Table des matières
Alain Caillé et Christian Lazzeri
Introduction- De quelques difficultés de la problématique de la reconnaissance
- La reconnaissance, un bien à maximiser ?
- Reconnaître nécessairement, et comment ?
- Consistance et cohérence du concept de reconnaissance
- Reconnus par qui ?
- Reconnaissance de quoi ?
- Sur le présent livre
- Première partie : Les politiques de la reconnaissance
- Deuxième partie : Quelle reconnaissance ?
- Troisième partie : Critiques de la problématique de la reconnaissance
- Quatrième partie : Ouvertures anthropologiques
Première partie. Les politiques de la reconnaissance
Axel Honneth
Traduit de l’Allemand par Marion Schumm (trad.)
Justice et liberté communicationnelle. Réflexions à partir de HegelStéphane Dufoix
Connaître et reconnaître le passé ? Huit dimensions des politiques de reconnaissanceChristian Nadeau
Justice transitionnelle et théories de la reconnaissance- Première partie : Les théories de la justice transitionnelle
- Les thèses de Jon Elster
- a) La hiérarchie des motivations
- b) Les institutions de la justice transitionnelle
- c) Les niveaux de la justice transitionnelle
- Deuxième partie : les théories de la reconnaissance
- A) Reconnaissance et mouvements sociaux
- B) Reconnaissance et délibération
- Conclusion
Deuxième partie : Quelle reconnaissance ?
Alessandro Pizzorno
Christian Lazzeri (trad.)
Rationalité et reconnaissance- Les carences fondamentales de la rationalité instrumentale
- Les deux jugements absents dans la théorie du choix rationnel : le jugement du moi futur et le jugement des autres
- La structure de la subjectivité et les conséquences de l’omission du temps
- La structure de l’altérité : les conséquences de l’omission d’autrui
- La reconnaissance comme sociabilité
- Les carences fondamentales de la rationalité instrumentale
- L’opération du jugement
- Adam Smith et Rousseau : le regard des autres et son horreur ambiguë
- L’attention aux rapports interpersonnels comme structure de la subjectivité : Hegel
- La référence aux situations de reconnaissance dans la pensée sociologique : Weber et Durkheim
- Une typologie des théories sociologiques de la « reconnaissance »
Sandra Laugier
Stanley Cavell : scepticisme et reconnaissanceEstelle Ferrarese
Performativité, pouvoir, vulnérabilité. À propos de quelques immanquables corrélats de l’idée de reconnaissanceOlivier Voirol
Invisibilité et « système ». La part des luttes pour la reconnaissance- Le concept de « système » chez Habermas
- Reconnaissance et estime sociale
- Le concept d’estime sociale
- Estime sociale et « abstraction des rapports sociaux »
- Le concept d’invisibilité : exclusion et abstraction
- Exclusion : l’activité « invisible »
- Abstraction : la réduction des rapports sociaux
- L’invisibilité comme « abstraction des rapports sociaux »
- L’oblitération de la reconnaissance
- La part des luttes pour la reconnaissance
Jacques Bidet
La « métastructure », concept de la reconnaissance / méconnaissance- La reconnaissance/méconnaissance métastructurelle : l’amphibologie de l’interpellation
- La contradiction
- L’amphibologie
- Le système-monde, la lutte sans la reconnaissance
- La compénétration entre structure et système : l’universalisation de la reconnaissance /méconnaissance
- Le système détermine (pervertit) la structure État-nation
- L’État-monde détermine le système-monde, et vice versa
Troisième partie : Critiques de la problématique de la reconnaissance
Patrick Pharo
Les ambiguïtés de la reconnaissanceElena Pulcini
Pathologies de la reconnaissanceQuatrième partie : Ouvertures anthropologiques
Philippe Chanial
Sauver l’honneur, dompter l’envie. Splendeurs et misères de la reconnaissance en démocratie selon A. de TocquevilleFrançois Flahault
Reconnaissance et anthropologie générale- I.
- II.
- La reconnaissance comme don premier
- La reconnaissance n’est pas la seule modalité du lien existentiel avec les autres
- Il est néfaste que le désir d’exister soit entièrement absorbé par des enjeux de reconnaissance
- Reconnaissance inconditionnelle, reconnaissance conditionnelle
- Reconnaissance ne veut pas toujours dire réciprocité