Problèmes de représentativité et d’interprétation des paléo-semences (graines et fruits) des sites français du Mésolithique et du Néolithique ancien méditerranéen.
p. 257-265
Résumés
L’interprétation des paléo-semences nécessite que l’on tienne compte d’un ensemble de facteurs d’ordre archéologique et botanique.
Ceux-ci nous conduisent à reconsidérer légèrement notre vision de l’alimentation végétale mésolithique et néolithique ancien.
Mais ces conclusions n’ont qu’une valeur indicative compte tenu de la faiblesse de notre documentation.
It is necessary when interpreting plant macro-remains to take into account a whole group of archaeo-logical and botanical factors.
Thèse enable us to lightly modify our vision of Mesolithic and Ancient Neolithic plat alimentation.
However these conclusions can only be indications, if our scant documentation is considered.
Texte intégral
1En paléocarpologie, comme dans toutes les disciplines, les résultats sont tributaires du matériel soumis à l’étude et des événements subis par ces données.
2Ces événements débutent avec les modalités des préparations culinaires pour ne s’achever que lors de la publication des études paléocarpologiques1.
3Il est donc impératif de cerner, le mieux possible, les événements taphonomiques des paléo-semences et de saisir leur représentativité si l’on désire restituer l’alimentation végétale.
4Ainsi, nous nous attacherons à décrire brièvement les principaux événements qui influent sur l’interprétation des paléo-semences à savoir :
le contexte archéologique
la conservation des vestiges
leur récupération
les études paléocarpologiques
Le contexte archéologique
5Le contexte archéologique des paléo-semences est l’un des éléments fondamentaux. Il nous livre de précieux renseignements. En effet, et c’est une incidence, la plupart des « graines et fruits » recueillis dans les sédiments archéologiques étaient destinés à être consommés, toutefois, chaque reste ou lot de vestiges ne possède pas la même valeur intrinsèque pour restituer l’alimentation ; ainsi, des reliefs de repas éparpillés à la surface d’une couche d’occupation ou dans le remplissage d’un dépotoir, dont on ignore s’ils témoignent d’un seul ou de plusieurs repas et l’intervalle de temps qui, éventuellement, les sépare, présentent moins d’intérêt qu’un ensemble homogène de semences (vases, silos... remplis de paléo-semences).
6Il convient donc d’examiner avec soin le type de dispersion de ces vestiges et la nature des structures ou ensembles auxquels ils sont associés.
7Certes, ces observations ne sont réalisables que dans la mesure où des vestiges botaniques nous sont parvenus.
8Pour ce faire, il est indispensable que certaines circonstances soient intervenues.
d’une part, que ces paléo-semences ne soient pas consommées, ce qui signifie que notre source documentaire est constituée par du mobilier rejeté ou égaré.
d’autre part, que ces vestiges se soient conservés jusqu’à nos jours, or, la préservation de tels éléments, infiniment fragiles, n’est assurée que lorsque des conditions bien particulières se sont produites.
La conservation
9La conservation des paléo-semences dans les sédiments secs (non constamment humidifiés2 au cours des milénaires est rendue possible grâce au phénomène de la carbonisation. En effet, seuls les éléments calcinés présentent des possibilités de résister à l’usure du temps en milieu non-humide. Ce qui sous-entend que ces vestiges ont obligatoirement subi l’action du feu avant leur enfouissement dans les sédiments archéologiques.
10Cette calcination peut résulter d’un accident, d’un incendie involontaire ou bien d’un choix délibéré, d’une préparation culinaire... tel le grillage.
11A ce propos, la torréfaction, même si elle semble avoir été une pratique très répandue pendant la Protohistoire, n’est certainement pas la seule façon de consommer les graines ou les fruits.
12Ce qui implique que nous n’avons guère de chance de retrouver nombre de fruits, tout comme d’autres organes consommables de la plante (feuilles, jeunes pousses, racines...).
13Parmi les restes carbonisés, la constitution biochimique du matériel et ses dimensions influent fortement sur la conservation. Les fruits qui ont développé des organes très résistants présentent davantage de chances de se conserver.
14Ainsi, comparons : une noisette, une faîne (2 fruits de taille similaire et de mêmes caractéristiques) et un endocarpe de framboise (de dimensions et de résistance inférieures) (cliché 1) : nous nous apercevons que la noisette présente deux avantages considérables : sa taille et son péricarpe lignifié, organe très résistant. Les noisettes seront donc, comparativement à la faîne et à l’endocarpe de framboise, plus difficilement détruites et leur récupération, par les archéologues, sera d’autant plus facilitée : ceci risque alors de modifier notre vision.
La récupération
15La récupération est également l’un des points principaux de l’étude paléocarpologique, peut-être même le point essentiel de l’ensemble du processus.
16Or, le tri traditionnellement employé : le tamisage à sec directement sur le chantier (cliché 2 A et B), bien que livrant des paléo-semences, ne fournit pas l’image exhaustive des vestiges contenus dans les sédiments.
17Pour recueillir la quasi intégralité de ceux-ci il est impératif d’utiliser d’autres méthodes plus appropriées :
soit le tamisage sous eau (cliché 2,C et D)
soit la flottation (cliché 2,E).
18associées à un tri sous loupe et loupe binoculaire (cliché 2, F et G).
19Ces méthodes ne furent que peu employées en France jusqu’à présent.
20En ce qui concerne l’identification des vestiges botaniques, celle-ci pose également des problèmes.
Les études paléocarpologiques
21La diagnose à partir de restes carbonisés demeure souvent une véritable gageure (Erroux, 1971). Non seulement la détermination des espèces à partir des semences reste plus ou moins aléatoire mais la carbonisation modifie leur aspect.
22Fort de ces réflexions préliminaires, comment pouvons-nous interpréter les macro-restes du Mésolithique et du Néolithique ancien méditerranéen occidental ?
Approche de la réalité socio-économique
23Actuellement 11 gisements mésolithiques et néolithiques anciens ont livré des paléo-semences (tabl. 1 et 2, fig. 1). Cinq ensembles datent de la période mésolithique et dix appartiennent aux horizons du Néolithique ancien. Sur ces gisements ne sont attestés que 17 taxons (tableau 2).
24Notre documentation sur les phases préliminaires et la mise en place de l’agriculture s’avère donc extrêmement réduite.
25Au reste, si l’on compare la carte de répartition des principaux sites repérés du Néolithique ancien (fig. 2) et celle des gisements qui ont livré des paléo-semences (fig. 1), on constate un très net déséquilibre, reflet de l’état de la recherche paléocarpologique peu développée en France.
Le Mésolithique
26Pour l’époque mésolithique, on dispose de fort peu de renseignements.
27La cueillette des végétaux sauvages n’est attestée que par quelques paléo-semences. En revanche, deux gisements (la Balma de l’Abeurador et la Baume Fontbrégoua) ont livré quantité de vestiges botaniques. Ils semblent indiquer, comme le signalent J. Courtin (1975) et J. Vaquer (1980) l’existence d’une proto agriculture ou d’une horticulture. Celle-ci serait définie par l’apparition d’espèces végétales réputées allochtones : l’Ers (Vicia ervilia), le Pois chiche (Cicer arietinum) la Gesse chiche (Lathyrus cícera), la Lentille (Lens esculenta) et le Pois (Pisum sativum) ainsi que par le développement d’une cueillette plus sélective.
28Nous désirons évoquer, à ce propos, les problèmes que pose la connaissance de la flore spontanée. Il est, en effet, couramment admis que les végétaux cités ci-dessus sont originaires du Proche-Orient où ils furent domestiqués dès les VIIIe et VIIe millénaires (Van Zeist, 1980). Or, la méconnaissance de la flore méditerranéenne française au Boréal nous incite à rester prudent. On ne peut exclure a priori l’hypothèse de la présence de certains de ces taxons en région méditerranéenne française à cette période.
Le Néolithique
29Avec le Néolithique dans la deuxième moitié du Ve millénaire av. J.C. apparaissent les premières céréales : Blé et Orge.
30Trois espèces de Blés sont attestées :
l’Engrain ( Triticum monococcum)
l’Amidonnier (Triticum dicoccum . les Blés tendres (Triticum aestivo-compactum)
31Il est à noter que l’Engrain n’est représenté que par un seul grain découvert dans la grotte de l’Aigle.
32Une seule variété d’Orge est mentionnée : il s’agit de l’Orge à grains nus (Hordeum vulgare var. nudum).
33La présence de ces plantes témoigne de la mise en place d’une réelle agriculture fondée sur les céréales.
34Quelques légumineuses font également partie des espèces cultivées :
deux Gesses (Lathyrus sativus et Lathyrus cícera)
le Pois (Pisum sp.)
35Il est intéressant de remarquer que trois taxons, l’Ers (Vicia ervilia), la Lentille (Lens esculenta) et le Pois chiche (Cicer arietinum) attestés lors de la phase précédente n’ont pas, jusqu’à présent, été signalés en contexte cardial.
36A côté de ces plantes cultivées ou introduites figurent quelques espèces cueillies : les Chênes (glands) (Quercus sp.), et le Noisetier (Corylus avellana).
37Ces découvertes ne présentent pas de différences majeures avec celles réalisées dans le restant de la zone d’influence cardiale. Les trois espèces de Blé sont mentionnées en Italie sur le site de Passo di Corvo (Follieri, 1973), en Espagne dans la Coveta de l’Or (Hopf et Schu-bart, 1905) par exemple. Toutefois, dans les horizons cardiaux de cette grotte espagnole, Maria Hopf a rencontré les 2 variétés d’Orge, à grains vêtus et à grains nus.
38Parallèlement à l’apparition des céréales, on assiste au développement du matériel de meunerie. Celui-ci est souvent interprété comme étant une preuve des pratiques agricoles. Cependant une certaine prudence semble nécessaire. D’une part, une meule n’est pas obligatoirement utilisée pour broyer des céréales, les glands peuvent être réduits à l’état de farine au moyen de cet instrument, d’autre part, il est possible de consommer des céréales sous forme de bouillies sans les rapports qui existent entre les meules et l’agriculture.
39Ces considérations sur les pratiques culturales nous amènent à nous interroger sur la nature socio-économique des gens du Cardial. Ètaient-ils davantage pasteurs qu’agriculteurs ?
40Nous l’avons vu, nous souffrons d’un réel manque de données. Ces périodes restent encore assez obscures. De plus, les modalités de l’agriculture ne peuvent pas vraiment être perçues par l’étude des paléo-semences. Certes, ces vestiges botaniques témoignent d’activités agricoles mais il n’est pas possible, à partir de leur analyse, d’appréhender la part des productions agricoles dans l’alimentation.
41Toutefois, si l’on se réfère aux découvertes nouvelles (cf. Châteauneuf-les-Martigues) et si l’on systématise la récupération des paléo-semences, il est possible, comme nous le croyons, que notre vision de la société cardiale se modifie légèrement.
42On aurait peut-être alors l’image d’une société où l’agriculture assurerait déjà une bonne partie de la subsistance.
43Quant à la cueillette, encore plus mal connue, il est, vraisemblable qu’elle devait procurer une part non négligeable de l’alimentation végétale. La méconnaissance de la cueillette n’est d’ailleurs pas seulement due au fait que les «graines » ou les fruits cueillis présentent moins de chance de se fossiliser mais elle dépend de l’orientation de la recherche (les céréales ont, jusqu’à présent, été trop favorisées) comme des méthodes de récupérations mises en œuvre.
44En tout cas, les paléo-semences recueillies nous donnent l’image d’une société à économie éclectique qui traduit un équilibre des groupes humains avec leur milieu.
45En conclusion de cette note qui, en réalité, effleure simplement les problèmes, il est à remarquer que je ne me suis exprimé qu’en terme de « présence-absence ». En aucune façon il n’a été fait état de pourcentages, car les statistiques ne sont valables que lorsqu’elles sont appliquées à des ensembles homogènes et cohérents : silos, vases, greniers... remplis de ces ensembles doivent être constitués d’un seul lot et doivent comporter plus de 100 individus.
46L’étude statistique à partir de paléo-semences éparpillées en couche d’occupation ou de remplissage n’a, à nos yeux, qu’une valeur indicative.
47Ce ne sera qu’avec l’analyse de tels ensembles et l’étude particulière :
des associations d’espèces.
de l’importance relative des espèces.
48que nous pourrons un jour mieux cerner l’agriculture et surtout l’alimentation végétale de l’Homme.
Bibliographie
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Nous tenons de plus à remercier très sincèrement Messieurs Arnal (G.-B.) et Saluste (J.) pour les renseignements inédits qu’ils nous ont communiqués.
Notes de bas de page
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Les chemins de la décolonisation de l’empire colonial français, 1936-1956
Colloque organisé par l’IHTP les 4 et 5 octobre 1984
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1986
Premières communautés paysannes en Méditerranée occidentale
Actes du Colloque International du CNRS (Montpellier, 26-29 avril 1983)
Jean Guilaine, Jean Courtin, Jean-Louis Roudil et al. (dir.)
1987
La formation de l’Irak contemporain
Le rôle politique des ulémas chiites à la fin de la domination ottomane et au moment de la création de l’état irakien
Pierre-Jean Luizard
2002
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Culture et politique
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2007
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Perspectives en enjeux de l’anthropologie biologique
Anne-Marie Guihard-Costa, Gilles Boetsch et Alain Froment (dir.)
2007