La Balagne, entre pression foncière et revalorisation des jardins
p. 127-139
Texte intégral
Une urbanisation littorale et diffuse
1Le choc urbano-touristique décrit précédemment a conduit à ce que l’on peut appeler le « retournement du territoire balanin »55, aussi bien en matière de démographie, d’économie ou encore de modes de vie. Ces profondes mutations transparaissent dans l’évolution des paysages ruraux qui sont marqués à la fois par la reprise de la végétation et par l’avancée de l’urbanisation littorale (Illustration 16).
2L’analyse des modes d’occupation des sols et des mutations foncières permet d’appréhender plus précisément les conséquences de ce retournement territorial : les changements de vocation de l’espace et les conflits entre usages concurrents56 ou les valeurs vénales de la terre sont autant d’indicateurs qui peuvent être produits à partir d’une observation foncière spatialisée.
3En premier lieu, le suivi spatio-temporel de l’évolution du bâti57 met bien en évidence l’étalement urbain qui s’est produit depuis les années 1970 suite au 1er choc urbano-touristique qu’a connu la Balagne. On note que l’urbanisation s’est diffusée au sein des dents creuses des villes de Calvi et L’Île-Rousse mais aussi de façon concentrique depuis ces deux villes et autour des villages de piémont qui constituaient l’essentiel de l’habitat dense dans les années 1970 ; l’étalement de la tâche urbaine fut également très influencé par le développement des réseaux routiers, longeant la route nationale bordant la frange côtière ainsi que les routes secondaires d’accès aux villages rétrolittoraux (Cartes 10 à 12).
4L’ouverture d’espaces à l’urbanisation s’est également faite à proximité du trait de côte, « les pieds dans l’eau », autour de lotissements touristiques et/ou dédiés au résidentiel secondaire, comme l’illustre bien l’exemple de la Marine de Davia construite sur la commune de Corbara dès les années 1970 et dont l’emprise spatiale s’est très largement étendue depuis (Figure 15).
5Il convient enfin de remarquer que la dissémination importante du bâti individuel conduit à un indéniable mitage de l’espace dont les conséquences paysagères et économiques pour la collectivité sont très largement décriées, en Corse comme ailleurs.
6Désormais, comme l’illustre la carte 13 construite par la méthode des noyaux de densité, l’urbanisation s’est tellement étendue, voire distendue, que la tâche urbaine finit par connecter :
D’une part, les communes littorales et les communes de piémont : avec la saturation de la frange côtière, le report des constructions s’est fait en direction des villages de piémont. Ainsi, on observe qu’en 2007 Calvi et Calenzana sont connectés ainsi que L’Île-Rousse avec tous ses villages rétrolittoraux (Monticello, Santa-Reparata, Corbara, Aregno) ;
D’autre part, les aires d’influence de Calvi et l’Île-Rousse, qui se recoupent en la commune d’Algajola.
7Cette analyse de la dynamique d’urbanisation de la Balagne depuis les années 1970 met donc en exergue que le système est caractérisé par une rupture nette avec l’organisation « traditionnelle » des terroirs méditerranéens, qui s’appuyait jusqu’alors sur le triptyque hortus/saltus/silva. La nouvelle organisation spatiale qui résulte du « retournement territorial » remet en cause l’articulation villes-campagnes qui avait perduré tant bien que mal aux périodes antérieures, en dépit des bouleversements politiques et économiques. Ces profondes mutations interpellent quant au maintien de l’équilibre entre usages de l’espace et posent la question de la durabilité du système territorial.
Encart 1 – Analyse de la tache urbaine par la méthode des noyaux de densité
Cette méthode d’analyse spatiale est utilisée ici afin d’appréhender l’évolution de la tâche urbaine entre différents pas de temps (1975-1982 ; 1982-1996 et 1996-2007) à partir des données de la BD Topo-IGN® portant sur les bâtiments habitables. En comparaison d’une observation classique de localisation du bâti vectorisé, elle a pour avantage de représenter la tâche urbaine dans sa continuité spatiale et de mettre en exergue l’évolution de son emprise spatiale sur la zone d’étude.
Cette représentation s’appuie sur la mesure des densités de bâtiments par maille d’observation à partir du calcul des noyaux de densité des mailles considérées (matrice rastérisée appliquée au territoire d’étude). À chaque maille est associée la valeur lissée (suivant une Loi Normale) de la somme du nombre de bâtiments pondérée par la distance. Les valeurs extrêmes ont été exclues de l’analyse afin d’éviter une surreprésentation du bâti isolé diffus.
Malgré son intérêt en termes de représentation et de compréhension de l’expansion du phénomène d’urbanisation sur le territoire, il convient de remarquer que cette méthode présente quelques limites dont il faut tenir compte pour l’interprétation : forcément moins précise pour localiser le bâti individuel dont ce n’est pas réellement l’objectif, elle dépend fortement du choix du facteur de lissage qu’il convient de déterminer avec le plus grand soin afin d’éviter le trop grand morcellement de la tâche ou sa trop forte homogénéisation.
Un foncier rural sous pression
8Tourisme et agriculture se nourrissent des mêmes lieux et se concentrent en priorité dans les plaines côtières fertiles et accessibles, ce qui génère des conflits parfois très tendus entre les deux activités. Cette concurrence foncière est d’autant plus aiguë que l’insularité dans ses limites géophysiques renvoie à la finitude de l’île et par là même, à un stock limité de ressources naturelles non renouvelables. En réalité, l’exiguïté de l’espace tient aussi et surtout à la rareté des droits fonciers d’exploitation dans des contextes insulaires où les droits coutumiers (bail verbal par exemple) se heurtent à la propriété individuelle et où l’indivision peut contribuer au blocage foncier. L’attachement à la terre et à l’identité locale, très présent au sein des sociétés rurales méditerranéennes et insulaires, et la rapidité des mutations territoriales tendent aussi à expliquer la prégnance du fort sentiment de dépossession foncière développé par les sociétés locales58.
9Tandis que les espaces naturels sont relativement bien préservés par un arsenal législatif riche mais complexe, le foncier rural sert au contraire de réserve pour les projets d’urbanisation59. En conséquence, la forte demande urbano-touristique pousse le prix du foncier rural à la hausse : selon Janine Renucci, le prix de la terre agricole sur le littoral balanin était de 1 Franc/m² en 195660 ; il est passé à 6 € 2008/m² en 199861 et à 27€ 2008/m² en 2008 pour l’ensemble des communes littorales de Calvi, Lumio, Algajola, Corbara, Monticello, L’Île-Rousse, Belgodere (Carte 14)62.
10Ce niveau des valeurs vénales est largement supérieur au prix véritablement agricole, c’est-à-dire au prix d’une parcelle échangée sur le marché et dont l’usage pour la production agricole63 est avéré suite à la transaction. On remarque que le prix de la terre atteint les valeurs les plus élevées sur la frange côtière et dans les villes où la ressource est rare (Algajola et l’Île-Rousse notamment, communes urbaines saturées, de très petite superficie). En Balagne, comme sur d’autres littoraux d’ailleurs64, ce prix tend à décroître lorsqu’on s’éloigne du trait de côte vers l’intérieur des terres.
11La pression qui s’exerce sur la terre agricole représente une véritable contrainte pour le développement agricole et rural : renchérissement du coût du facteur de production, difficultés à trouver du foncier disponible, morcellement des exploitations et conséquences en termes d’organisation du travail, frein à la structuration de l’outil productif, etc. Les impacts sont réels et la gestion des espaces agricoles est un enjeu central pour la structuration des exploitations et le développement de l’agriculture, toutes spéculations confondues, en Balagne65 comme ailleurs66.
12Cette situation foncière extrêmement tendue témoigne d’un problème d’accession à la propriété et d’un phénomène de ségrégation socio-spatiale qui déborde largement le cadre du développement agricole comme l’illustrent les quelques indicateurs suivants : de façon générale, sur le marché foncier rural du littoral corse67, rares sont les acquéreurs de profession agricole (moins de 10 %) et un quart des transactions ont été réalisées par des acheteurs déclarant une adresse de résidence principale hors de Corse68.
La revalorisation touristique des patrimoines ruraux
13Tandis que le tourisme contribue très largement à l’urbanisation du littoral balanin et tend à exercer une pression foncière indéniable sur les espaces ruraux, en contrepartie, la demande touristique peut agir comme un puissant levier de développement local69. Les touristes cherchent désormais à consommer un « panier de biens et services territorialisés », panier spécifique du territoire visité70. Dans ce contexte, le tourisme fonctionne comme un intégrateur de la demande de patrimoine rural.
14Les acteurs du territoire de Balagne ont d’ailleurs entrevu très tôt cette opportunité de revalorisation des patrimoines locaux et de la ruralité : dès les années 1980, les populations locales ont pris conscience des externalités négatives générées par un tourisme balnéaire de masse, saisonnier et très littoralisé, et ont décidé de s’investir dans un renouveau touristique qui s’inscrit plus largement dans le mouvement de riacquistu de la culture insulaire et de soutien à l’« économie identitaire »71. S’appuyant sur une gouvernance locale dynamique et spécifique dans le paysage insulaire corse72 les acteurs locaux ont choisi de développer leur territoire autour du couple « Nature - Culture ». Dès lors, c’est un tourisme plus respectueux des hommes et des territoires qui est prôné : un « tourisme intégré socialement, spatialement et économiquement »73. En ce sens, les articulations entre le tourisme et les activités traditionnelles comme l’agriculture sont encouragées par de nombreux projets de développement et d’aménagement.
15On constate ainsi que, tandis que la fréquentation n’a cessé d’augmenter et que le tourisme balnéaire persiste, d’autres formes de tourisme se structurent : entre autres exemples, l’agritourisme est un marqueur des complémentarités qui se tissent à nouveau entre les espaces (littoral/intérieur), les activités (agriculture/tourisme) et les hommes (résidents/touristes). On note que depuis 2003, en Balagne comme partout en Corse, les projets agritouristiques bourgeonnent : de nombreuses initiatives voient le jour, du classique hébergement à la ferme proposé comme complément du revenu agricole, à la prestation complète et intégrée combinant hébergement, restauration et loisirs à la ferme, en passant par des activités plus innovantes comme les balades patrimoniales de découverte de la faune et la flore locales74.
Encart 2 : La réhabilitation des « Jardins de Pigna – Orti di quì »
Si la prise de conscience des villageois de Pigna quant à la nécessité de revaloriser les jardins en terrasses autour du village fut très précoce (suite au grand incendie de 1986 notamment), le projet de leur remise en production n’a véritablement vu le jour qu’en 2010 grâce à la coopération entre différents acteurs publics et privés. Il faut néanmoins rappeler que ce projet a germé sur un terreau fertile : Pigna est en effet l’un des creusets du mouvement du riacquistu de la culture corse ; c’est en ce lieu que la coopérative d’artisans insulaires Corsicada a pris racines et a su faire fructifier le potentiel productif et le « génie des lieux », inspirant toute une génération.
De la production culturelle aux prestations de services touristiques, divers projets ont essaimé au sein du village depuis la création du collectif. Côté nature, après la relance de l’oliveraie et la tentative avortée de réexploitation des orangeraies, ce sont i giardini, les jardins en terrasses, qui ont fait l’objet d’une revalorisation symbolique et économique fondée sur un renversement des valeurs : si cultiver son jardin était autrefois un signe de pauvreté, c’est désormais devenu un symbole du retour aux sources, du « bien-manger » sain et local, une garantie de lien à l’origine et à la qualité des produits.
Le village peut se targuer de récolter aujourd’hui les fruits d’un labeur de plusieurs campagnes en faisant valoir ce projet de jardins qui a valeur d’exemplarité pour d’autres. Avec le soutien des élus communaux, des institutions locales (Office de Développement Agricole et Rural de la Corse, Office d’Équipement Hydraulique de Corse), de la Fondation du Crédit Agricole, et la mobilisation d’acteurs-leaders du village, une association foncière rassemblant vingt-et-un propriétaires fut créée en 2010. Cette mobilisation foncière a permis l’installation d’une jeune maraîchère qui a fait le choix de commercialiser ses légumes issus de l’Agriculture Biologique sur des circuits courts de distribution, directement du producteur au consommateur (marchés de village, paniers). Marque de qualité du projet et de sa réussite, l’exploitante est en plein développement de son outil productif : elle a déjà pu devenir propriétaire de l’une des parcelles valorisées et elle remet actuellement en production de nouveaux lots mis à disposition en fermage, mécanisables, afin de structurer son exploitation.
Sur ces terrasses, d’autres projets devraient voir le jour d’ici peu : une ancienne pépinière royale est en cours de réhabilitation par la famille propriétaire ; des « jardins partagés » devraient être aménagés pour les résidents du village par la commune.
Ces projets s’inscrivent plus largement dans une démarche multipartenariale de développement territorial intégré, s’appuyant sur une vision partagée de la valorisation des patrimoines naturels et culturels (ouverture et entretien de sentiers pastoraux, revalorisation du petit patrimoine bâti comme les fontaines, murets de pierres sèches, murs des jardins traditionnels enclos, etc.), la préservation du foncier dans le cadre de la carte communale et la coopération entre collectivités et bailleurs publics et acteurs privés.
16Dans le même sens et comme il a été vu dans la section précédente, un regain démographique commence à animer les villages rétrolittoraux et les arrière-pays qui s’investissent dans la revalorisation des produits locaux, la remobilisation d’un foncier devenu improductif, et la revalorisation des espaces et paysages agraires. Certains circuli et giardini sont réhabilités et réappropriés par des collectifs d’acteurs du territoire à l’image des jardins de Pigna (Encart 2) ; des chemins de servitude et des parcours pastoraux sont entretenus pour des usages productifs, voire parallèlement, pour de nouveaux usages de loisirs75.
17La réhabilitation des terrasses et jardins (Illustration 17), la revalorisation des sentiers pastoraux, ou encore la touristification des propriétés rurales par des hommes qui tentent de donner une seconde vie aux savoirs et savoir-faire « traditionnels », peuvent représenter autant de sources de cristallisation des structures productives anciennes transmises en héritage, en réarticulant villes et campagnes, littoral et arrière-pays. Ces permanences du système territorial sur le temps long ne seraient-elles pas finalement les ferments d’une adaptation du système balanin actuel dont on pourra dire dans quelques dizaines d’années qu’il aura finalement été résilient ?
Notes de bas de page
55 Tafani C., 2010a, op. cit.
56 Activités productives versus activités résidentielles et de loisirs.
57 Cette observation a été réalisée à partir de la Base de Données TOPO fournie par l’Institut Géographique National (IGN), base de données la plus fiable et la plus précise pour mener un analyse des modes d’occupation des sols à cette échelle micro-locale. En effet, les données de télédétection Corine Land Cover ne permettent pas d’obtenir une représentation réaliste de l’évolution des modes d’occupation des sols en Balagne (carroyage d’observation grossier, pas de temps large entre deux prises de vue, difficulté d’interprétation sur les usages réels des sols, notamment en ce qui concerne les espaces ouverts, naturels et agricoles). Par conséquent, l’évolution des sols ne peut se faire qu’à partir du suivi de l’urbanisation et de l’artificialisation.
58 Voir sur ce point : Magnan A., « L’espace littoral a-t-il toujours de la valeur ? Réflexion à partir du cas de l’île Saint-Martin (Petites Antilles) », Norois no 206 (1), 2008, p. 37-52, Tafani C., 2010b « Littoral corse : entre nature et urbanisation, quelle place pour les terres agricoles ? », Méditerranée – Revue de géographie des pays méditerranéens, no 115, p. 79-91.
59 Tafani C., 2010a, op. cit.
60 Renucci J., 1974, op. cit.
61 En euros constants (prix déflatés).
62 Données SAFER Corse pour la période 1998-2008.
63 Le prix médian pour un usage agricole certain sur l’ensemble de ces communes et la même période était de 0,6€/m² et de 6,7€/m² pour un usage agricole incertain.
64 Dachary-Bernard J. et al., « L’impact de la littoralisation sur les valeurs foncières et immobilières : une lecture différenciée des marchés agricoles et résidentiels », dans Cahiers du GREThA no 7, 2011, 29 p.
65 Tafani C., 2010b, op. cit.
66 Voir notamment les travaux suivants : Jouve A.-M., Napoleone C., « Stratégies des agriculteurs et réorganisations spatiales sous contraintes de la périurbanité, Étude du pays d’Aix-en-Provence », dans Bouleversements fonciers en Méditerranée, M. Elloumi et A.-M. Jouve (dir.), Karthala-Ciheam, 2003, p. 145-171 ; Jarrige F., « Les mutations d’une agriculture méditerranéenne face à la croissance urbaine : dynamiques et enjeux autour de Montpellier », Cahiers agricultures, no 13, 2004, p. 64-74 ; Boisson J.-P., La maîtrise foncière, clé du développement rural : pour une nouvelle politique foncière. Avis et Rapports du Conseil Économique et Social, Section de l’Agriculture et de l’Alimentation, 2005, 138 p.
67 Analyse des transactions SAFER Corse référencées sur des communes littorales de 1998 à 2008.
68 Tafani C, 2010a, op. cit.
69 Mollard A. et al., « Offre de produits, services territorialisés et demande de biens combinés », dans Torre A., Filippi M. (dir.), Proximités et changements socio-économiques dans les mondes ruraux, INRA éditions, 2005, p. 73-93.
70 Hirczak M. et al., « Le modèle du panier de biens : grille d’analyse et observations de terrain ». Économie rurale no 308, 2008, p. 55-70.
71 Taddei D., Antomarchi F., Ecunumia identitaria, Ajaccio, Albiana, 1997, 158 p.
72 Les acteurs de Balagne se sont organisés en Pays expérimental Loi Pasqua dès 1995, puis fonctionnent autour du Pays de Balagne Loi Voynet dont la Charte de territoire a été approuvée en 2002 (seul Pays du territoire insulaire). Ils ont bénéficié du soutien de la DATAR pour la mise en œuvre d’un Pôle d’Excellence Rurale, mais aussi de l’Europe pour la mise en œuvre du programme LEADER depuis trois programmations. Ils sont aussi les seuls en Corse à ce jour à s’être engagés dans une démarche d’élaboration de SCoT depuis 2012.
73 Association du Pays de Balagne, Charte de Territoire du Pays de Balagne – Stratégie et mise en œuvre, décembre 2002, 53 p.
74 Furt J.-M., Tafani C. (dir.), « Diagnostic prospectif de l’agritourisme en Corse en 2013 », Rapport d’étude pour l’Agence du Tourisme de la Corse et l’Office de Développement Agricole et Rural de la Corse, 2014, 156 p.
75 Voir le Schéma territorial de randonnées de Balagne réalisé par le Pays de Balagne en collaboration avec les Office de Tourisme de Calvi et l’Île-Rousse : http://www.pays-de-balagne.fr/catalog_repository/uploads/24/schema_rando.pdf
Auteurs
Professeur de Science Économique, Université de Corse/UMR CNRS 6240 LISA.
Ingénieur d’études en traitement, analyse et représentation de l’information spatiale, UMR CNRS 6240 LISA.
Maître de Conférences en géographie, Université de Corse/UMR CNRS 6240 LISA.
Le texte seul est utilisable sous licence Licence OpenEdition Books. Les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont « Tous droits réservés », sauf mention contraire.
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