Glossaire
p. 147-163
Texte intégral
1Les mots qui figurent dans le glossaire sont signalés par un astérisque* dans le texte.
2Agir stratégique des systèmes : pour le philosophe Jürgen Habermas, il y a deux types d’action rationnelle, l’agir communicationnel* et l’agir stratégique. Ce dernier consiste à calculer le coût et l’avantage de chaque action afin de maximiser son intérêt. Cet agir stratégique est propre à deux systèmes : le système économique (recherche du profit), et le système étatique (recherche du pouvoir).
3Agir communicationnel : pour le philosophe Jürgen Habermas, il y a deux types d’action rationnelle, l’agir stratégique* et l’agir communicationnel. Ce dernier consiste à faire usage de sa raison en vue de trouver avec les autres un consensus. Cet agir est propre à la société civile.
4Agonistique : qui a trait au combat, à la lutte, au conflit.
5Altermondialiste : appellation revendiquée par les militants qui combattent contre la globalisation* économique et pour un autre monde, plus solidaire et respectueux de l’environnement.
6Altermondialisation : projet alternatif au capitalisme porté par les altermondialistes*.
7AMAP (Associations pour le Maintien de l’Agriculture Paysanne) : les AMAP sont destinées à favoriser l’agriculture paysanne et biologique qui a du mal à subsister face à l’agro-industrie. Le principe est de créer un lien direct entre paysans et consommateurs, qui s’engagent à acheter la production de celui-ci à un prix équitable et en payant par avance.
Site : www.reseau-amap.org
8Artisans du Monde : Artisans du Monde revendique de pouvoir pratiquer le commerce autrement grâce à 3 moyens d’action qui forment les piliers du mouvement :
- la vente de produits issus du commerce équitable qui permet aux producteurs, artisans ou paysans défavorisés des pays du Sud, de vivre dignement et d’être acteurs de leur développement ;
- l’éducation au commerce équitable qui permet aux consommateurs de devenir des citoyens actifs dans leurs choix de consommation et dans le développement de l’économie solidaire ;
- les campagnes d’opinion publique et le plaidoyer qui contribuent, à un niveau plus global, à changer les règles et les pratiques du commerce international. Le mouvement Artisans du Monde repose en grande partie sur le travail bénévole de plus de 6 500 adhérents, ce qui n’exclue pas la création d’emplois : Artisans du Monde est ainsi le premier employeur du commerce équitable en France, avec plus d’une centaine de salariés.
Site : www.artisansdumonde.org
9Associationnisme : concernant des actions collectives mises en œuvre par des citoyens libres et égaux, se référant à un bien commun.
10ATO (Alternative Trading Organizations) : centrales d’achat pour l’acquisition de produits artisanaux et agricoles du Sud et pour la vente dans les magasins du commerce équitable ; la première à été créée par Oxfam en 1964 et elles sont plus de 100.
11CIGALES : un club CIGALES est une structure de capital risque solidaire mobilisant l’épargne de ses membres au service de la création et du développement de petites entreprises locales et collectives (SARL, SCOP, SCIC, SA, association, etc.).
Le club est constitué de 5 à 20 personnes qui mettent une partie de leur épargne en commun. Il se réunit plusieurs fois par an pour recevoir les créateurs, décider de leurs placements et affecter cette épargne collective au capital des entreprises.
Les clubs CIGALES sont réunis au sein de Fédération des CIGALES, association de loi 1901, agréée entreprise solidaire et jeunesse et éducation populaire qui a pour objet l’animation et le développement du mouvement constitué par les CIGALES, leurs Associations Régionales, Territoriales et de Soutien. Elle est garante de l’utilisation du nom CIGALES et de la charte des CIGALES. Elle favorise le partenariat entre les CIGALES et les autres réseaux d’aide à la création d’entreprise et de financements solidaire. Elle est responsable de la politique de communication à destination des acteurs institutionnels et socio-économiques. Elle est membre de Finansol*, regroupement au plan national des financeurs solidaires et d’Inaise, regroupement au plan international.
Site : www.cigales.asso.fr
12CNLRQ (Comité National de Liaison des Régies de Quartier) : une Régie de quartier regroupe collectivités locales, logeurs sociaux et habitants du ou des quartiers qui composent son territoire. Ensemble, ils interviennent sur la gestion urbaine de cet espace géographique et social sur lequel se fonde son action. Les régies de quartier sont présentes sur l’ensemble du territoire français. Le label « Régie de quartier » est une marque collective, de droit privé, fondée sur l’adhésion au CNLRQ et sur la reconnaissance de la Charte nationale des Régies de quartier et du Manifeste des Régies de quartier.
Site : www.cnlrq.org
13CNUCED (Conférence des Nations-Unies sur le Commerce et le Développement) : Organisation qui vise à intégrer les pays en développement dans l’économie mondiale de façon à favoriser leur essor.
14CRIDA (Centre de Recherche et d’Information sur la Démocratie et l’Autonomie) : le CRIDA a pour objectif de favoriser les contacts, les dialogues et les productions permettant de renforcer les relations entre sciences sociales et société civile, dans deux directions : générer des connaissances sur des pratiques socio-économiques encore trop peu connues, et construire ces savoirs par des démarches réflexives menées en lien avec des acteurs de la société civile. Ces actions visent à produire et approfondir les connaissances socio-économiques, et à favoriser les échanges et le débat public.
Site : www.crida-fr.org
15EFTA (European Fair Trade Association) : association de dix importateurs de commerce équitable dans 9 pays européens (Autriche, Belgique, France, Allemagne, Italie, Pays Bas, Espagne, Suisse et Royaume Uni). Le but de l’EFTA est de soutenir ses organisations membres dans leur travail et de favoriser la coopération et la coordination entre elles. Fairdata est une base de données des fournisseurs de l’EFTA et leurs produits.
Site : www.european-fair-trade-association.org/efta/
16EMES (Émergence de l’entreprise sociale) : EMES est composé d’institutions et d’individus qui ont partagé une expérience de travail de recherche de haute qualité et sont liés par une relation de confiance réciproque. Cependant, chaque fois que des perspectives de projets internationaux se présentent, EMES accueille également les collaborations de chercheurs ou de centres de recherche qui ne sont pas membres du Réseau. Les activités menées par EMES, ses membres et ses partenaires s’articulent autour de la recherche, les programmes d’enseignement et la diffusion des résultats.
Site : http://www.emes.net/index.php?id=100
17Endogène : qui est propre à un système donné, s’oppose à exogène (provenant de l’extérieur du système). Synonyme : interne
18Espace public : le concept d’espace public fait à la fois référence à un processus historique concret (la lente séparation entre l’État et la société civile), mais aussi à une théorie particulière de ce que doit être, dans l’idéal, une démocratie. Le concept d’espace public est donc tout à la fois descriptif (il rend compte d’un phénomène) et normatif (il véhicule une conception particulière de la démocratie).
19ESS (Économie sociale et solidaire) : terme qui ne décrit pas un type d’économie, mais qui est un label utilisé par les acteurs de l’économie sociale et ceux de l’économie solidaire pour parler d’une seule voix.
20FINANSOL : fondée en 1995, Finansol est une association professionnelle représentée dans la plupart des régions par des équipes bénévoles. Elle fédère les financeurs solidaires et des établissements financiers. Sa mission est de développer la solidarité dans l’épargne et la finance. La finance solidaire prend la forme d’un placement d’épargne finançant un investissement dans des activités contribuant à la lutte contre l’exclusion, à la cohésion sociale et au développement durable. Par extension, la finance solidaire qualifie également l’épargne dont les revenus sont partagés sous forme de don à une ONG, association caritative ou financeur solidaire. Le label Finansol distingue l’ensemble des placements d’épargne solidaire. Il garantit aux épargnants qu’ils contribuent au financement d’activités génératrices d’utilité sociale. Il atteste de l’engagement de l’intermédiaire financier à offrir à ses souscripteurs une information fiable, régulière et claire sur le produit d’épargne labellisé.
Site : www.finansol.org
21FLO (Fairtrade Labelling Organizations) : association mettant en réseau des initiatives de labellisation équitables situées dans plus de 21 pays. L’objectif de FLO et de ses membres est de promouvoir et faciliter la consommation équitable au Nord dans le but de permettre le développement durable des producteurs marginalisés du Sud.
22Hybridation des ressources : concept de l’économie solidaire qui signifie qu’une activité économique devient viable parce qu’elle mélange (hybride) trois types de ressources : la vente sur le marché, les subventions publiques et le don des citoyens.
23Idéologie : dans une perspective marxiste, l’idéologie est un reflet, inversé, manipulateur, de la réalité sociale. Dans une perspective plus compréhensive, l’idéologie peut être définie comme un système de pensée qui a pour fonction de garantir la cohésion de la société en justifiant l’ordre social en place. La cohésion d’une société n’est donc pas uniquement assurée par la force (la violence légitime du pouvoir), mais aussi par une structure sociale inconsciente : l’idéologie.
24Isomorphisme institutionnel : phénomène qui concourt à la convergence d’institutions dans un même champ, par coercition, mimétisme ou pression normative. L’isomorphisme souligne ainsi une tendance à la banalisation et à la reproduction institutionnelle qui se manifeste dans la durée.
25IRES (Inter Réseau d’Économie Solidaire) : à l’origine du Mouvement pour l’Économie Solidaire (MES*), l’IRES a fonctionné de juin 1997 à mars 2002 de manière informelle par choix politique. Dès l’origine, ce collectif se veut pluriel, regroupant des acteurs qui font vivre l’économie solidaire comme des chercheurs, des groupes d’appui, des acteurs de terrain et des organisations de solidarité internationale.
26MES (Mouvement pour l’Économie Solidaire) : il est né à Lille le 22 mars 2002. Il est constitué de regroupements de réseaux régionaux et sectoriels nationaux, de structures d’accompagnement et d’un laboratoire de recherche qui inscrivent leurs actions dans une démarche d’économie solidaire. Promoteurs d’une citoyenneté économique, ils revendiquent leur volonté de concevoir l’économie comme un moyen au service d’un projet de société basée sur des valeurs de solidarité, de partage et de réciprocité. Le MES a pour objet : de promouvoir l’économie solidaire et la citoyenneté économique ; de développer un mouvement d’économie solidaire national ; d’intervenir au niveau européen et international.
Site : le-mes.Org
27Minga : depuis 1999, Minga regroupe des entreprises, des associations, et des particuliers dont l’objectif est de participer au développement d’une société plus équitable par leurs manières de produire, de transformer, d’échanger ou de consommer. Elle met en relation, tant au plan local qu’international, des structures économiques qui intègrent l’exigence d’équité dans leurs transactions et leur mode de fonctionnement pour qu’elles puissent renforcer leurs coopérations.
Site : www.minga.net
28Mondialisation/Globalisation : les deux termes sont le plus souvent et le plus généralement employés pour désigner le même processus, celui de l’interconnexion des réseaux de transport et de communication, la circulation des marchandises et des idées autour de la planète, qui conduisent au brassage des cultures. Le terme de globalisation qui s’est imposé dans la plus part des langues est la traduction anglo-saxonne du mot mondialisation. En France cette distinction donne parfois des subtilités sémantiques qui réserveraient le terme de globalisation à l’universalisation des principes rationnels capitalistes occidentaux, tandis que celui de mondialisation renverrait plutôt au développement planétaire des échanges, économiques, sociaux ou culturels.
29Monnaies sociales : ce sont des monnaies créées par des citoyens dans une logique de développement local. On parle aussi de monnaies complémentaires puisqu’elles coexistent avec la monnaie nationale. Le projet SOL* est une monnaie sociale.
30La Nef : la Société financière de la Nef est une coopérative de finances solidaires. Depuis sa création en 1988, elle exerce une double activité de collecte d’épargne et d’octroi de crédit dans le cadre d’un agrément de la Banque de France. L’épargne collectée sur des comptes de dépôts à terme ou sur des comptes courants est déposée par des particuliers, des associations et des entreprises. Les financements accordés par la Société financière de la Nef permettent de soutenir la création et le développement d’activités professionnelles et associatives à des fins d’utilité sociale et environnementale. 26 000 sociétaires ont choisi d’exercer leur responsabilité sur leur argent en déposant leur épargne ou en souscrivant un prêt auprès de la Nef. Depuis plus de 20 ans, la Société financière de la Nef est engagée dans la gestion responsable et transparente de l’épargne citoyenne en France. Elle est devenue un partenaire financier de référence pour les porteurs de projets responsables et innovants dont la valeur sociale et environnementale est prépondérante. La Nef est aujourd’hui engagée dans la construction d’une banque éthique européenne, avec ses partenaires italiens (Banca Etica), espagnols (Fiare), belges (Crédal, Hefboom) et allemands (Oekogeno).
Site : www.lanef.com
31ONG (Organisation non gouvernementale) : le plus souvent des associations internationales qui, indépendantes des gouvernements agissent pour l’intérêt général. Greenpeace, Médecins sans frontières, etc., sont des ONG.
32PADES (Programme Auto Production et Développement Social) : association reconnue d’Utilité Sociale. Sa création date du 10 décembre 2002. Mais le programme PADES existe depuis 1996, porté par d’autres associations jusqu’à fin 2002. Il a été créé pour favoriser l’émergence de nouveaux opérateurs et faire en sorte que l’accompagnement à l’autoproduction devienne un outil ordinaire des politiques de développement social. Le PADES est une équipe pluridisciplinaire et son objectif est de transformer un tissu d’initiatives isolées en une démarche cohérente avec des méthodes mieux définies. Son action consiste à analyser les actions innovantes dans le domaine de l’autoproduction. Il apporte également un soutien méthodologique aux opérateurs qui, sur tout le territoire français, mettent en place des actions d’accompagnement à l’autoproduction.
Site : www.padesautoproduction.net
33Paradigme : utilisé en particulier par Kuhn pour désigner une conception théorique dominante ayant cours à un moment donné dans une communauté scientifique, et qui fonde les types d’explication envisageables et les types de faits à découvrir. Dans le sens courant, plus souvent utilisé comme synonyme de modèle.
34PIB (Produit Intérieur Brut) : indicateur harmonisé au niveau international. Lorsque le PIB d’un pays croit d’une année sur l’autre on parle de croissance, lorsqu’il décroît on parle de récession.
35PFCE (Plate-Forme Pour le Commerce Équitable) : défendre et promouvoir le commerce équitable en France sont les missions principales de la PFCE, association loi 1901 à but non lucratif. La PFCE a élaboré la Charte du Commerce Équitable qui explicite un ensemble d’engagements impératifs (travailler d’abord avec les producteurs les plus défavorisés, refus du travail forcé ou de l’exploitation des enfants…) et de critères de progrès du commerce équitable (prise de décision démocratique, valorisation des potentiels au niveau local, respect de l’environnement, etc.).
Ses principales missions sont : faire reconnaître et rendre visible le commerce équitable en France ; consolider la crédibilité des pratiques de ses membres ; valoriser les activités et produits de ses membres ; renforcer son rôle d’organisation professionnelle.
Site : www.commercequitable.org
36Réactives : réseau regroupant des restaurants interculturels de femmes.
37RERS (Réseaux d’échanges réciproques des savoirs) : ils sont nés il y a une trentaine d’années. Ils sont issus d’un croisement de mouvements pédagogiques, d’associations d’éducation populaire et de questionnements autour de la citoyenneté. Le principe de ces réseaux est de permettre à des personnes de tous horizons sociaux, professionnels, culturels, de faire des offres et demandes de savoirs, savoir-faire, expériences… La pluralité des personnes, la diversité des savoirs, des lieux d’apprentissage, des méthodes et des motivations fait la richesse du système, sans aucun rapport d’argent ou de service. La valeur qui circule, c’est le savoir.
38RIPESS (Réseau Intercontinental de Promotion de l’Économie Social Solidaire) : réseau de réseaux continentaux engagés dans la promotion de l’économie sociale et solidaire. Les réseaux continentaux du RIPESS rassemblent des réseaux nationaux et des réseaux sectoriels. Le RIPESS travaille à une mondialisation de la solidarité afin de construire et de renforcer une économie qui met les gens et la planète au centre de son activité. Le RIPESS organise des Rencontres internationales afin de créer un espace d’apprentissage, d’échange d’informations et de collaboration.
Site : http://ripess.net.reseauope.net
39RIUESS (Réseau Inter-Universitaire de l’Économie Sociale et Solidaire) : il réunit des chercheurs francophones de disciplines différentes (économie, gestion, sociologie, etc.). Il organise des manifestations scientifiques et rassemble sur son site les formations universitaires dédiées à l’ESS*.
Site : www.riuess.org
40RTES (Réseau des Territoires pour l’Économie Solidaire) : il réunit des collectivités locales qui s’engagent autour d’une charte pour le développement de l’économie sociale et solidaire. Il rassemble aujourd’hui plus d’une soixantaine de collectivités, régions, départements, intercommunalités et communes, qui ont manifesté le besoin d’un espace d’échanges et de coordination nationale. Le RTES agit pour : promouvoir les initiatives des territoires ; valoriser auprès des institutions nationales et européennes la richesse des actions menées ; favoriser le transfert des bonnes pratiques ; rechercher les conditions d’amélioration des politiques mises en œuvre.
Site : www.rtes.fr
41SEL (Systèmes d’Échange Local ou Services d’Échange Local) : un SEL est composé d’un groupe de personnes vivant dans un même secteur, qui souhaitent échanger des biens et des services sans passer par l’argent ni les banques, et développer l’entraide, la solidarité. Les échanges sont le plus souvent comptés en référence au temps passé. À la différence du troc qui oblige à un échange réciproque entre 2 personnes, le SEL lui, permet d’échanger à l’intérieur d’un réseau pouvant être constitué de dizaines ou centaines de personnes.
Site : http://selidaire.org/spip/
42Sociabilité primaire : les liens de solidarité que l’on rencontre dans le cadre de relations interpersonnelles directes.
43Sociabilité secondaire : les liens de solidarité structurés par une médiation institutionnelle dans les sociétés marquées par une forte division du travail.
44SOL : un système d’échanges complémentaires qui s’expérimente dans 5 régions françaises : Bretagne, Ile de France, Nord Pas de calais, Rhône Alpes et Alsace. L’association SOL regroupe l’ensemble des entreprises, associations et collectivités territoriales qui font partie du réseau SOL, ainsi que tous les porteurs de la carte SOL. Elle anime le réseau, favorise la concertation entre tous et est garante de la charte d’utilisation du SOL. L’association SOL s’organise en Comités Locaux, regroupant tous les acteurs SOL d’un territoire. Ces Comités ont pour vocations l’animation de la dynamique SOL sur le territoire et l’agrément des structures (entreprises, associations) participant au réseau SOL.
Site : www.sol-reseau.org
45UFISC (Union Fédérale d’Intervention des Structures Culturelles) : elle regroupe les organisations professionnelles et syndicales représentant des secteurs aussi divers que les arts de la rue, les musiques actuelles, le cirque, le théâtre itinérant, les musiques du monde, le théâtre de marionnettes, la culture multimédia, les arts plastiques, le théâtre, la danse etc. L’UFISC représente plus de 2 000 structures développant des projets artistiques et culturels qui conjuguent une pluralité d’activités : création et diffusion de spectacles ou d’événements, action culturelle sur un territoire en relation directe avec les populations, création par l’artistique d’un espace public et citoyen, transmission d’un savoir-faire et soutien au développement de la pratique amateur.
Site : www.ufisc.org
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