Les restes humains de la Baume Fontbregoua à Salernes (Var)
p. 501-505
Résumés
Les fouilles effectuées par Jean Courtin dans la Baume de Fonbrégoua à Salernes (Var) ont permis la découverte de restes humains en milieu cardial (fin du 5° millénaire). Les crânes portent tous des traces de décarnisation typiques, ainsi que la trace du fracas de la face et de la base. L’étude de la morphologie et des mensurations des crânes reconstitués montre qu’ils sont étrangers à la population locale de l’époque.
Jean Courtin’s excavations at the Baume de Fontbreéoua at Salernes (Var) have brought to light human remains in a Cardial environment (late 5th Millenium). The skulls carry typical traces of decarnization, such as traces of smashes on the face and at the base of the skull. Morphological and mensurative studies of the recons-tructed skulls show that they were foreign to the local population of that period.
Texte intégral
1Les fouilles menées par Jean Courtin dans la baume Fontbrégoua, à Salernes dans le Var, ont permis la mise au jour des restes de sept individus. Ces restes, excessivement dispersés dans une portion non habitable de la grotte de par sa topographie, ont pu être datés du Cardial final, à la fin du 5° millénaire, deux dates 14C ayant donné 4200 et 4100 BC (dates non calibrées).
2Du point de vue de leur provenance dans l’ensemble du squelette céphalique et post-céphalique, la répartition des divers os ou de leurs fragment est anormale. En effet, si nous avons bien les principaux restes de sept crânes et sept mandibules, nous n’avons retrouvé aucune trace d’ulna, tibia, os du carpe, patella, os coxal, sacrum, vertèbre thoracique ou lombaire. Il y a seulement 3 fragments de scapula, 3 de clavicule, deux d’humerus, deux de radius, deux de fémur, deux de fibula, trois phalanges de la main, deux os du pied, enfin le rachis n’est représenté que par un atlas.
3La conservation différentielle ne peut pas être tenue pour responsable de la répartition de ces restes, car nous savons que les os de la face sont en règle générale les plus fragiles et les premiers détruits lorsque les conditions de fossilisation sont mauvaises. Or, dans la baume Fontbrégoua, ces os, quoique fortement fragmentés, sont parfaitement bien conservés. Il faut donc rechercher en quoi la répartition des os est différente des répartitions dont on connaît les causes.
4Dans un premier temps nous avons procédé au décompte du nombre minimal d’individus. Pour cela nous avons regroupé les os attribuables à chacun des crânes, en utilisant surtout pour les jeunes le degré de maturation des pièces osseuses. Un certain nombre de fragments n’ont évidemment pas pu être rapportés à l’un ou l’autre des crânes, mais cela ne semble pas une raison sérieuse de penser qu’il y avait plus d’individus répartis sur le sol du site.
5Ensuite nous avons employé la méthode mise au point par A. Leroi-Gourhan (1964) pour visualiser graphiquement le type de répartition et la conservation différentielle des divers types d’os dans le gisement (fig. 1).
6Nous voyons aussitôt que Fontbrégoua ne peut pas correspondre à un site sépucral classique illustré ici par Mesnil-sur-Oger, ceci aussi bien par l’ordre de conservation des différentes parties du squelette que par la moyenne élevée de conservation de l’ensemble des os de cette sépulture collective. Il n’y a pas d’identité non plus avec les os du site de Krapina, ce gisement ayant un déficit spectaculaire en os du crâne en plus du regroupement des os longs autour de la moyenne.

Figure 1
Tableau des écarts (écart type en accolade) de conservation des différentes parties du squelette d’après André Leroi-Gourhan, 1976
c : boîte ou calotte crânienne ; mx : maxillaire
md : mandibule ; h : humerus ; u : ulna
r : radius ; f : fémur ; fi : fibula ; t : tibia
cl : clavicule ; s : scapula ; vc : vertèbre cervicale.
7Rappelons que le site de Krapina est souvent utilisé comme exemple de restes « anthropophagiques ».
8Fontbrégoua ressemble en fait beaucoup à ce que l’on a observé sur les restes de carnivores d’Arcy-sur-Cure mis à part ici aussi le déficit en crânes. Le bon score de conservation du maxillaire permet aussi d’individualiser le site de Fontbrégoua de la distribution des restes de néanthropiens d’Europe ainsi du reste que de celle des néanthropiens « mondiaux ».
9La distribution des restes humains de Fontbrégoua est donc bien spécifique de ce site, elle diffère de tous les autres gisements étudiés, qu’il s’agisse de sépulture collective, individuelle, de sites témoins théoriquement de pratiques anthropophagiques...
10L’examen des os recueillis, après le maximum possible de reconstruction bien entendu, permet de constater la présence de nombreuses traces d’incisions sur les faces exocrâniennes des os de la voûte ou de la face, ainsi que sur les faces externes des mandibules.
11Ces traces sont en gros semblables en situation et direction, pour tous les crânes et mandibules. Il suffit donc de décrire les deux têtes les plus caractéristiques et qui à elles seules résument l’ensemble des observations, il s’agit en l’occurence des crânes 1 et 5 (les têtes , osseuses ont été numérotées arbitrairement au fur et à mesure de leur remontage). Le crâne n° 1 est l’exemple parfait de l’ensemble, le crâne n° 5 est le seul à posséder sa face de manière certaine puisqu’elle a pu être recollée au frontal.
Crâne n° 1
12Il porte trois groupes principaux de stries :
un ensemble de longues incisions sagittales ;
un ensemble de stries de longueur moyenne sur toute la fosse temporale droite et le temporal gauche ;
quelques stries plutôt courtes au-dessus de la région sus-orbitaire.
13Le premier groupe de stries s’étend, avec de rares interruptions (figure 2), d’environ 30 mm en arrière de la glabelle en avant jusqu’au lambda en arrière. Cette trace correspond sans doute à l’ouverture du cuir chevelu selon un trajet médian au crâne, et à la section de l’aponévrose épicrânienne ou galea aponeurotica ainsi qu’aux muscles peauciers du crâne : venter frontalis m. occipito-frontalis et venter occipitalis m. occipito-frontalis.

Figure 2
Crâne n° 1 vue de 3/4 supérieure, (dessin Claudie Lopez).
Cette vue met en évidence les traces d’incisions selon la ligne sagittale du crâne, sur la ligne temporale droite, au-dessus des orbites.
14La fosse temporale, côté droit, présente plus de quinze stries obliques de haut en bas et d’arrière en avant, parallèles entre elles, de un à trois centimètres de long, le long de la région d’insertion de l’aponévrose du muscle temporal ou fascia temporalis, et du muscle temporal ou m. temporalis. La région sus-orbitaire porte, à droite comme à gauche, trois stries d’environ quinze millimètres de long chacune, obliques de haut en bas et de droite à gauche, couvrant une surface trop vaste pour que l’on puisse savoir quel muscle particulier devait être sectionné et laissant à penser que tous ceux s’inserrant au-dessus des orbites étaient concernés.
15Du côté gauche du crâne les stries sont rares, on en observe toutefois un groupe de quatre sur la crête temporale du frontal et qui ont de 2 à 5 mm de long, un groupe de cinq de 9 à 12 mm de long immédiatement en arrière et au-dessous du ptérion, deux de 2 et 3 mm sur la racine de l’apophyse zygomatique, quatre de 3 à 19 mm sur la région astérique du pariétal et de l’occipital, enfin sept de 3 à 4 mm le long de la bordure inférieure de l’arcade zygomatique.
16Par la dimension générale du crâne, l’existence de toutes les sutures sans la moindre trace de début de synostose, la faible épaisseur des os de la voûte, l’aspect infantile des reliefs, de la taille de la mastoïde, il est certain que cet individu ne peut pas avoir plus d’une quinzaine d’années. Par les fragments de maxillaires, de mandibule, enfin d’os longs : humerus gauche, de radius gauche, de clavicule gauche, on peut penser que l’âge ne pouvait être inférieur à 10 ans.
17Quelques stries sont aussi visibles sur ces diaphyses : des stries courtes et profondes sur le tiers distal du bord postérieur de la clavicule, soit sur la zone d’insertion du trapèze ou : m. trapezius, une strie douteuse sur la partie moyenne de la face externe de l’humerus, de même que le radius. Sur ces deux derniers os des traces de dents de rongeurs viennent compliquer l’observation.
Crâne n° 5
18Il porte, en plus des incisions sagittales, de nombreuses traces transversales au frontal, à mi-distance entre la suture coronale et la glabelle. La face a pu être reconstituée. Elle porte des incisions sur le maxillaire gauche, en particulier sur la bosse canine, sur le bord de l’ouverture nasale ou apertura piriformis, et sur le bord antérieur de l’apophyse orbitaire du malaire ou : processus frontalis.
19Quelques stries courtes et peu profondes, parallèles entre elles et très serrées peuvent, sur la face antérieure du maxillaire, être interprétées comme trace de raclage. Sur la face latérale gauche du crâne existent des stries éparses, le long de la racine du zygoma : processus zygomaticus, sur le rebord supéro-antérieur de la squama temporalis, sur la face externe de la mastoïde : processus mastoïdeus. Sur la vue postérieure du crâne on trouve encore quelques stries courtes de part et d’autre de la crête occipitale externe : crista occipitalis externa. Enfin la vue basale permet de voir, en arrière du condyle occipital gauche ou condylus occipitalis sur le bord du trou occipital ou foramen magnum, quelques courtes stries très nettes.
20Une mandibule a pu être attribuée au crâne par le biais de l’articulé dentaire, car il lui manque ses deux condyles. Elle porte quelques stries sur la face externe de la branche montante gauche, stries qui sont parallèles entre-elles, et perpendiculaires à l’axe du col du condyle de la mandibule ou : processus condylaris, au milieu de la face de l’os, et à droite trois stries plutôt longues dirigées de haut en bas et d’arrière en avant, isolant ainsi l’angle de la mâchoire ou angulus mandibulae.

Figure 3
Crâne n° 5 en norma facialis (dessin Claudie Lopez).
Outre les incisions sagittales, on remarque des stries sur le maxillaire droit, le malaire et l’apophyse orbitaire du frontal à gauche, et surtout les traces assez nombreuses qui sont transversales au frontal, à mi-distance entre la suture coronale et la glabelle. Les nombreuses micro fissures de la face externe du crâne et le type des cassures de l’os sont en faveur de l’hypothèse du fracas de l’os frais.
21Par le stade d’évolution dentaire on peut attribuer un âge d’environ 7 ans à cet individu.
22Mis à part les deux crânes que nous venons de décrire en détail au point de vue des stries, aucun autre fait notable n’est à signaler sinon la présence de stries sur le bord antérieur des apophyses coronoïdes gauche ou : .processus coronoideus lorsque celles-ci sont conservées, et sur le bord antérieur du col du condyle mandibulaire gauche qui lui est souvent absent.
Interprétation des stries
23La continuité des stries que portent des fragments osseux distants les uns des autres est bien la preuve que celles-ci ont été pratiquées avant la fracturation et la dispersion des restes.
24Il semble que l’on puisse retracer ainsi les faits :
décollation (voir les stries basales du crâne n° 5) des individus, prélèvement de quelques rares pièces post-céphaliques, essentiellement de la ceinture scapu-laire, du membre inférieur et des extrémités ;
apport de ces restes dans l’abri. En effet le recollage de très petits morceaux extrêmement dispersés dans la grotte permet de penser que leur fracturation a été faite sur place ;
« démantibulation » des têtes par section depuis la commissure labiale jusqu’à la « charnière » mandibulaire apparente, de ce fait l’outil est venu le plus souvent buter soit sur le bord antérieur de l’apophyse coronoïde soit sur le col du condyle, les traces étant le plus souvent sur le côté gauche des têtes on peut admettre que l’opérateur était droitier ; enlèvement enfin de la mandibule par bascule et rupture du condyle droit ;
mise à nu de la boîte crânienne par section sagittale de la peau et du cuir chevelu du nasion à l’ophistion, dégagement de la peau par section des adhérences en particulier dans les zones d’insertion des principaux groupes musculaires : fosse temporale, région sus orbitaire, reliefs nuchaux, cette opération étant faite sans grand soin, et ceci pour deux raisons :
la profondeur et donc la vigueur des incisions prouve que celles-ci ne cherchent pas à décoller la peau, sinon elles auraient été à peine discernable car très tangentielles à l’os, la moindre expérimentation le prouve aisément ;
la technique n’est pas tout à fait identique d’une tête à l’autre, il existe aussi des stries transversales au frontal (voir le crâne n° 5) qui évoquent plutôt le prélèvement d’un scalp, mais qui est une hypothèse à éliminer devant la situation des autres stries et surtout l’absence des stries complémentaires à cette opération.
fracturation de la face et de la base du crâne, sans doute par percution, les nombreuses fissurations et les déformations que présente le crâne n° 5 montrent qu’il s’agit d’actions effectuées sur le crâne frais, ce que confirme aussi l’examen des cassures de l’ensemble des ossements recueillis dans le gisement.
25La causalité aussi bien que la finalité de ces opérations sont laissées à l’appréciation du lecteur, rien ne nous autorise, dans l’état actuel des observations, à faire des hypothèses, à parler de cannibalisme, rituel ou non, de chasse aux têtes, de massacre, ou, pourquoi pas, de simple curiosité scientifique...
Comparaisons « paléo » ethnographiques
26Il faut remonter assez loin dans le temps pour trouver des traces d’action humaine sur des têtes osseuses.
27La calotte de néandertal porte quelques discrètes stries connues depuis peu de temps grâce à un « nettoyage » de la pièce. Deux stries sont situées au-dessus de reliefs sus-orbitaires, deux autres sur l’occipital sous la ligne occipitale inférieure. Ces stries évoqueraient plutôt un scalp qu’autre chose. Les têtes de Krapina, dont on a fait un témoin de cannibalisme paléolithique, ne portent en fait que de très rares stries qui n’ont rien à voir comme situation avec celles de Fontbrégoua. Les très nombreuses pièces osseuses recensées et examinées par F. Le Mort (1981) ne peuvent pas être comparées avec la technique clairement discernable que nous avons décrit ci-dessus.
Comparaisons ethnographiques
28Nous n’avons pas la place, dans le cadre de cet article, de rappeler toutes les causes et les techniques qui ont eu cours dans le monde entier pour honorer, détruire, célébrer ou déguster nos semblables. Nous ne citerons donc qu’une observation, celle qui se rapproche le plus de nos observations. « Lorsqu’il s’agit de crânes d’ennemis, la technique est toujours la même : décapitation, qui s’effectue habituellement sur place, dès que la victime a été abattue ou exécutée, puis décharnement de la tête après retour au village. Le décharnement se fait habituellement en trois temps :
incision sagittale du cuir chevelu depuis le sommet du crâne jusqu’à la nuque suivie d’une traction sur les deux lèvres de la coupure pour détacher la peau du crâne comme on enlève la peau d’une orange ;
le crâne ainsi libéré ne contient plus que les yeux qui sont énuclées, la langue qui est arrachée et le cerveau qui est extrait, soit par un trou effectué au fond des fosses nasales, soit par le trou occipital qui est quelquefois élargi, soit par une ouverture effectuée par éclatement ou taille dans l’écaille temporale... » H. Gastaud, 1972.
29Dans le cas de la baume de Fontbrégoua, nous pouvons compléter cette description en ajoutant l’enlèvement de la mandibule d’une part, et le fracas pur et simple de la face et de la base du crâne d’autre part. Mais nous ne pouvons toujours pas savoir la cause de ces faits.
Comparaisons anthropologiques
30Nous résumerons simplement ici les conclusions d’un travail précédent auquel nous renvoyons le lecteur pour de plus amples explications (Bouville 1981).
31Les principales dimensions des sept crânes de Fontbrégoua ont été relevées : longueur maximum du crâne, largeur maximum du crâne, largeur frontale minimum, hauteur basio-bregmatique, largeur du nez, hauteur de l’orbite, largeur bizygomatique.
32Nous avons ensuite relevé ces mêmes mesures pour des séries crâniennes mésolithiques : Teviec, Muge, Ofnet, les mésolithiques isolés, puis des séries cardiales, en particulier Catal-Hüyük, enfin des séries représentant des « types » crâniens : alpins, nordiques, atlanto-méditerranéens, ibéro-insulaires. Nous avons ensuite calculé les distances du C2H qui est la distance globale de Penrose, puis la décomposition de cette distance en distances de forme et format, soit C2z et C2q . La distance de forme a ensuite été transformée selon la méthode de Rahman, ce qui permet une lecture directe par la table du Chi 2 selon le nombre de variables mis en jeu dans chaque calcul.
33Il ressort de cette étude le fait étonnant de la plus grande similitude des individus avec des mésolithiques d’Ofnet à l’exclusion de tous les mésolithiques méditerranéens et même des cardiaux méditerranéens.
Conclusion
34Les individus provenant de la « fosse à crânes » de la Baume de Fontbrégoua sont au nombre de sept, de tous âges et des deux sexes. Leur morphologie crânienne est étrangère à la région provençale durant le Mésolithique et le Néolithique ancien. Le « traitement » subi par les crânes ressemble à ce que les ethnologues ont décrit sous le nom de « chasse aux crânes » à quelques petites modifications de détail près.
35Il nous est cependant interdit de conclure à l’existence de ce type de chasse ou de guerre durant le cardial provençal, ni en l’existence d’un quelconque Cannibalisme, que ce soit de l’endo- ou de l’exo-cannibalisme. Enfin le cas de la Baume de Fontbrégoua est tout à fait isolé, il s’agit donc d’un événement ponctuel et rarissime dont la raison doit, en l’état actuel de nos recherches, être considérée comme énigmatique.
Bibliographie
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Bibliographie
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Auteur
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