cœur même des niveaux pré-céramiques ont fait l’objet d’une étude soigneuse.
2Ce chapitre réunit les informations qui en résultent, tant pour contribuer, de façon certes modeste, à la connaissance archéologique des périodes considérées, que pour offrir au lecteur les clés de compréhension nécessaires au décryptage des accumulations stratigraphiques du PPNA. Les occupations de la culture de Sotira, secondairement celles des périodes antiques, ont en effet fortement impacté les dépôts pré-céramiques, les criblant de fosses, silos, foyers et autres drains aux effets destructeurs. Leur comblement sédimentaire était souvent si peu différents de l’encaissant que leur identification, lorsqu’elle fut possible, n’intervint qu’en fin de fouille lorsque le hasard voulait que se présente un tesson de céramique, généralement de petite taille. Elles ont aussi influé sur les modalités d’évolution du versant, favorisant ou freinant l’érosion, tour à tour, selon que le sol était mis à nu ou au contraire protégé par des murets de terrasses agricoles. Il était donc nécessaire de relater ces faits avant de détailler ceux relatifs au Néolithique pré-céramique. C’est ce qui justifie que ce chapitre précède ceux consacrés au PPNA.
1. Vestiges d’occupation néolithique de la culture de Sotira
1.1. Les observations de terrain
1.1.1. Nature et distribution spatiale
3Les 95 structures (St) et 32 unités stratigraphiques (US) rapportés au Néolithique avec céramique sont listées et succinctement décrites dans les annexes des chapitres consacrés à chacun des secteurs de fouille dont elles relèvent (chap. 5 à 8). Elles sont décomptées par secteur dans l’annexe 4-1. Il s’agit à 80 % de creusements, souvent de grande taille, dont au moins quatre ou cinq sont assurément des silos comparables à ceux fouillés à Shillourokambos (Guilaine et al. 2011), de quelques amas de pierres, d’un reste d’arase de mur de terre crue et de pierres, et de quelques structures de combustion. La plupart des autres creusements sont interprétables comme des fosses d’extraction de matériaux de construction.
4Les cartes de distribution des structures du Néolithique avec céramique (fig. 4-1 ; annexe 4-2 donne accès aux numéros de structures) montrent qu’elles étaient implantées sur les trois principales terrasses, tout comme le village PPNA. Leur rareté ou absence dans le secteur occidental pourrait résulter, comme pour les structures PPNA, de la forte érosion qui y a sévi (chap. 2).
1.1.2. Une aire résidentielle sur la moyenne terrasse ?
5Le seul ensemble bien structuré renvoyant au Néolithique à céramique est localisé sur la terrasse moyenne, à quelques mètres au nord du Bâtiment communautaire (fig. 4-2, annexe 4-3). Il est composé d’une arase de mur de pierres et de terre crue (US 5001/5003) de 50-60 cm d’épaisseur, dont la forme, incomplètement explorée (fig. 2.8), dessine au moins un angle fortement arrondi et suggère une dimension est-ouest de 5-6 m. Sous le comblement de ce bâtiment, une tranchée de reconnaissance nord-sud a révélé une zone circulaire évoquant une structure de combustion. Ces éléments d’observation sont compatibles avec les modèles de bâtiments décrits sur les sites de Sotira ou de Paralimni (Dikaios 1961, Flourentzos 2008). À un mètre au sud du mur, la fosse 5004 contenait de larges fragments de céramique Sotira.
6Les deux grandes fosses (St 190 et 191) qui ont affecté le comblement du Bâtiment communautaire jusqu’à sa base, le long de sa bordure nord (fig. 4-2 et 4-3), ainsi que plusieurs autres creusements proches (chap. 2, fig. 2-10 ; annexe 4-4), ont livré des tessons de céramique néolithique ainsi que, parfois, des ossements d’espèces animales absentes de Chypre au 9e millénaire cal BC (cf. infra). Elles ont probablement été réalisées à la période Sotira, dans le but de récupérer la terre à bâtir des murs du Bâtiment communautaire PPNA que l’érosion du versant avait sans doute mis au jour. Le comblement séquentiel de ces grandes fosses, dans lesquelles 9 unités stratigraphiques (US 10.21, 10.23-10-27, 10.29, 10.34, 10.36) et trois recreusements (St 158, 161, 187) ont pu être distingués, suggère un colmatage lent peut-être en rapport avec l’utilisation des fosses comme citernes (cf. annexe 4-4 : St 151).
7Les sondages 168-1 et 168-6, fouillés en 2009 et localisés à une dizaine de mètres à l’est de cet ensemble, ont traversé une forte accumulation de limon gris riche en vestiges PPNA remaniés et en céramique et ossements animaux rapportables au Néolithique avec céramique (Vigne et al. 2011a). Elle pourrait correspondre au comblement d’un second bâtiment Sotira, comparable à 5001/5003 et situé à quelques mètres au nord-est de ce dernier.
8Plus au sud, plusieurs structures isolées et très superficielles, rapportables au Néolithique avec céramique, pourraient figurer des fonds de bâtiments très érodés. Il s’agit d’une vaste fosse foyère empierrée située à l’extrémité de la tranchée de reconnaissance réalisée à l’est de l’entrée du Bâtiment communautaire (annexe 4-5), de trois amas de pierres chauffées très superficiels (St 1, 2, 5), associées à des tâches cendreuses (St 3, 4) et évoquant les restes de structures de combustions démantelées (annexe 4-6) et, plus au sud, de fonds de tranchées de fondation linéaires (St 40) difficilement compatibles avec celles des bâtiments pré-céramiques (chap. 8). Ces structures surmontent des unités stratigraphiques colluviales issues du démantèlement des murs de terre crue du Néolithique pré-céramique.
9Il s’y ajoute, une intéressante fosse (St 152) creusée aux dépens des restes arasés du pilier est de l’entrée du Bâtiment communautaire. Elle contenait principalement 148 restes issus d’au moins 8 mérous de grande taille (Epinephelus marginatus et E. cf. aeneus), deux de cochon (Sus s. cf. domesticus) et 11 de daim de Mésopotamie (Dama d. mesopotamica). Il s’agit de déchets de repas qui, s’ils ont tous été pris dans un temps court, suggèrent un niveau de convivialité élevé (annexe 4-7).
10Mentionnons enfin un grand silo aux contours circulaires (St 15) implanté dans le quart sud-ouest du Bâtiment communautaire ainsi qu’une vingtaine de creusements plus modestes (St 134, 140, 141, 145, 146, 147, 149, 150, 151, 155, 157, 164, 165, 167, 169, 176 ; fig. 2-8, annexe 4-4), souvent peu significatifs, situés dans ou aux alentours du comblement du Bâtiment communautaire PPNA. Ils renforcent l’hypothèse d’une occupation Sotira relativement dense sur la moyenne terrasse de Klimonas, dont il ne resterait que les vestiges les plus profonds, l’essentiel ayant été emporté par l’érosion du versant.
1.1.3. Traces d’activités anthropiques dans les zones résidentielles des Secteurs A, B et F (Annexe 4-8)
11Le Secteur B a livré un grand nombre de creusements attribuables au Néolithique avec céramique, notamment à l’intérieur des comblements de bâtiments résidentiels du PPNA (B07, B08, B10, B13, B18-28, notamment ; chap. 7). Leur ampleur est variable, mais ils ont souvent, comme dans le Bâtiment communautaire, fortement affecté les comblements des bâtiments PPNA et souvent atteint leur fond rocheux. Il en va de même dans le bâtiment B800 du Secteur F où les fosses ont peut-être parfois même entamé le sol aménagé PPNA. Les structures ne résultant pas de l’extraction de matériaux de construction (silos, foyers) sont beaucoup plus rares dans les Secteurs B et F que dans le Secteur central. Notons cependant la présence d’une fosse de stockage en Secteur A (St 1004) et d’un très grand creusement cylindrique (St 695) dont le fond n’a pas été atteint en contrebas des bâtiments B13-15 du Secteur B. Il pourrait s’agir d’un grand silo, l’hypothèse d’un aménagement hydraulique n’étant pas exclue.
1.2. Le mobilier céramique (Annexe 4-9)
12Un peu plus de 400 tessons de céramique rapportable au Néolithique ont été décomptés et décrits. Leur distribution spatiale confirme l’impression que le cœur d’activité était alors concentré sur le haut de la terrasse moyenne (Secteur central) : 293 d’entre eux (71 %) viennent du comblement du sondage 168.1 (notamment son niveau supérieur, 1/2 : N = 181), contre 118 tessons répartis dans les fosses creusées dans le comblement des bâtiments communautaire (N = 83) ou résidentiels PPNA des Secteurs B (N = 16) et F (N = 19).
13Les formes représentées sont en majorité celles de récipients tronconiques et de bouteilles à col cylindrique. La décoration de faisceaux de lignes ondulantes sur fond rouge (« combed ware ») ou de bandes peintes en rouge sur fond clair (fig. 4-4) est caractéristique du Néolithique du 5e millénaire cal BC, de la culture de Sotira (Dikaios 1961, Flourentzos 2008).
1.3. Les données bioarchéologiques
14Un nombre limité (N = 6) de carpo-restes provenant du Secteur central peut être attribué à la période Sotira (chap. 23). Il s’agit de méricarpes minéralisés de Boraginaceae (84,9 %), d’un grain d’orge (Hordeum vulgare L.), d’un akène de figuier (Ficus carica L.) et de neuf graines de mauve (Malva sp.). Il s’y ajoute sept charbons de bois dont six viennent de St 152 et un de St 847. Un seul d’entre eux a pu être identifié au niveau du genre (Pistacia sp. ; St 152).
15Une quarantaine de vestiges fauniques a été répertoriée dans les creusements Sotira. Il s’agit des nombreux restes de mérous de la fosse St 152 (annexe 4-7), de quelques ossements de porc domestique, mais surtout de 22 vestiges de daim (Dama d. cf. -mesopotamica) dont 11 issus de St 152, 6 de caprinés (Caprini) et 2 de petits ruminants indéterminés. Les ruminants ont été introduits à Chypre entre la fin du 9e et le début du 8e millénaire (Vigne et al. 2011c) et constituaient, avec le porc, les principales sources d’alimentation carnée à la période Sotira (Croft 1991, Flourentzos 2008). Comme pour la céramique, l’essentiel des restes de ruminants vient du Secteur central (N = 16 + 3 dans le sondage 168.1), devant les Secteurs F (N = 6) et B (N = 5).
2. Restes d’activités rurales des périodes antiques
2.1. Les observations de terrain
2.1.1. Nature et distribution spatiale
16Les 104 structures et 10 unités stratigraphiques rapportées aux périodes historiques sont listées et succinctement décrites dans les annexes des chapitres consacrés à chacun des secteurs de fouille dont elles relèvent (chap. 5 à 8). Elles sont décomptées par secteur dans l’annexe 4-10. Il s’agit à 60 % de fosses de plantation, de restes de murs de terrasses empierrés, d’un probable bâtiment agricole (13 %) et de sillons de labours (12 %). Il s’y ajoute quelques trous de poteau et petits fossés dont l’attribution aux périodes historiques reste souvent douteuse. Contrairement à celles du Néolithique à céramique, ces structures sont distribuées dans la partie basse du site, entre le Bâtiment communautaire et les Secteurs B, C et D (fig. 4-1). Ces deux derniers secteurs n’ont d’ailleurs livré que des vestiges datant des périodes historiques. Le Secteur A et la coupe de la route ont révélé des tubulures de céramique datées des 3e-1e siècles av. n. è., sans doute en rapport avec le drainage du versant et l’alimentation de l’aqueduc -d’Amathonte (Vigne et al. 2011a).
2.1.2. Le Secteur central (Annexe 4-11)
17Sur le comblement du Bâtiment communautaire St 10 et à sa périphérie, notamment au sud, les structures en creux rapportées à la période antique prennent le plus souvent la forme de fosses quadrangulaires aux angles arrondis, peu profondes, à fond plat et au comblement de limon argileux tantôt brun-roux, tantôt composé de limon graveleux beige à jaune pâle. Leurs dimensions sont rarement inférieures à 50 cm de côté, la plupart d’entre elles oscillant entre 80 et 120 cm. Certaines d’entre elles se recoupent, témoignant de plusieurs phases de plantation (jusqu’à trois). Il s’y ajoute un alignement est-ouest de petites fosses plus profondes (St 7), en chapelet, creusées le long de la bordure sud du Bâtiment communautaire, qui pourraient renvoyer à des plantations de vignes. Une figurine anthropomorphe de terre cuite date ce dernier dispositif entre la période géométrique et classique (9e-5e siècles av. n. è.). Signalons en outre la présence de quelques fossés étroits, plus ou moins rectilignes, ainsi que de sillons de labours grossièrement orientés est-ouest, qui n’ont pas fait l’objet de relevés systématiques dans ce secteur de la fouille.
2.1.3. Les terrasses agricoles et aménagements des Secteurs B, C, D et F (Annexe 4-12)
18Sur la bordure méridionale de la terrasse moyenne (partie haute du Secteur B), on trouve encore quelques fosses de plantation, dans la continuité de celles du Secteur central (fig. 4-1).
19Au sud du Secteur B et dans le Secteur D, elles font place à des murets de délimitation de terrasses agricoles destinées à retenir la terre. Au nord-est, il s’agit d’un grand mur de terrasse curviligne (St 6742), globalement orienté est-ouest, probablement très récent. Quelques mètres plus à l’ouest, l’alignement d’une unique assise de pierres, moins soigné, orienté ONO-ESE, (St 6671) a peut-être servi à retenir les eaux dans ce secteur semble-t-il sujet à un intense ravinement (chap. 7).
20Au sud du Secteur B (St 618, 620) et en Secteur D (St 700, 701), deux couples de murs de terrasse soignés mais plus arasés (plus anciens ?), témoignent chacun d’au moins une phase de réfection. Ils sont tous quatre parallèles entre eux et avec l’alignement St 6671. Sur la grande plaque de havara située à la terminaison occidentale du Secteur B (fig. 4-1), deux faisceaux de sillons de labour s’entremêlent, le premier orienté est-ouest, le second ONO-ESE, en cohérence avec les deux orientations marquées par les murs de terrasses dont il vient d’être question. Un septième alignement de pierres, très démantelé, grossièrement orienté est-ouest (St 615, 616), pourrait témoigner d’une phase de terrassement agricole antérieure à celle des deux couples de murets, portant le nombre de phases de réaménagement à quatre (tab. 4-1).
21Ce serait à cette toute première phase antique qu’appartiendrait le reste très démantelé de pignon de mur trouvé à proximité (St 614), accompagné de plusieurs très grandes fosses (St 630, 631, 632) peut-être utilisées pour extraire des produits d’amendement agricoles ou pour collecter les eaux de ruissellement. Ce pignon pourrait correspondre à l’implantation d’un bâtiment en dur, mais la faible densité des vestiges suggère un local technique agricole plutôt qu’une structure résidentielle. Quelques trous de poteau sur la grande dalle de havara portant les traces de labour évoquent aussi l’installation d’abris légers dans ce secteur, sans qu’on ait le moindre indice concernant leur datation.
2.1.4. Accumulations de tessons de céramique en marge du site néolithique
22Deux accumulations massives de tessons de céramique antique ont été reconnues à l’extérieur de l’emprise du village néolithique, dans le Secteur C et dans le sondage de 2009, 169.1 (chap. 2 ; Vigne et al. 2011a). Elles n’ont pas été fouillées de façon exhaustive. Elles suggèrent une histoire antique du versant plus riche qu’il n’y paraît.
2.2. Le mobilier antique (Annexe 4-13)
23Seul le mobilier antique des fouilles 2014-2015 a été étudié (voir cependant Vigne et al. 2011a). Il vient exclusivement de la basse terrasse (Secteurs B, C et D). Il se compose de 261 tessons de céramique renvoyant aux périodes hellénistique, romaine et protobyzantine. Il s’y ajoute trois fragments de figurines de terre cuite datant des périodes plus anciennes (Chypro-géométrique III et Chypro-archaïque I-II), correspondant à la fin de l’Âge du Fer, ainsi qu’une monnaie de bronze trouvée hors contexte et renvoyant probablement à Ptolémée IX Sôter II ou à Ptolémée X.
24Ces vestiges témoignent ainsi d’une fréquentation continue du versant de Klimonas entre le 6e s. av. n. è. et les 5e-6e s. de n. è.
Annexe
KLIMONAS-Ch04-A01, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.34847/nkl.bb38i124
Effectifs des différents types de faits archéologiques attribuées au Néolithique avec céramique (cf. Sotira) dans les différents secteurs décrits au chap. 2 • Numbers of different types of archaeological features dated to the Pottery Neolithic (cf. Sotira) in the different sectors described in chap. 2
Jean‑Denis VIGNE (CNRS)
KLIMONAS-Ch04-A02, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.34847/nkl.06214ew6
Localisation des différents types de structures (avec leur numéro) attribuées aux périodes historiques ou au Néolithique avec céramique (Sotira) • Location of the different types of structures (with their numbers) attributed to the Historic period or to the Neolithic with ceramics (Sotira)
Jean-Denis VIGNE (CNRS), Régis TOUQUET (Inrap)
KLIMONAS-Ch04-A03, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.34847/nkl.b6det13q
La zone nord du Secteur central • The north area of the Central Sector
Jean‑Denis VIGNE (CNRS), Yodrik FRANEL (Inrap), François BRIOIS (EHESS), Jean GUILAINE (Collège de France)
KLIMONAS-Ch04-A04, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.34847/nkl.3ebc1we4
La tranchée orientale du Secteur central • The eastern trench of the Central Sector
Jean‑Denis VIGNE (CNRS), Yodrick FRANEL (Inrap), Pantelitsa MYLONA (MNHN), Thomas CUCCHI (CNRS)
KLIMONAS-Ch04-A05, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.34847/nkl.eae312o7
Les fosses du Néolithique céramique Sotira creusées dans le comblement de St 10 • The Sotira pottery Neolithic pits dug in the St 10 filling
Jean‑Denis VIGNE (CNRS), Yodrik FRANEL (Inrap)
KLIMONAS-Ch04-A06, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.34847/nkl.19a66b55
Amas de pierres chauffées des structures 1, 2 et 3 (Secteur central) • Heaten stone clusters of Structures 1, 2 and 3 (Central Sector)
Jean‑Denis VIGNE (CNRS)
KLIMONAS-Ch04-A07, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.34847/nkl.955fwr48
Description de la fosse Sotira St 152 et de son contenu • Description of the St 152 Sotira pit and its contents
Jean‑Denis VIGNE (CNRS), Philippe BÉAREZ (CNRS), Isabelle Carrère (EHESS), Nicolas DELSOL (Florida Museum of Natural History), Yodrik FRANEL (Inrap)
KLIMONAS-Ch04-A08, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.34847/nkl.4a2f46o9
Trois fosses remarquables du Néolithique à céramique Sotira hors du secteur Central • Three remarkable Neolithic Sotira ceramic pits outside the Central Sector
Jean‑Denis VIGNE (CNRS), Pierre-Antoine BEAUVAIS (Univ. Toulouse)
KLIMONAS-Ch04-A09, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.34847/nkl.2db47hk3
La céramique néolithique • The Neolithic pottery
Jean GUILAINE (Collège de France)
KLIMONAS-Ch04-A10, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.34847/nkl.13a140m4
Effectifs des différents types de faits archéologiques attribuées aux périodes historiques dans les différents secteurs décrits au chap. 2 • Numbers of different types of archaeological features dated to the historical times in the different sectors described in chap. 2
Jean‑Denis VIGNE (CNRS)
KLIMONAS-Ch04-A11, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.34847/nkl.8c54yj1n
Structures agricoles historiques du Secteur central • Historical cultivation pits and ditches of the Central Sector
Jean‑Denis VIGNE (CNRS)
KLIMONAS-Ch04-A12, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.34847/nkl.12cbf1tw
Les aménagements ruraux antiques et historiques des Secteurs B, C, D et F (fouilles 2014) • Ancient and Historic rural features in Sectors B, C, D and F (2014 excavation season)
Jean‑Denis VIGNE (CNRS), Yodrik FRANEL (Inrap), François BRIOIS (EHESS)
KLIMONAS-Ch04-A13, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.34847/nkl.6fe21v9h
Le mobilier antique recueilli à Klimonas en 2014 et 2015 • The antique archaeological material collected in Klimonas in 2014 and 2015
Antigone MARANGOU (Univ. Rennes 2), Manon BUBLOT (Univ. Rennes 2), Ninog JAOUEN (Univ. Rennes 2)
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Klimonas
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