Nouveaux éléments pour une definition culturelle des matériaux de la grotta Verde (Alghero, Sassari, Sardaigne)
p. 425-431
Résumés
Les récents résultats acquis à la grotte Filiestru-Mara et à la grotte Monte Maiore Thiesi permettent de préciser l’évolution du Néolithique ancien de Sardaigne et de mieux intégrer les matériaux de cette époque trouvés dans la grotta Verde à Alghero. Cette périodisation est ensuite replacée dans son contexte ouest-méditerranéen.
Results obtained recently at the Filiestru-Mara and Monte Maiore Thiesi caves, have alloued the establishment of an evolutionary sequence for the Early Neolithic on Sardinia, which better incorporates the contem-porary material found in the Grotta Verde at Alghero. This typological sequence is then discussed in its west Medi-terranean context.
Texte intégral
1Après la publication des résultats des fouilles effectuées par D. Trump à la grotta Filiestru-Mara (Sassari) (1) et par A. Foschi à la grotta Monte Maiore-Thiesi (Sassari) (2), il nous semble indispensable de réfléchir à nouveau sur les problèmes qui étaient apparus lors de la première édition des matériaux céramiques du Néolithique ancien de la Grotta Verde-Alghero (3), afin de mieux les définir, dans le nouveau cadre culturel du Néolithique de la Sardaigne.
2L’examen de la situation où les céramiques d’Alghero ont été retrouvées (4) nous avait convaincue d’éliminer l’hypothèse qu’elles avaient pu être disposées en stratigraphie. Il apparaît clairement, en effet, qu’à la même profondeur (-8,5/9 m) et dans la même aire ont été trouvés ensemble des tessons du Néolithique ancien et du Néolithique récent (culture de S. Michele) (5). Compte tenu de tout cela et, en outre, en rappelant que les formes des vases et les motifs des décors étaient, à ce moment-là, presque uniques pour la Sardaigne, nous avons proposé, en 1980, une classification culturelle et chronologique tirée exclusivement des données plus significatives suggérées par les comparaisons en dehors de la Sardaigne. Le Néolithique de Grotta Verde a été, ainsi, disposé dans le cadre grand et varié de la Méditerranée occidentale, en relevant de sûres analogies avec la France (Corse et Midi) et avec la péninsule Ibérique, en gardant, toutefois, sa physionomie et son originalité spécifiques.
3Les données des fouilles de Grotta Filiestru-Mara ont permis à D. Trump de reconnaître deux phases du Néolithique ancien (6) :
la phase la plus ancienne, Filiestru/7/, est caractérisée par la céramique imprimée à la coquille (17,70 %) avec des décors en bandes, triangles et chevrons, la plupart sur des coupes globulaires, des vases à col ou des vases ovoïdes, à fond toujours rond ; on constate aussi l’apparition de la céramique incisée (6,5 %) à cordons plastiques horizontaux (2,4 %) et à surfaces engobées en rouge (8,2 %) ; les anses sont horizontales « a maniglia » (une seule exception d’anse verticale) (7).
la phase la plus récente, Filiestru/6/, qui, semble-t-il, intéresse aussi les dernières couches du niveau précédent dans lesquelles s’étaient enfoncés les trois vases entiers de la fig. 2, A, 1, est caractérisée par la diminution de la céramique décorée à la coquille (4,5 % et seulement dans les couches inférieures) jusqu’à sa complète disparition dans les couches suivantes, par l’apparition de la céramique imprimée au peigne, par la continuation et la progressive augmentation de la céramique à cordons plastiques horizontaux, des prises et mamelons et avec surfaces engobées en rouge. Il semble, aussi, que dans cette phase se perpétuent les formes plus anciennes des vases, les fonds ronds, les anses « a maniglia » ; plus nombreuses sont les anses verticales (8).
2 : Abri de Su Carroppu di Sirri-Carbonia, matériaux céramiques (d’après E. Atzeni).
4Compte tenu des données communes aux deux niveaux (les formes ovoïdes et globulaires à col, les fonds ronds, les cordons plastiques horizontaux, les mamelons, les surfaces engobées en rouge) qui nous offrent des témoignages pour une articulation du Néolithique ancien de Filiestru en phases « senza soluzione di continuità », l’analyse des éléments différents (c’est-à-dire la céramique imprimée à la coquille ou imprimée au peigne dans le niveau /7/ et dans les premières couches du niveau /6/ ; l’absence de décors dans les couches moyennes et supérieures du niveau /6/ et les différents pourcentages des éléments communs) nous a permis de reconnaître l’existence d’un moment de transition entre la céramique décorée à la coquille typique et celle non décorée de Filiestru /6/. Dans cette phase intermédiaire, à part les éléments communs, se perpétuent les décors imprimés à la coquille mais apparaissent aussi les décors imprimés avec des outils et, surtout, au peigne.
5Les caractéristiques techniques et morphologiques de la céramique (décorée ou non décorée) provenant de la couche 3 de Grotta Sa Korona, Monte Maiore-Thiesi (qui est placée au-dessous du niveau 2 du Néolithique moyen ou culture de Bonuighinu) (9) sont très homogènes dans les six couches qui ont été reconnues pendant les fouilles. Il y a quatre principales formes de vases reconnues : des coupes, une coupe carénée, des vases ovoïdes, des vases « a fiasco ». Il y a aussi de grands vases non reconstituables. Les anses sont verticales (« a nastro », « a gomito con apice ») ou horizontales (« a maniglia » demi-circulaire ou écrasée). Il y a aussi des prises.
A, 1 : Grotta Filiestru-Mara, matériaux céramiques de la couche 6 (phase intermédiaire) (d’après D. Trump)
2 : Monte Maiore-Thiesi, matériaux céramiques et lithiques des couches 3-6 (d’après A. Foschi) ;
3 : Grotta Verde-Alghero, formes céramiques (d’après G. Tanda).
A : Grotta Verde-Alghero, détails des décors céramiques (d’après G. Tanda) ;
Néolithique Ancien III
B, 1 : Grotta Monte Maiore-Thiesi, matériaux des couches 1-2 (d’après A. Foschi) ;
2 : Grotta Sa Ucca de su Tintirriolu-Mara (d’après D. Trump) ;
3 : Grotta Rifugio-Oliena (d’après P. Biagi et AA.).
6A part les éléments communs, l’analyse de la céramique décorée en rapport avec les couches a mené A. Foschi (10) à faire l’hypothèse d’une articulation du Néolithique ancien de Monte Maiore en deux phases qui ont été reconnues par la présence de détails techniques des décors.
la deuxième phase, la plus ancienne, présente dans les couches 3-6, serait caractérisée par la présence de la technique d’impressions à la coquille (dont un document avec incrustations de pâte rouge) ou avec des outils (au peigne, au poinçon ; un document avec incrustation de pâte blanche) ; par les décors incisés (un seul tesson) ; par des cordons plastiques, lisses et horizontaux (un seul tesson) ; par incisions sur les bords (fig. 2,2).
la première phase, la plus récente, qui peut être reconnue dans les couches 1-2, serait caractérisée par la céramique incisée (sillons bordés par une rangée de points impressionnés), peinte et par la persistance de la technique à impressions avec des outils, des incisions sur les bords et des cordons plastiques horizontaux (fig. 3, B,1).
7Les éléments distinctifs de la première phase seraient donc l’absence d’impression à la coquille et la présence de décors incisés et peints.
8L’examen de toutes ces données nous porte à reconnaître dans la phase intermédiaire de Mara et dans la deuxième phase de Thiesi le même horizon culturel. On pourrait donc concevoir une articulation du Néolithique ancien en trois phases :
la première, caractérisée par la céramique décorée à la coquille, la céramique cardiale typique (Filiestru/7) ;
la deuxième que l’on peut diviser en deux sous-phases :
sous-phase A : caractérisée par la céramique imprimée au cardium associée à la céramique imprimée au peigne et au poinçon et à la céramique non décorée (phase intermédiaire de Filiestru-Monte Maiore II) ;
sous-phase B, caractérisée par la céramique non décorée (Filiestru/6/) ;
la troisième caractérisée par les décors incisés et peints associés (Monte Maiore I).
9Dans le cadre ainsi figuré les matériaux de Grotta Verde (11) occupent la phase II, A (fig. 2, B).
10En effet ces matériaux comprennent de nombreux éléments distinctifs de cette phase.
11Parmi les formes des vases : les vases globulaires à col (forme 3) ; le vase ovoïde (forme 4) ; le vase « piri-forme » (forme 5) ; le bol (forme 7). Parmi les anses : les anses horizontales « a maniglia » ; les prises ; les mamelons ; le nombre des anses (trois ou quatre pour un vase). Parmi les décors : l’usage de décorer, au peigne ou à la coquille, seulement la partie au-dessous des bords ou les anses ou les prises ; l’usage de décorer avec des incisions transversales les bords des vases ; la présence de cordons plastiques ; l’engobe en rouge (fig. 2, 3 ; fig. 3, A).
12Devant ces analogies, les éléments différents comme l’absence de la coupe carénée (12), des incrustations en blanc ou en rouge, des prises paraissent avoir une importance secondaire.
13Il nous semble nécessaire aussi de faire une nouvelle étude des autres matériaux du Néolithique ancien ou des matériaux qui, par leurs caractéristiques particulières, se placent en dehors des typologies culturelles déjà connues, pour vérifier leur classification culturelle (13).
14Les matériaux céramiques de Su Carroppu di Sirri (14), à notre avis, peuvent être attribués à la même époque que le niveau ancien de Filiestru (Filiestru/7/). En effet, la technique des décors et l’organisation des motifs rappellent bien la technique et l’organisation des motifs de Filiestru comme nous pouvons le constater dans la fig. 1, 2 : les décors sont imprimés à la coquille et organisés en bandes horizontales, verticales ou obliques, et en triangles, quelquefois associés sur un même tesson.
15Beaucoup de problèmes d’interprétation culturelle concernent au contraire quelques tessons de Grotta Rifugio-Oliena (15) et de Grotta Sa Ucca de su Tintirriolu-Mara (16) (fig. 3, B 2-3).
16Les premiers tessons ont été attribués au Néolithique ancien à céramique imprimée en 1966-67 (17), au Néolithique moyen en 1979-80 (18), au Chalcolithique (culture di Monte Claro) en 1980 (19). Les autres tessons ont été rapportés au Néolithique moyen (culture de Bonuighinu) (20). Il est vrai qu’ils semblent tout à fait étrangers aux typologies des matériaux de la culture de Bonuighinu.
17Parmi les tessons de Mara et ceux de Oliena, il y a sans doute une certaine analogie : parmi les formes des vases (vases à col, tous les trois ; forme fermée à Oliena et Mara, ouverte dans le deuxième exemplaire de Mara) et parmi les décors aussi bien par la technique à impressions que par les motifs « a foglioline ».
18Nous pouvons aussi constater des différences dans l’organisation des motifs qui a Oliena apparaissent compliqués et qui semblent couvrir au moins toute la partie supérieure du vase jusqu’à comprendre les anses, tandis qu’à Mara ils sont très simples et disposés au-dessous des bords ou sur l’épaule ; dans l’association sur le même vase (un des vases de « Sa Ucca de su Tintirriolu » des sillons avec des motifs imprimés (21) ; dans la présence à Oliena de, au moins, trois anses en ruban et de deux mamelons ovalaires, peut-être opposés (22).
19Il nous semble toutefois que les analogies soient plus importantes que les différences ; donc les problèmes chronologiques deviennent communs à tous les tessons.
20Il s’agit, à ce stade, de vérifier les situations de la découverte de tous les matériaux qui font l’objet d’opinions opposées (23) et les interprétations culturelles qui soutiennent les différentes chronologies. Il serait particulièrement nécessaire de contrôler si les analogies remarquées parmi les décors de Grotta Rifugio et les décors de Biriai (24) sont essentielles, c’est-à-dire si elles se rapportent aux formes des vases, au nombre des anses, aux pâtes et, surtout, si elles concernent des céramiques provenant de niveaux chalcolithiques non mélangés.
21Si les analogies étaient seulement marginales, et donc fortuites, les tessons de Grotta Rifugio pourraient être attribués à un horizon culturel qui correspond à la troisième phase du Néolithique ancien ou phase de transition au Néolithique moyen. Dans le même horizon, en outre, nous pourrions placer aussi les tessons décorés avec motifs imprimés « a foglioline » du fait de la rareté de ces décors et de cette technique dans la culture de Bonuighinu.
22A propos des autres matériaux céramiques à décor imprimé à la coquille déjà signalés et qui sont en réalité peu nombreux, nous ne pouvons faire aucune observation en ce moment parce qu’il s’agit de tessons trouvés hors contexte.
23Pour ce qui est de la chronologie enfin, en attendant de connaître les résultats des analyses C 14 des échantillons de Grotta Filiestru et de Grotta M. Maiore, il nous semble vraisemblable d’accepter les indications chronologiques suggérées par les affinités plus précises actuellement connues que l’on peut trouver dans le tableau suivant :
1ère phase : Filiestru/7/ et Su Carropu di Sirri, VIe-Ve millénaire B.C. : Basi (5750 ± 150 B.C.) (France) (25), Aleria (France, Corse) (26), Pienza (Italie) (27) ;
2ème phase, A et B, phase intermédiaire Filiestru /7/-/6/, Grotta Verde, Monte Maiore II, Filiestru /6/, 2ème moitié du Ve millénaire français, Araguina-Sennola, couche XVII (Corse) (4700 ± 180 B.C., 4480 ± 140 B.C.) (28) ; Curacchiaghiu (5650 ± 180 B.C., 5360 ± 170 B.C. ; 5350 ± 160 B.C. (29) ; Châteauneuf-les-Martigues (5210 ± 55 B.C. ; 4750 ± 200 B.C. ; 4190 ± 50 B.C.) (30) ; Montbolo (4500 ± 170 B.C.) (31). Aire ibérique : Coveta de l’Or (4770 ± 380 B.C. ; 4680 ± 290 B.C. ; 4560 ± 160 B.C.) (32) ; Cueva de la Sarsa (33). Aire italienne : Arene Candide (4530 B.C.); 4050 ± 120 B.C.) (34); Pollera (5000 ± 100 B.C. ; 4630 ± 110 B.C. ; 4050 ± 120 B.C.) (35) ; Fiorano ancien, Ripoli ancien, Sasso ancien (4260 ± 75 ; 4190 ± 70 B.C.; 4310 ±85 B.C.; 4130 ± 50 B.C.) (36) ; Stentinello (37).
3ème phase, transition au Néolithique moyen (fin du Ve millénaire-premiers siècles du IVe) : Monte Maiore I, Grotta Rifugio-Oliena (?), Sa Ucca de su Tintirriolu-Mara (?) : phases épicardiales françaises (38) et, surtout, matériaux céramiques du village Baratin-Courthézon (Vaucluse) (4650 ± 140 B.C.) (39), de la grotte de Camprafaud, Ferrières (Hérault) (3950 ± 140) (40), de l’abri d’Escanin 2- Baux de Provence (Bouches-du-Rhône) (41), du village de l’île Corrège-Leucate (Aude) (4850 ± 90 B.C.) (42), de la grotte de Gazel III (Sallèles-Cabardès, Aude) (4590 ± 200) (43), de la grotte IV de St-Pierre-la-Fage (Hérault) (4250 ± 400) (44).
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Bibliographie
1. – Trump (D.) 1982. The Grotta Filiestru, Bonu Ighinu, Mara (Sassari), « Le Néolithique ancien Méditerranéen ». Actes du Colloque International de Préhistoire, Montpellier 1981, pp. 327-331.
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3. – Tanda (G.) 1980. Il Neolitico Antico e Medio della Grotta Verde, Alghero, Atti della XXII Riunione Scientifica dell’I.I. P.P. nella Sardegna centro-settentrionale, 21-27 ott. 1978, Firenze 1980, pp. 46-94 ; EAD., 1982, Il Neotico Antico della Sardegna, in « Le Néolithique... cit. », pp. 333.
4. – Ead. 1980, o.c, p. 46 e segg.
5. – Ead. 1980, o.c, p. 51 e segg.
6. – Trump (D.) 1982, o.c, p. 328-329.
7. – Id. 1982. o.c, p. 329.
8. – Foschi (A.) 1983. Osservazioni confronti, in Trump (D.), La Grotta Filiestru-Mara, « Quaderni. 13 Sassari » (sous presse, titre provisoire)
9. – Ead. 1982. o.c, p. 340 e segg., Figg. 1-5.
10. – Ead. 1982. o.c, p. 346.
11. – Tanda (G.) 1980. o.c, cf. note 3, ibidem. La dénomination de culture de grotta Verde apparaît pour la première fois dans Atzeni (E.), 1980, Prima del Nuraghe, AA.VV., Nur, Milano, p. 81 ; par la suite aussi dans Id., 1981, Aspetti e sviluppi culturali del neolitico e dell’età del metalli in Sardegna, AA.W., Ichnusa, La Sardegna dalle origini all’età classica, Milano p. XXIV.
12. – Seulement 1 tesson.
13. – Cf. la carte de diffusion des endroits dans : Tanda (G.) 1982. o.c, Fig. 1, p. 334.
14. – Atzeni (E.) 1975. Nuovi idoli della Sardegna prenuragica (Nota preliminare), « Studi Sardi », vol. XXIII, A. 1973-74, Sassari, Fig. 5, p. 33 e segg.
15. – Biagi (P.) 1980. La Grotta Rifugio di Oliena (Nuoro) : caverna ossario neolitica, « R.S.P. » vol. XXXV, Fasc. 1-2, p. 94 e segg.
16. – Loria (R.), Trump (D) 1978. Le scoperte a « Sa Ucca de Su Tintirriolu » e il Neolitico sardo, « Mon. An. Lincei », vol. II, 2, pp. 123 e 127 ; Fig. 9,9-10.
17. – Carta (E.) ,1966-67. Documenti del Neolitico antico nella Grotta « Rifugio » di Oliena (Nuoro), « Studi Sardi », XX, pp. 48-67.
18. – Biagi (P.), Cremaschi (M.) 1980a, Scavi nella Grotta Rifugio di Oliena (Nuoro) 1977-78. Caverna sepolcrale della cultura di Bonu Ighinu (Nota preliminare), « Atti della XXII Riunione » cit., pp. 95-114. ; Biagi (P.) 1978. La Grotta Rifugio di Oliena, AA.VV., Sardegna centro-orientale dal Neolitico alla fine del mondo antico, Sassari, pp. 11-15.
19. – Castaldi (E.) 1979. Biriai (Oliena, Nuoro) : il villaggio di cultura Monte Claro (Nota preliminare), « R.S.P. » vol. XXXIV, Fasc. 1-2, pp. 241-242.
20. – Loria (R.), Trump (D.) 1978. o.c., Fig. 9,9-10.
21. – Iid. 1978. o.c, 1.c.
10.1016/j.cyto.2013.06.025 :22. – Biagi (P.) 1978. o.c., p. 12 ; Biagi (P.), Cremaschi (M.) 1980. o.c., p. 11.
23. – Nous avons essayé de commencer ce travail sur les tessons de Grotta Rifugio-Oliena, conservés au « Museo Civico » de Nuoro. Malheureusement, des motifs « bureaucratiques » nous ont empêché, jusqu’à ce moment, de faire cette étude.
24. – Castaldi (E.) 1979. Biriai... cit., pp. 241-242.
25. – Bailloud (G.) 1969. Fouille d’un habitat néolithique et torréen à Basi, Serra di Ferro, « Bull, de la S.P.F. » t.66, p. 367 ss.
26. – Calvi Rezia (G.) 1980. La ceramica impressa di Pienza (Toscana) e quella di Basi (Corsica), « R.S.P. », XXXV, 1-2, pp. 323-334 (ibidem bibl. prec.)
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