Remerciements
p. VII-VIII
Texte intégral
Patribus
1Après avoir emprunté les chemins qui mènent à Rome, c’est une pérégrination à travers l’ancienne monarchie espagnole que j’ai entreprise, avec Bruxelles, Valladolid et Madrid pour principales étapes. Je ne crois pas pour autant m’être perdu, d’autant que l’assistance des meilleurs guides m’a été offerte. Mieux épaulé que beaucoup, j’ai pu compter sur la confiance de deux directeurs de thèse. Chantal Grell, tout d’abord, a constitué un modèle de rigueur dans l’analyse des sources et du discours historique et bien plus encore dans ma démarche d’historien. Avec intérêt, elle a suivi la progression de mes recherches tout en veillant à me donner les moyens matériels de les mener à bien. Tant par ses travaux que par ses constantes suggestions, Lucien Bély a inspiré de manière décisive les pistes explorées dans le présent ouvrage et a contribué à les faire évoluer et mûrir. C’est à sa suite que j’ai expérimenté la force de l’idéologie de paix à l’époque moderne et les voies de l’apaisement. D’autres soutiens m’ont permis de parcourir sans m’égarer les méandres des archives et des pratiques diplomatiques et financières du XVIe siècle. Alain Tallon, Charles Giry-Deloison et José Javier Ruiz Ibáñez ont accompagné mes pas avant de me dispenser conseils et critiques lors de ma soutenance de thèse ; il me faut tout autant remercier Isabel Aguirre Landa, Franco Angiolini, Bernard Barbiche, Denis Crouzet, Anne Dubet, Massimo Carlo Giannini, Jean-Philippe Priotti, María José Rodríguez Salgado et Felipe Ruiz Martín.
2Je suis également reconnaissant aux institutions qui m’ont accordé un indispensable appui scientifique et financier. L’université de Versailles-Saint-Quentin et l’université d’Artois m’ont tour à tour offert un cadre propice à l’exploration des dépôts d’archives français puis au travail d’écriture. L’ESR (États, Sociétés, Religion Antiquité / Moyen-Âge / Temps Modernes), rattaché au premier de ces établissements, m’a aussi donné l’opportunité d’effectuer maints voyages en terre étrangère. La Casa de Velázquez, enfin, m’a fait bénéficier de deux années complètes d’otium fécond et heureux à tous points de vue. Ce séjour en Espagne a été un intense moment de rencontre avec des chercheurs de tous horizons ainsi qu’avec les fonds inépuisables de Simancas. C’est aux encouragements et au soutien de son directeur, Jean-Pierre Étienvre, ainsi qu’aux inestimables conseils de Marie-Pierre Salès, responsable du service des publications, que cet ouvrage doit de voir le jour.
3Des relecteurs dont la bonne volonté et l’enthousiasme n’ont jamais faibli ont travaillé à éliminer les imperfections de ce travail. Je dois toute ma gratitude à Dominique Burgaud, à Julien Duvaux, à Sarah Fouquet et à Valentine Peltier.
Le texte seul est utilisable sous licence Licence OpenEdition Books. Les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont « Tous droits réservés », sauf mention contraire.
Les archevêques de Mayence et la présence espagnole dans le Saint-Empire
(xvie-xviie siècle)
Étienne Bourdeu
2016
Hibera in terra miles
Les armées romaines et la conquête de l'Hispanie sous la république (218-45 av. J.-C.)
François Cadiou
2008
Au nom du roi
Pratique diplomatique et pouvoir durant le règne de Jacques II d'Aragon (1291-1327)
Stéphane Péquignot
2009
Le spectre du jacobinisme
L'expérience constitutionnelle française et le premier libéralisme espagnol
Jean-Baptiste Busaall
2012
Imperator Hispaniae
Les idéologies impériales dans le royaume de León (ixe-xiie siècles)
Hélène Sirantoine
2013
Société minière et monde métis
Le centre-nord de la Nouvelle Espagne au xviiie siècle
Soizic Croguennec
2015