Remerciements
p. III-IV
Texte intégral
1Ce livre bien que bref ne peut, sans trahir les sentiments de l’auteur, faire l’économie d’une longue reconnaissance de dette.
2Cette enquête relève du programme dirigé par Fernando Bouza à l’Universidad Complutense, « Propaganda y representación. Lucha política, cultura de corte y aristocracia en el Siglo de Oro ibérico », soutenu par le Ministerio de Educación, Cultura y Deporte, MICINN HAR2008-03678/HIST. Le travail a bénéficié du soutien du Centro de história de além-mar de l’Universidade Nova de Lisboa et de l’Universidade dos Açores, où je suis accueilli en qualité de chercheur associé depuis 2009. À son directeur, João Paulo Costa, ma reconnaissance. La direction de la Casa de Velázquez m’a proposé de composer un livre sur la base de ma recherche sur les Açores. Ma gratitude va à son directeur, Jean-Pierre Étienvre.
3On ne se lasse pas, livre après livre, de rendre le même hommage, dans cet ordre, aux archivistes et aux collections de l’Archivo General de Simancas. Rien ne serait pareil sans la science et la chaleur d’Isabel Aguirre Landa, de Julia Teresa Rodríguez de Diego et de José Luis Rodríguez de Diego.
4De ce dossier, j’ai eu l’occasion de discuter avec des nombreux collègues et amis, José Javier Ruíz Ibáñez, Gaetano Sabatini, Pedro Cardim, le trio de la Red Columnaria, avec José Damião Rodrigues et Avelino Freitas de Meneses à l’Université des Açores. Ângela Barreto Xavier, Mafalda Soares da Cunha, João Fragoso, Maria Fernanda Bicalho, Giuseppe Marcocci, Manuel Herrero Sánchez, Igor Pérez Tostado, Antonio Almeida Mendes sont les complices de nos explorations au pays de l’Antigo Regime. Clifford Ando, Tamar Herzog, David Nirenberg ont eu la patience de m’entendre présenter le cas de Terceira. Marie-Karine Schaub, une fois encore, a lu et commenté.
5À l’École des hautes études en sciences sociales ce livre a fait l’objet de discussions avec mes collègues et amis : l’intelligence souriante de Jean Hébrard, Claudia Damasceno Fonseca, Natalia Muchnik, Silvia Sebastiani, Catarina Madeira Santos, Cécile Vidal, Katia Béguin, Antonella Romano est la compagne de ce travail.
6Le livre, tel qu’il est, est le fruit de la façon de faire de l’histoire que j’ai reçue de plusieurs maîtres. Ma dette à leur égard dépasse la rédaction de cet ouvrage : c’est avec Bernard Vincent, Jacques Revel et Robert Descimon, que j’ai appris mon métier.
7Cette recherche n’aurait pas été possible si trois bonnes fées ne s’étaient penchées, avec une constante bienveillance, sur les travaux que j’ai pu conduire sur les sociétés ibériques d’Ancien Régime : António Manuel Hespanha, Fernando Bouza et Stuart Schwartz.
8Les étudiants de l’EHESS, de l’Universidade Nova de Lisboa, de l’Universidad Pablo de Olavide, du Centro Franco-Argentino de Altos Estudios, ont souvent posé les meilleures questions lorsque nous analysions ensemble les documents sur lesquels se fonde cette étude.
9Quant à Anna Joukovskaïa, elle a donné forme à l’informe.
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