Remerciements

1En premier lieu ma profonde reconnaissance va à Laure Salanova pour toutes les connaissances qu’elle m’a transmises en céramologie, pour les nombreuses discussions scientifiques sur le Néolithique, pour ses relectures d’articles et du présent manuscrit. Je la remercie de m’avoir intégré à son programme de recherche sur le Néolithique ancien du Sud-ouest de la Bulgarie. J’ai, par son intermédiaire, eu la chance d’intégrer l’équipe Préhistoire et Technologie de la Maison de l’Archéologie et de l’Ethnologie (Nanterre). Que tous les membres de ce laboratoire soient ici vivement remerciés pour avoir enrichi mes réflexions au travers de différents débats scientifiques.

2J’adresse parallèlement ma profonde reconnaissance à Martine Regert pour tout ce qu’elle m’a enseigné sur l’analyse chimique des résidus archéologiques. Ses refléxions sur la fonction des poteries ont représenté un support indispensable à l’avancée de mes travaux sur l’usage des vases néolithiques. Je la remercie de m’avoir permis la caractérisation chimique de résidus au laboratoire du Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France (Paris). Que les membres de son équipe, tout particulièrement Sigrid Mirabaud, Anne-Solenn Le Ho et Éric Laval, trouvent ici l’expression de mes plus sincères remerciements pour m’avoir formé aux différentes techniques d’analyse.

3J’exprime également ma profonde reconnaissance à Hugues Plisson pour m’avoir initié à la tracéologie. Son regard sur les industries lithiques a été un atout indéniable pour mener à bien l’étude fonctionnelle des outils aménagés sur fragments de poterie. Je le remercie de m’avoir permis l’analyse de cet outillage atypique au sein du laboratoire de la Maison Méditerranéenne des Sciences de l’Homme (Aix-en-Provence). Que les différents membres de son équipe soient aussi remerciés pour les échanges fructueux que nous avons entretenus sur la tracéologie.

4Mes remerciements ne se limitent, toutefois, pas aux chercheurs ayant contribué à la construction d’un protocole d’étude pluridisciplinaire de la fonction des productions céramiques. Ils s’adressent aussi aux archéologues ayant conduit la fouille des sites et l’analyse des corpus céramiques retenus pour analyse. J’exprime ainsi ma propfonde reconnaissance à toute l’équipe de la mission franco-bulgare de Kovačevo. Que Marion Lichardus-Itten, Jean-Paul Demoule, Vassil Nikolov, Lilijana Perničeva (†), Malgorzata Grebska-Kulova et Ilija Kulov ayant dirigé la fouille de cet habitat néolithique reçoivent ici mes remerciements les plus vifs. Leurs recherches de terrain ont permis d’exhumer le corpus exceptionnel de céramiques se prêtant à une analyse fonctionnelle approfondie. Que Laure Salanova et son équipe ayant réalisé la caractérisation exhaustive des 1 600 000 fragments de poterie découverts sur le site trouvent aussi l’expression de ma sincère reconnaissance. Sans ce travail gigantesque, la construction d’un protocole d’étude systématique de l’usage des productions céramiques n’aurait pu aboutir.

5Je transmets également mes plus sincères remerciements à l’ensemble des spécialistes impliqués dans le projet Rila sur la néolithisation du Sud-ouest de la Bulgarie. Que Malgorzata Grębska-Kulova et Laure Salanova ayant dirigé ce programme scientifique soient en particulier remerciées pour m’avoir chargé de l’étude fonctionnelle des différents corpus céramiques. J’ai, ainsi, eu l’opportunité de tester la validité de la méthode d’étude construite sur le corpus de Kovačevo. Que Malgorzata Grębska-Kulova, Aneta Bakamska et Stephan Čochadžiev trouvent ici l’expression de ma profonde reconnaissance pour avoir autorisé l’accès aux séries des habitats d’Ilindenci, de Drenkovo, de Brežani, de Vaxevo, de Kraïnitsi et de Gălăbnik. Cette expérience est venue grandement enrichir mes réflexions sur la fonction des productions céramiques.

6Que toutes les autres personnes ayant forgé mon identité scientifique trouvent dans ces dernières lignes l’expression de mes plus sincères remerciements. Au grand jamais je n’oublierais les différents soutiens reçus.