Chapitre 15 – Bilan et perspectives
Vers la Géologie sociale
p. 197-205
Texte intégral
Introduction
1Le développement du gaz de charbon en Lorraine se situe à la croisée de différents courants techniques, économiques, psychosociaux, juridiques et politiques. Une nouvelle technologie, importée d’Amérique, renouvelle le potentiel énergétique du vieux bassin charbonnier : le charbon, minerai phare de la révolution industrielle (chapitre 6), celui de l’entrée dans l’Anthropocène, revit par la grâce d’une technologie de pointe, quasi maitrisée (chapitre 5). Elle vient rallumer la flamme économique d’une région en déshérence industrielle (chapitre 2) et met en lumière les choix fondamentaux du développement. Elle bouscule les structures juridiques et politiques (chapitres 12 et 14), pose la question du temps et de l’espace du développement économique (chapitre 9).
2Les travaux entrepris dans le cadre de l’initiative « GazHouille » ont tenté de mettre l’accent sur plusieurs aspects, depuis des problématiques géologiques pointues (chapitre 4) aux questions de régulation nationale. Ils déclinent le temps, des minutes du dégazage des petites bulles de méthane dans les couches de charbon (chapitre 5), au temps industriel (chapitre 6), aux années de transition entre les Houillères du Bassin de Lorraine et EGL, deux entreprises archétypales de leurs époques. Ils déclinent l’espace entre le site du forage (chapitre 5), la population qui vit sur les ressources gazières (chapitre 2), les collectivités territoriales et l’État (chapitres 9 à 12), les voisins allemands (chapitre 13) et le marché mondialisé du gaz (chapitre 9). Le sujet est immense, imbriquant le local et le global. Nos études ne représentent donc que des fenêtres bien modestes vis-à-vis de ces problématiques très vastes.
Les espaces du projet
3L’initiative « GazHouille » s’est déployée dans le temps et dans l’espace, depuis une approche locale à régionale, à une approche plus globale, depuis des processus physiques quasi instantanés à de longues constructions dans le temps.
Espaces
4À l’échelle locale, nous avons pu mieux comprendre les aspects géologiques et techniques à l’échelle des objets souterrains concernés. Ainsi, l’anticlinal qui permet une focalisation du gaz mesure de l’ordre de la dizaine de kilomètres (chapitre 4). Les impacts économiques du projet dans la région Lorraine sont d’une taille comparable : les emplois créés, les effets structurants en amont et en aval concerne le nord-est de la France, rarement au-delà (chapitre 9). Le projet ne révolutionne pas les choix énergétiques nationaux, mais permet de contribuer à la revitalisation d’une région en difficile ré-industrialisation.
5Un autre aspect spatial concerne la géométrie du gisement. Le gaz est une ressource diffuse, extraite sur plusieurs points (chapitres 3, 4 et 5). Cette spatialité en rend la gestion bien différente de celle des anciennes exploitations, concentrées autour d’un puits. Avec une distribution plus large de l’exploitation, les personnes concernées sont plus nombreuses, et la gestion nécessite alors une plus forte concertation. Sur le plan minier, la baisse des teneurs d’exploitation dans la quasi-totalité des gisements conduit effectivement à exploiter un minerai plus diffus et à développer des techniques nouvelles, parfois in situ comme le lessivage en place des grès uranifères. Ces gisements diffus se développent alors sur de vastes surfaces et nécessitent de multiples sites de production. Nos sociétés semblent être à l’image de ces gisements diffus : elles ont dévoré tout l’espace, deviennent plus décentralisées. Connectées, friandes de démocratie participative, nos sociétés demandent un plus large partage des savoirs et des prises de décision collectives issues de communautés diffuses. Elles tendent à quitter le financement capitaliste, centralisé autour d’une seule tête (capita) pour s’ouvrir sur des financements collectifs par actions, au xxe siècle, et sur le financement participatif du xxie siècle.
6À l’échelle nationale et internationale, le projet interpelle les impacts de l’État français et de sa régulation souvent colbertiste. L’année 2015 a été ainsi marquée par la mise en place d’une initiative du ministre de l’économie sur la Mine responsable, qui a débouché sur un Livre blanc précisant les attentes économiques et sociales vis-à-vis des entreprises extractives au-delà de la seule régulation législative. Même s’il n’a pas été conçu pour impliquer les entreprises d’extraction du gaz de charbon, ce code de bonnes pratiques devrait impacter l’ensemble des activités dans ce domaine à terme. De la même manière, la tenue de la COP21 à Paris à l’automne 2015, a conduit l’ensemble des pays signataires, et au premier plan la France, à démontrer son implication dans la réduction des usages des gaz à effet de serre. Le gaz y apparaît plus du côté des problèmes que du côté des solutions.
7Au-delà de l’État, l’initiative « GazHouille » a permis d’analyser les relations parfois inédites entre local et global. Ainsi, l’étude des réactions de la presse sur le projet (chapitre 7) illustre toute l’importance du discours local vis-à-vis d’une presse nationale curieusement peu présente dans le débat.
Temps
8Le projet Gazouille s’est intéressé à de multiples échelles temporelles, sans doute sur plus de 9 ordres de grandeur. Les plus longues durées sont celles des géologues, s’intéressant à des gaz qui ont commencé à se former il y a 300 millions d’années (chapitre 3). Le dégazage et l’accumulation dans des structures tectoniques ont pris aussi beaucoup de temps, des centaines de milliers d’années.
9Aussi importante, mais plus courte est l’histoire des structures, des hommes et de leur représentation juridique. Ainsi en est-il des oscillations de la valeur du sous-sol au gré des changements technologiques et sociétaux : le grisou, un produit toxique, « le tueur des canaris », devient une solution du redéveloppement économique, et même une énergie renouvelable en Allemagne (chapitre 13) ! C’est l’inverse du mercure, le vif argent magique des alchimistes, devenu un produit toxique dont l’exploitation est interdite en Europe. Les technologies changent, notre regard change : inconstance de notre rapport à la nature, reconfigurant l’espace souterrain dans des systèmes sociotechniques qui évoluent en continu. L’analyse des entretiens réalisés pendant cette étude souligne d’ailleurs l’absence de lien entre connaissance et image à valence positive ou négative chez les participants (chapitre 7). C’est donc bien l’évolution globale des valeurs qui contribue à influencer le débat. La raison seule ne convainc pas !
10Le projet Gazouille se situe dans le temps de la ré-industrialisation, « après l’après mine »... La France a connu une vingtaine d’années sans développement industriel du sous-sol. Le réveil se fait dans contexte bien différent, où les cartes industrielles et scientifiques ont été redistribuées dans le monde. Le super cycle des matières premières s’est achevé et le monde globalisé du début du xxe siècle se transforme progressivement en un agglomérat de pays endettés et d’investisseurs plus frileux.
11L’histoire du projet lui-même s’inscrit aussi dans le temps. L’arrivée des australiens de Kimberley Oil coïncide avec la fin des HBL (chapitre 5). L’héritage des connaissances sur le milieu souterrain lorrain sera en partie sauvé par cette coïncidence temporelle. Ce quasi-hasard souligne en passant notre déficit de la gestion des archives su sous-sol. L’histoire des hommes marque aussi le positionnement vis-à-vis du gaz de charbon : tandis que les anciens des HBL continuent de croire au développement économique depuis la richesse du sous-sol (chapitre 6), les jeunes urbains renvoient le gaz au passé extractiviste, à contretemps de la transition énergétique (chapitre 7 et 14). L’histoire des lois marque aussi le débat. Avec une lenteur atemporelle, en réforme depuis des années, la loi minière tente de rattraper le présent (chapitre 12) : l’État en est contraint à envisager une gestion par ordonnances et laisse l’espace libre aux normes industrielles autogérées.
12Enfin, l’histoire récente, courte, rapide, intervient aussi en filigrane dans l’étude. Le prix du gaz et du pétrole s’est effondré entre le démarrage du projet et la date du présent rapport (chapitre 9) : le temps économique bouleverse le politique et le social. Le changement se produit en quelques années et affecte un projet industriel aux longs délais techniques et administratifs. 50 % des projets miniers nécessitent maintenant au moins deux cycles de boom économiques pour arriver à l’exploitation (Boukachabia et Jébrak, 2015). Entre espoirs et craintes, en l’absence de vigie, en l’absence d’un discours structurant des politiques, les citoyens risquent d’en sortir amers.
Conclusions et perspectives
Limites du projet
13L’initiative « GazHouille » prenait un risque méthodologique considérable : réunir sciences de la Nature, tentant d’objectiver le réel, et sciences humaines et sociales, vouées notamment à l’analyse des représentations.
14Plusieurs volets n’ont pas pu être abordés. Deux doivent être soulignés : les acteurs étatiques d’une part, et ceux de l’intermédiation d’autre part. Dans un pays comme la France, les acteurs étatiques jouent un rôle majeur. Ils assurent un suivi de tous les projets industriels ; toutefois, dans le domaine des ressources, l’État français a perdu un grand nombre de ses compétences et celles qui subsistent sont distribuées dans différentes structures disciplinaires rarement coordonnées. Comme dans beaucoup de pays, on note un manque de familiarité avec les structures de capital de risque anglo-saxonnes (sociétés « juniors ») qui constituent la base même du projet de gaz de charbon. On passe alors de la gestion à la gouvernance des ressources du sous-sol, une transformation aux fortes implications sociales et juridiques (Supiot, 2015). La comparaison avec l’Allemagne si proche est édifiante (chapitre 13). Les mécanismes de centralisation français fragilisent les investissements dans les ressources puisque le local voit ses intérêts et sa maîtrise disparaître... Comment introduire alors une démocratie plus participative dans des sujets dont les enjeux économiques touchent rapidement à l’économie nationale ? Comment valoriser les savoirs face aux idéologies ? La problématique est générale pour tous les grands projets prégnants sur le territoire. Il faut alors des leaderships clairs pour clarifier les options vis-à-vis d’un public dont l’attention est souvent fugace. Sans une volonté politique et un cadre institutionnel stable, le développement cohérent des territoires n’est pas envisageable.
15Le domaine de l’intermédiation n’a pas non plus été abordé. Comme dans tous les systèmes sociaux, il apparaît des individus, parfois des structures, qui permettent les transferts d’information, la traduction indispensable : c’est le cas des anciens mineurs des HBL par exemple, riches d’une expérience du charbon et aujourd’hui dans la société civile (chapitres 5 et 6). Ce serait également le cas des journalistes, à l’écoute des préoccupations environnementales de la population.
16Malgré ces lacunes, « GazHouille » a permis un dialogue fructueux entre experts, et même entre experts et opérateur. Pour couvrir la variété des espaces-temps, le tuilage de l’objet a permis une vision multidimensionnelle. Chacun a été surpris : ainsi, le géographe a comparé les réserves diffuses de gaz de charbon aux éoliennes (chapitre 5) ! Le non renouvelable au renouvelable, le solide au vent... Les productions énergétiques pourraient ainsi devenir de plus en plus distribuées, alors que la concentration des humains dans les villes ne fait qu’augmenter ! Le sociologue a souligné que le géologue universitaire et l’écologiste militant partageaient la même passion des connaissances (chapitre 8).
17Il n’en reste pas moins qu’il est difficile de passer d’une vision multidisciplinaire, collage de regards variés sur le même objet, à une vision transdisciplinaire, créant une approche commune, voire un outil commun. Les méthodes classiques de la géographie permettent une vision cohérente, mais ce n’est pas sans défi. Ainsi, il avait été pensé au début du projet de cartographier des facteurs techniques et sociaux à une échelle régionale : il aurait ainsi fallu cartographier la géologie, la psychologie, la sociologie, l’environnement, la politique... puis procéder à leurs corrélations dans un espace multivarié. On aurait pu ainsi voir si les zones d’acceptabilité plus élevée coïncidaient avec les zones au plus fort potentiel gazier. C’est l’approche du grand André Siegfried en 1913 : « le calcaire produit l’instituteur, le granite produit le curé »... Une telle approche nécessite de grandes bases de données, souvent des raccourcis conceptuels audacieux... et le résultat n’est pas garanti (Gamache, 2005) ! Il était impossible de mener une telle étude avec les moyens consentis.
18Une autre approche serait de faire appel à l’analyse systémique (Prno et Slocombe, 2014). Ce type d’analyse permet notamment de mettre en évidence les facteurs les plus importants dans un système complexe. L’analyse des flux et des blocages peut permettre de cibler les déterminants possibles des crises. La multiplicité des facteurs sociotechniques dans le développement minier rend toutefois le travail difficile et souvent spécifique à chaque projet.
Des regards croisés
19L’initiative « GazHouille » constitue l’une des premières études intégrant les sciences naturelles et les sciences humaines autour d’un projet de développement des ressources en France. Ce domaine a connu un développement significatif avec le retour à la croissance de l’industrie extractive dans la décennie 2000-2010 (Jébrak, 2015). Plusieurs aspects ont été particulièrement développés au cours de ces dernières années : la responsabilité sociale des entreprises, le permis social d’opérer et l’analyse du risque social des projets.
20La responsabilité sociale des entreprises porte sur les relations locales entre entreprise et communauté (Jenkins et Yakovleva, 2006 ; Luning, 2012). Ce sujet n’a pas été beaucoup étudié au cours du travail de « GazHouille ». Il est au cœur de nombreuses controverses dans les pays miniers, des pays où la réduction néo-libérale de l’État a laissé les entreprises face à face avec les communautés locales. Cette question de la responsabilité sociale est multiscalaire : elle questionne le rôle de chacun des acteurs du dialogue, aussi bien du point de vue technique que social. Elle questionne l’organisation des débats et des décisions. Comment rétablir un débat démocratique au-delà des intérêts spécialisés ?
21Le permis social d’opérer (social licence to operate) représente la vision que l’entreprise a sur ses partenaires sociaux, locaux et nationaux (Moffat et Gonzalez, 2015 ; Owen et Kemp, 2013 ; Prno et Slocombe, 2012). Cette notion s’ajoute aux contraintes législatives en place. Elle tend à se cristalliser sous forme de normes professionnelles, voire de Livres blancs construit en partenariat entre les autorités de tutelle et les personnes concernées (stake holders). L’entreprise EGL s’est relativement peu impliquée dans cet aspect aujourd’hui, mais il ne fait pas de doute qu’elle devra en tenir compte.
22Plus récente, l’analyse du risque social des projets représente plutôt une vision externe aux opérateurs miniers et aux communautés sociales (Bergeron et al., 2015) ; c’est la vision des investisseurs, voire des gouvernements, qui souhaitent disposer au plus tôt d’une évaluation des risques du projet, en fonction de leur intérêt.
Une discipline en émergence
23L’ensemble de ces méthodologies forme une discipline en émergence, autour des interactions sociales de l’extraction minière. Cette discipline n’a pas encore de nom. La revue récente Extractive industry and society, publiée par Elsevier en représente l’expression académique anglo-saxonne, consacrée à la diffusion d’analyses approfondies des impacts socio-économiques et environnementaux de l’industrie minière et pétrolière sur les sociétés, à la fois anciennes et actuelles. Les Sud-Américains ont développé un concept pour décrire les aspects négatifs de l’extraction minière sur nos sociétés : « l’extractivisme » (Abraham et Murray, 2015). L’extractivisme est relié à l’intensification de l’exploitation industrielle des ressources naturelles, biologiques, géologiques et même touristique. L’approche critique vise à envisager un avenir post-extractiviste, à base d’anticapitalisme et d’arrêt de la croissance. Le terme est dont très connoté politiquement et ne pourrait être utilisée comme base d’un logos.
24Cet ouvrage marque l’émergence d’un nouveau domaine d’étude, à la croisée des sciences naturelles et des sciences sociales. Comme dans beaucoup d’autres exemples, la nécessité d’une telle association des savoirs est posée par les praticiens. Elle doit ensuite évoluer en empruntant des concepts aux diverses disciplines, puis en forgeant ses propres objets, ses propres classifications et de nouvelles applications. Nous proposons donc le terme de Géologie sociale pour rassembler les différents travaux des disciplines des sciences naturelles et humaines autour de l’exploration et l’extraction des ressources minérales. Le projet GazHouille apparaît ainsi comme une des premières contributions françaises à cette nouvelle discipline.
Bibliographie
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Références bibliographiques
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10.2307/j.ctt1f116qt :Boukachabia, M., Jébrak., M. (2015). Le processus de découverte des grands projets miniers : du modèle focalisé des espaces vierges au modèle ponctué des pays miniers ; in Lehman, V., Motulski, B., Colomb, V. (Eds) Changement et grands projets ; des choix engagés, partie 3. Presse de l’Université du Québec, p. 43-55
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Prno, J., Slocombe, D.S. (2012). Exploring the origins of « social licence to operate » in the mining sector : Perspectives from governance and sustainability theories. Resources Policy, 37 : 346-357.
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Supiot, A. (2015). La gouvernance par les nombres. Cours au Collège de France (2012-2014) Fayard, Poids et mesures du monde, 520 p.
Auteurs
Réseau d’Excellence Mine et Société, Université de Lorraine Chaire en entrepreneuriat minier UQAT-UQAM
Réseau d’Excellence Mine et Société, Université de Lorraine Chaire en entrepreneuriat minier UQAT-UQAM
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