Remerciements
p. XIX-XX
Texte intégral
1Cet ouvrage est le fruit d’une recherche qui n’aurait pu être menée à bien sans le soutien d’un certain nombre d’institutions et les conseils de nombreux collègues et professeurs. En particulier, la confiance que m’a accordée Denis Crouzet ne s’est jamais démentie. Son refus des explications simplistes et linéaires, son ouverture à tous les champs du savoir, son rejet de toute forme de téléologie ont été pour moi un modèle de démarche historique, permettant d’appréhender le passé sans le ramener, consciemment ou non, à un discours raisonnable et réducteur. Isabelle Poutrin m’a, dès le début de mes recherches, prodigué des conseils pour cadrer le sujet, m’orienter dans les archives monastiques et dans une bibliographie touffue et éclatée, et apprécier les spécificités des mondes conventuels et de l’écriture des religieuses dans le monde ibérique. Pierre-Antoine Fabre et le séminaire qu’il anime au Centre d’anthropologie religieuse européenne (CARE, EHESS) sur l’écriture spirituelle ont éclairé mes premières réflexions sur le statut du corps chez les religieux de l’époque tridentine. Alain Tallon, qui a suivi mes recherches depuis le DEA, m’a convaincu très tôt de me tourner vers l’historiographie italienne. Enfin, José Javier Ruíz Ibáñez et Bernard Dompnier, qui ont aussi été parmi les premiers lecteurs de ce travail, m’ont gratifié d’encouragements et de conseils précieux pour le reformuler et le préciser au moment d’en faire un livre.
2Le Centre Roland Mousnier puis la Casa de Velázquez ont accueilli mes recherches dès 2004. À Madrid, je suis très reconnaissant envers Xavier Huetz de Lemps et Stéphane Michonneau, qui n’ont pas ménagé leurs efforts pour me soutenir, notamment dans mes démarches pour accéder aux archives ecclésiastiques espagnoles. Je remercie également, sincèrement, le directeur de la Casa de Velázquez, Jean-Pierre Étienvre, qui a accepté de faire confiance à mes projets de recherche et dont la diligence a été précieuse, en particulier pour la publication de cet ouvrage. À Rome, les carmes du centre Teresianum ont mis à ma disposition leurs archives. À Burgos, j’ai été accueilli par le père Miguel Ángel Díaz González qui m’a fait la gentillesse de m’ouvrir l’Archivo Silveriano, dont la richesse pour l’histoire du Carmel espagnol est sans égal. Je remercie enfin mes collègues en France et à Madrid, et en particulier ceux, hispanistes et modernistes, dont les discussions amicales ont fécondé ce travail, notamment Roland Behar, Marion Bretéché, Florence Buttay, Caroline Callard, Yann Dejugnat, Matthieu Gellard, Axelle Guillausseau, Bertrand Haan, Guillaume Hanotin, Héloïse Hermant, Marie-Clarté Lagrée, Elisabeth Lusset, Isabelle Robin-Romero, Olivier Spina et Nathalie Szczech.
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