Le niveau à céramique imprimée dans le Néolithique grec
p. 329-334
Résumés
La céramique imprimée, en Grèce, n’est étudiée que très récemment dans son contexte et n’est connue que dans une quinzaine de sites. Elle apparaît un demi-millénaire environ, après les premières céramiques égéennes et accompagne, dans son niveau, la céramique monochrome. Les décors sont surtout réalisés au doigt, à l’ongle, au poinçon, plus rarement au coquillage. Les caractéristiques de cet horizon sont difficiles à appréhender à cause des faibles données des fouilles.
The impressed ware in Greece, is only recently being studied in connection with its context. Some fifteen sites are known by now. It appears about half a thousand years after the first egean potteries and accompa-gnies, in the same level, monochrome ware. Decoration is realised with the help of fingers, nails, awls, less frequently with the help of shells. It is difficult to conceive the main features of this horizon, because of insufficient excavation data.
Texte intégral
Historique de la recherche
1Avant la seconde guerre mondiale, la chronologie en Grèce commençait à ce qui est le Néolithique moyen aujourd’hui, c’est-à-dire la culture de Sesklo. Les premiers travaux portaient essentiellement sur des sites de Thessalie et de Macédoine. Stampfuss venait juste de mettre au jour quelques objets lithiques dans la grotte Séïdi (Béotie) que l’on attribuait à un Paléolithique Supérieur sans distinction et que l’on date de nos jours, de l’Aurignacien. A la fin des années quarante, en Thessalie, Weinberg et Milojcic ont fait apparaître des stratigraphies et mis en évidence l’existence de phases qui précèdent le Sesklo. Milojcic trouvait le premier niveau précéramique à Argissa en 1956. La présence du Paléolithique ne fut dévoilée qu’en 1958, au cours de prospections systématiques dans la vallée du Pénéios et en 1959 à Pétralona (Chalcidique).
2Higgs effectua ce genre de prospections en Epire et bientôt suivaient les fouilles de Kastritsa (lac de Ioan-nina), de Kokkinopilos et Asprochaliko (vallée du Lou-ros). Le Mésolithique apparut en stratigraphie à Sidari (Corfou) et Boebe1 (Thessalie) après qu’Higgs pour l’Epire et Leroi-Gourhan pour l’Elide aient émis l’hypothèse de son existence. La chronologie du Néolithique fut enfin, affinée par Théocharis pour la Thessalie, par des fouilles comme Néa Nicomédia (Macédoine) et Franchti (Argolide), préludes à des travaux plus minutieux : Kitsos (Attique) et Diros (Laconie) par exemple.
3La céramique imprimée est connue de longue date (Tsountas la mentionne dès 1908 et Wace et Thompson la classent céramique de type A2) mais pendant longtemps, elle reste mal attribuée chronologiquement et souvent découverte fortuitement. Tout décor en creux est qualifié d’« impresso » ou de « style barbare » et l’analyse est parfois malaisée. Toutefois, les auteurs remarquent très tôt que ce style s’arrête aux sites du N de la Thessalie et à la Macédoine occidentale. Depuis, Théocharis a découvert des tessons imprimés à Sesklo (Thessalie du S), à Néa Makri (Attique) et cite ceux du Néolithique ancien de Knossos (Crète). Dans les années soixante, deux sites importants ont restitué de la céramique imprimée, Sidari (Corfou) et Néa Nicomédia (Macédoine).
4Les principaux sites ayant restitué de la céramique imprimée sont :
5Iles ioniennes : Sidari (Corfou) - Skaros (près de Leucade).
6Epire : Kastritsa (près du lac de Ioannina)
7Macédoine : Servia - Néa Nicomédia
8Thessalie : Kefalovriso - Magoulitsa - Otzaki - Tsani -Achilleion - Karagats - Soufli Magoula – Nessonis - Gendiki - Sesklo - Prodomos.
Chronologie de la céramique imprimée
9Dans aucun des sites la céramique imprimée n’est la première poterie du sol hellénique. Il est même très rare qu’elle soit l’unique céramique de la couche « impresso ».
10A Sidari (site au NW de Corfou), la séquence est la suivante :
11Niveau E - sol stérile
12Niveau D - niveau mésolithique à microlithes et coquillages
13Niveau C (base) - néolithique à céramique monochrome avec déjà quelques tessons imprimés
14Niveau C (médian) - couche stérile épaisse de 0,70 à 0,80 m
15Niveau C (haut) - néolithique à céramique imprimée
16Niveau B - sable éolien stérile
17Niveau A - Âge du Bronze local.
18Les découvertes de Skaros et de Kastritsa sont respectivement une propection de surface et des découvertes dans un niveau remanié.
19En Macédoine, Néa Nicomédia a donné 1,9 % de céramique à décoration digitale et unguéale dans un contexte néolithique ancien sans distinction. Servia, plus à l’ouest, a restitué un grand nombre de tessons incisés ou à la coquille, en milieu néolithique ancien avec cinq phases d’habitat. Toutefois, le fouilleur présente tous les résultats ensemble.
20En Thessalie septentrionale, la première couche néolithique est acéramique. Elle est de tradition mésolithique par l’industrie sur lamelles. Dans plusieurs sites, une couche stérile scelle le premier horizon, ceci dû sans doute à la présence de la mer de Karla sur les rives de laquelle s’élèvent des sites comme Gendiki ou Nessonis. Suit un niveau à céramique monochrome où l’on distingue plusieurs degrés de technicité. La céramique peinte et la céramique monochrome dominent ensuite avant de tomber légèrement en désuétude. C’est le Protosesklo. Vient enfin un niveau où se développe à nouveau la céramique monochrome accompagnée d’une céramique imprimée-incisée. C’est le Présesklo.
21Il semble qu’un phénomène se produise entre le Protosesklo et la première céramique du Néolithique moyen, le type A3 (solid style). A Otzaki, Milojcic note 3 m de terre à peu près stérile avec des niveaux très disséminés, de la céramique peinte au fond, des tessons de barbotine au milieu et de la céramique monochrome associée à des tessons de barbotine au milieu et de la céramique monochrome associée à des tessons imprimés au-dessus.
22En Thessalie du sud, la céramique imprimée est quasi-inexistante mais le même phénomène existe. Avant que n’apparaisse la céramique de type A3, d’un haut niveau technique, les niveaux à céramique peinte et polychrome montrent un intervalle de temps plus ou moins vide de mobilier céramique.
23La céramique dite imprimée est de plusieurs types. Les auteurs parlent de barbotine lorsqu’il s’agit d’empreintes digitales, unguéales qui donnent à la surface un aspect rugueux. Ils qualifient d’imprimée la céramique décorée au coquillage mais emploient souvent ce terme pour l’ensemble de la céramique décorée en creux. Enfin, ils parlent de céramique incisée pour la poterie décorée au poinçon ou tout autre instrument présentant une pointe fine.
24Les trois types ne sont pas strictement contemporains. Otzaki I a permis à Théocharis de parler, après Milojcic, d’un niveau plus ancien où l’impression est faite à la pointe ou à l’ongle et un niveau supérieur où le décor est réalisé à l’aide d’un cardium ou d’un peigne à deux dents. En règle générale, le décor à la coquille est légèrement plus tardif que les deux autres.
25Certains sites ont restitué quelques tessons incisés au sommet des couches Protosesklo (Nessonis, Argissa, Achilleion). Le décor imprimé peut perdurer jusqu’à des phases avancées du Néolithique moyen où il n’est que très minoritaire. A Otzaki, Gendiki, Soufli et Sesklo, de la céramique imprimée a été trouvée dans la première, deuxième et même troisième phase du Néolithique moyen. Dans le cas de Sesklo, il s’agit d’un site de Thessalie du S, où l’on a l’impression que viennent mourir les éléments tardifs de la céramique de type A2.
26A Sidari, le niveau contenant de la céramique imprimée est daté de 5390 ± 180 B.C. au-dessus d’un Néolithique ancien à céramique monochrome (5720 ± 120 B.C. et d’un horizon mésolithique à microlithes (5820 ± 340 B.C.). Le Néolithique ancien de Néa Nicomédia a donné trois dates C14 dont la première est jugée erronée : 6240 ± 150, 5607 ± 91 et 5331 ± 74 B.C. En Thessalie, les dates C14 ne sont pas données pour la couche à céramique imprimée. Toutefois la chronologie généralement admise, est :
Néolithique acéramique de tradition mésolithique
Céramique monochrome : 6000-5750 B.C.
Céramique peinte et polychrome (Protosesklo) : 5750-5500 B.C.
Développement de la céramique monochrome et moins de céramique peinte, céramique imprimée (Présesklo) : 5500-5250/5100 B.C.
Formes et décors de la céramique imprimée
27La pâte est d’une couleur rose à Sidari, avec un dégraissant de silex broyé et les parois sont fines. Les anses y sont percées horizontalement et les fonds plats ou à peine courbes. La pâte est de teinte brune à Néa Nicomédia, rugueuse à cause de son dégraissant mais bien cuite. La forme la plus courante est le récipient très évasé avec un fond plat ou annelé. Servia a donné des formes très évasées, basses, à fond plat ou rond. En Thessalie, la pâte est plutôt rouge, parfois noire intérieurement. Les parois sont épaisses. Soufli a restitué un vase entier, d’un diamètre aux lèvres de 14 cm environ sur 6 cm de haut, à fond plat. Tirnavos en a donné un autre, de 15 cm de diamètre sur 8 cm de haut, aux parois verticales et à fond également plat. Les moyens de préhension sont rares ; un bouton percé horizontalement à Nessonis.
28Les formes sont relativement banales, communes dans tout le Néolithique ancien. Théocharis fait remarquer que quelques formes trouvées en Thessalie du N rappellent celles du Néolithique moyen (ou Sesklo). Elles semblent même rappeler des formes trouvées dans l’acropole de Sesklo, dans la couche néolithique moyen, donc en Thessalie du S.
29Les décors à Sidari sont des impressions cligito-unguéales ou à la pointe mousse d’un outil. Un tesson de la couche inférieure C est ornée de bandes horizontales incisées remplies de hachures. Le fouilleur les compare à ceux des sites yougoslaves. A Skaros, on a le même type de décor, à coups d’ongles ou de poinçons. Le décor n’est pas ordonné et l’on a cherché à couvrir la totalité de la surface dans la majorité des cas. Des cordons horizontaux et verticaux existent et le décor est composé en fonction de cet ornement plastique. Un cordon est orné d’une bande d’empreintes digitales, un autre d’une bande d’impressions unguéales, un troisième est laissé lisse entre deux surfaces de coups d’ongles.
30A Néa Nicomédia, la céramique est ornée d’impressions digitales ou digito-unguéales en coups espacés et couvrants ou en bandes verticales ou horizontales. Parfois, les impressions sont pincées entre l’ongle du pouce et celui de l’index. Servia est le site le plus riche en motifs différents. On a des lignes horizontales de coups de poinçon, suivies ou non, sur toute la surface du pot. On a des coups d’ongles, isolés ou par paires, couvrant toute la surface du pot, sans ordre ou essayant de suivre une direction. C’est le site qui a restitué également le plus grand nombre de poteries au cardium. Le décor est placé juste en-dessous de la lèvre, soulignée par une ou deux lignes d’impressions. On a des damiers, des guirlandes verticales composées d’impressions obliques, des chevrons larges, composés de cinq ou six impressions parallèles, des demi-cercles larges composés d’impressions disposées en cercles concentriques, des bandes verticales réunies par des bandes obliques en chevrons et des tessons portent un décor d’impressions au coquillage symétriques par rapport à un moyen de préhension. Dans plusieurs cas, le décor au cardium est rehaussé par la pénétration d’une pâte de teinte claire dans les creux. Le fouilleur ne donne pas une séquence chronologique des décors.
31La Thessalie septentrionale a donné elle aussi des lignes de coups de poinçon, horizontales, verticales, suivies ou non, espacées ou serrées. Un tesson présente des lignes obliques qui viennent se rejoindre sur un axe vertical approximatif. Les empreintes laissées par les instruments sont rondes ou allongées, droites ou en virgule. Un instrument a exécuté deux lignes parallèles horizontales d’empreintes allongées qui font penser au dessin que laisserait une cordelette. On a des chevrons doublés, faits d’une incision allongée et peu profonde. Les impressions digitales, unguéales ou digito-unguéales sont nombreuses, assez souvent ordonnées en bandes horizontales ou verticales, parfois surpassées. Comme à Néa Nicomédia, existent des lignes d’empreintes pincées entre deux ongles qui donnent un décor de bandes verticales ressemblant à des épis. Karagats a donné un tesson orné d’un double ruban de triangles incisés remplis d’incisions obliques. A Argissa, le ruban de triangles incisés est simple. Un tesson est orné de cannelures verticales.
32Le décor au coquillage représenté en publication est plus rare. Un tesson est orné de bandes horizontales d’impressions au cardium, séparées par une zone vierge. Un autre présente trois bandes qui se surpassent, d’impressions d’un coquillage qui n’est pas le cardium (anodonte, moule ?).
33Tirnavos et Soufli ont donné deux vases incisés en même temps que peints. Les décors sont des lignes de coups de poinçon, soulignant le bord et le pied plat, reliées par des lignes obliques qui déterminent des réserves triangulaires peintes. Magoulitsa a restitué un fragment de vase où le décor couvre la base
34En règle générale, le décor imprimé, ou incisé, est d’un soin moindre que le décor peint et sans commune mesure avec la complexité des motifs de la céramique polychrome.
Industrie lithique
35La céramique imprimée est rarement étudiée en Grèce du fait de la rareté de ses témoins. L’industrie lithique et tout autre objet qui l’accompagnent sont absents des commentaires. D’ailleurs, les travaux en matière d’industrie lithique sont encore indigents et limités à un certain nombre de sites. L’ouest du pays présente la séquence la plus complète où apparaît une filiation des outils depuis les dernières couches du Paléolithique final jusqu’au Néolithique ancien. Les renseignements que l’on nous donne pour les couches à céramique imprimée parlent d’un changement de taille des outils. A Sidari, niveau D, Sordinas note une industrie proche des sites d’Elide, comme Amalias, et de la couche IVa de Crvena Stijena en Yougoslavie. Il dit que l’industrie de la base de la couche C n’est pas microlithique, que les dimensions ont doublé, et qu’elle reste la même en haut de la même couche. En Macédoine, les sites ont restitué une industrie atypique pour le Néolithique ancien, sur lames et lamelles. Néa Nicomédia a donné quelques éléments de faucille. Théocharis met en évidence, en 1967, des armatures tranchantes dans un contexte mésolithique, à Boebe (Thessalie). Il replace ces armatures, en 1973, dans un contexte précéramique qu’il ne peut d’ailleurs prouver, vu le faible nombre des sondages. Le niveau précéramique d’Argissa donne une industrie très proche de celle de Boebe quoiqu’en faible quantité. L’obsidienne de Mélos fait son apparition dans les sites dès cet horizon. Poinçons, burins, lames à encoches, demi-lunes, quelques éléments de faucille et des grattoirs forment le fonds commun du Néolithique précéramique. Avec la première céramique monochrome les lames atteignent 4 cm en moyenne et l’obsidienne est de plus en plus courante.
1 à 6 = décoration au cardium, 7 = décoration à la coquille (anodonte, moule ?),
8 à 10 = incisions au poinçon, 11 = empreintes digitales, 12 et 13 = empreintes unguéales, 14 et 18 = incisions courtes (ongle ou poinçon ?), 15 à 17 = lignes de coups de poinçon.
1 à 5 + 14 = motifs trouvés à Servia, 6 à 18 sauf 14 = motifs des sites thessaliens ou macédoniens, indifféremment.
36La présentation d’une évolution s’arrête là et l’on ne peut savoir si le niveau « impresso » est accompagné d’une industrie en filiation ou non.
Le contexte
37Malgré le faible nombre de sites considérés et d’observations les concernant l’homogénéité du niveau à céramique imprimée en Grèce, semble évidente. Les formes sont identiques. Les décors, surtout au doigt, à l’ongle et au poinçon, se retrouvent partout, avec les mêmes motifs. Les dates absolues intègrent l’horizon considéré dans une tranche de temps très réduite de 400 ans. Un phénomène interne existe cependant qui voit tomber en désuétude la céramique monochrome au moment où apparaît brusquement la céramique imprimée.
38Un horizon stérile, de 70 cm, représente la couche médiane du niveau C de Sidari. Dans plusieurs sites de Thessalie, la céramique imprimée est dispersée dans un niveau qui atteint une puissance de 3 m à Otzaki. L’apparition de la céramique du type de Sesklo (Solid style) n’est pas moins brutale mais elle s’effectue au détriment de la céramique strictement cardiale dont il semble qu’elle adopte certaines formes.
39Le décor et les formes témoignent aussi d’une appartenance des sites grecs au groupe adriatique. Les coups d’ongles ou de poinçon couvrant la surface de vases à fond plat ou annelé, présentant ce que les chercheurs ont appelé ici barbotine, se retrouvent dans les sites yougoslaves. Servia offre en outre un éventail de motifs très occidentaux réalisés au cardium.
40On ne peut rendre, avec les seules données du décor céramique, la nature exacte de l’intrusion de la céramique imprimée sur le sol hellénique, mais la répartition des sites, jointe à quelques renseignements stratigraphiques, font penser à un phénomène allant de l’ouest vers l’est.
Bibliographie
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Notes de fin
1 Prononcer Voïvi
Auteur
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