Annexe I. Lettre de Diego de Valera à Juan Hurtado de Mendoza
p. 105-112
Texte intégral
1Vous m’avez plusieurs fois demandé, très noble et très vertueux chevalier, quel fut le premier fondateur de la cité de Rome, persuadé que vous seriez informé auprès de moi. Je vous ai aussitôt répondu sur ce que j’en gardais en mémoire ; mais, comme les paroles s’envolent vite, vous m’avez demandé de le mettre par écrit, en réunissant tout ce qui est possible des histoires les plus authentiques.
2Seigneur, malgré mon ignorance, jointe aux fatigues mondaines et stériles et aux travaux domestiques, ce qui a pu retarder cette œuvre, j’ai le plus grand désir de me soumettre à votre ordre et, selon mon possible, je veux satisfaire un si louable désir. Vous m’avez demandé l’origine de Rome seulement, mais je veux y ajouter celle de Troie, une très antique cité, et pour deux raisons. La première est pour suivre la doctrine de Sénèque qui dit qu’il faut réfléchir avant de promettre, puis, après le serment, qu’il faut l’accomplir entièrement ; la seconde est qu’en cherchant sur Rome, qui a reçu ce nom, nous pouvons trouver qu’elle a été fondée par une lignée de Troyens, ou, pour parler plus véritablement, agrandie et fortifiée par eux. Aussi, il m’a paru convenable, en suivant l’ordre naturel, d’écrire d’abord sur Troie puis de faire mention de Rome. Enfin, comme je ne veux pas dans une petite œuvre allonger un tel exorde, je m’applique à ce que j’ai promis.
3Très vertueux chevalier, je rappelle d’abord qu’aux origines de la cité de Troie, selon le dixième livre des Étymologies et le premier livre de l’Histoire Teutonique, que rejoignent divers auteurs, on trouve deux frères nés en Grèce, sans doute de bas étage, et dont on ne connaît pas le père, ou alors nés d’un tel grand personnage mais de si étrange façon qu’on n’ose pas le dire. Ces frères furent très vaillants, vertueux et sages, tellement que les poètes voulurent voir en eux les fils de Jupiter, ce qui est la commune opinion de tous ceux qui en parlent. L’un d’eux s’appelait Dardanos et l’autre Jason. Selon ce qui se vérifie, il s’était produit que Jupiter s’était fâché contre son père Saturne et l’avait chassé du royaume de Crète car il avait donné l’ordre de tuer trois de ses frères, pensant que l’un de ses fils, un jour, le priverait de son royaume. Ce Jupiter avait été sauvé de la mort grâce à un certain subterfuge car on voulait pour lui le sort des autres frères ; mais, venu en âge d’agir et sachant le sort de ses frères, et comment il en avait réchappé, il chassa son père de son royaume par la force des armes.
4Il fut donc à son tour reçu pour roi de Crète ; on dit qu’il épousa alors sa sœur Junon, qu’il trouva dans le palais royal, une très jolie demoiselle. Mais ce Jupiter, qui aimait beaucoup les femmes, entre autres, se prit d’amour pour une grande dame appelée Citera, fille du roi Atalante et de la reine Énopia, et on dit qu’il en eut deux fils.
5Ceux-ci, vaillants comme on l’a dit, réunirent autour d’eux une grande force de diverses nations, des gens auxquels ils communiquèrent courage et volonté et qui furent de grands chefs. Dardanus, l’aîné, ayant pouvoir et vaillance, et appui de tous ses gens, soumit par les armes la province de Phrygie où il fonda la cité qu’il appela Dardania, de par son nom ; il en fut le premier roi. C’était au temps de Josué, le chef du peuple d’Israël, après le Déluge en 1777. Et Jason, son frère, conquit de même la Thrace et y fut le premier roi.
6Après la mort de Dardanus, lui succéda en Phrygie l’un de ses fils appelé Iriconius ; mais en ce temps-là, la ville de Dardania fut détruite une première fois par Neptune, roi de Spartania, qui voulait se venger de toutes sortes d’injures et d’attaques portées contre lui par Dardanus le père. Ce roi Iriconius échappa à la mort en fuyant par mer avec un de ses fils, nommé Ilion, puis revint dans sa terre et restaura la cité, la répara et la reconstruisit et la fit beaucoup plus noble que la première fois.
7On dit que ce roi Neptune était le fils de Saturne, frère de Jupiter, et qu’il avait été jeté à la mer sur ordre de son père. Après la mort d’Iriconius, c’est son fils Ilion qui fut roi et seigneur, et Ilion ennoblit beaucoup la cité et y construisit un grand alcázar, appelé comme lui Ilion.
8Après Ilion, lui succéda son fils, Midas, qui fut très riche et très souverain. Avec toutes les richesses qu’il avait accumulées, il agrandit encore la cité et la fortifia en grande partie. Mais il mourut sans héritier et, après lui, régna son frère Trous qui changea alors le nom de la cité et l’appela Troie, de son nom. Il finit de construire la fortification que son frère avait commencée, et il accomplit de très notables actes. On dit qu’il soutint une bataille contre Jupiter le roi de Crète, mais il y fut vaincu et son fils Ganymède y fut pris — comme on peut le lire dans le livre De raptu Ganimedis. En ce temps-là, le roi Nessus et d’autres l’avaient défié parce qu’il avait rompu sa foi prêtée lors d’un traité passé entre eux. Neptune se joignit à eux, avec de grandes forces, et ils vinrent ensemble contre Troie et la détruisirent une seconde fois, après un très dur combat ; ils y firent une entrée depuis la mer, où la muraille avait un défaut, si bien que la ville fut encore détruite. Seul le quartier d’Ilion demeura debout. « Là, périt Trous » (disait Valera).
9Après la mort de Trous, c’est son fils qui fut roi, Laomédon, encore très jeune enfant. Sur le conseil de l’un de ses frères bâtards, alors qu’Ilion était assiégée, il fut donné à sa sœur Anfiona, laquelle avait été libérée du dragon par Hercule ; or il aurait mieux valu sa perte car elle fut la cause de la dernière destruction de Troie, qui ne s’en releva jamais. Ce roi Laomédon réédifia magnifiquement sa cité et l’entoura alors complètement de murailles sur le côté de la mer, là où cela manquait — un mur si haut et si fort que ce que les auteurs disent de la cité semble incroyable. Cette cité, fortifiée de façon si exceptionnelle, ne demeura pas très longtemps dans le pouvoir de Laomédon. Car la Fortune est envieuse de grandes choses et elle ne consentit pas de faire durer une telle félicité. Elle ordonna que Jason et Hercule le Grand vinssent dans l’île de Colchos pour conquérir le bélier enchanté, et fissent relâche en Phrygie dans le port de Simeonte, y fussent mal reçus sur l’ordre du roi Laomédon et chassés honteusement de sa terre, à cause de la dette que Laomédon devait à Hercule pour la libération de sa sœur, craignant qu’Hercule ne la lui demandât. Hercule en fut très soulevé, indigné, si bien qu’il fit le vœu de revenir dans l’année pour ravager la terre et entrer dans la ville.
10Aussi, après le retour d’Hercule en Grèce et la victoire de la Toison rapportée par Jason, il convoqua une grande chevalerie de toute la Grèce, et fit une descente avec elle dans le port du Tenedon. Les Troyens le surent et aussitôt organisèrent leur résistance ; mais les Grecs combattirent si vigoureusement avec leur capitaine que les Troyens furent vaincus et les Grecs rentrèrent avec les fuyards dans la cité, la mirent à sac et tuèrent la plupart de toute sa chevalerie. Quelques-uns s’échappèrent ; ceux qui se réfugièrent dans Ilion, autour de Priam, fils de Laomédon, purent s’installer plus tard dans une province lointaine. Mais ce jour-là, dans la bataille, furent tués le roi Laomédon et ses quatre fils, et fut volée l’infante Anfiona, sa fille, par Talamon, dans le temple d’Apollon. Ce fut la troisième destruction de Troie mais pas la définitive.
11Car après la mort de Laomédon régna son fils Priam, qui réédifia la cité, avec recherche et magnificence, si bien que Leomarte dit que les murs eurent quatre-vingt-dix bras de hauteur et quinze de largeur, et qu’aux yeux des mortels cette cité paraissait inexpugnable pour toute force humaine. On dit encore — selon Henri le Sage — que ce mur demandait trois jours de marche pour en faire le tour. La cité avait six portes principales, et d’autres secondaires, et l’alcázar appelé Ilion était fort et riche à merveille. Les portes s’appelaient Dardania, en souvenir de Dardanos le premier roi de Troie, Troyana, pour Trous qui en commença la muraille, Antenorida, pour le comte Antenor qui tenait près d’elle sa résidence et son quartier, Iliaca, pour Ilion qui la construisit, et puis la porte de Crète car elle faisait face à ce pays ; et la sixième s’appelait Tenedon, car proche de ce port.
12Mais la Fortune ne laisse jamais les choses demeurer telles, et elle mit dans la volonté de Priam l’idée de retrouver sa sœur Anfiona, qui était dans le pouvoir des Grecs, car sans elle sa prospérité lui semblait négligeable. Aussi il résolut d’envoyer en Grèce le comte Antenor pour la demander. Les Grecs refusèrent, aussi le roi envoya Paris, le fils bien connu du roi Priam, avec quarante vaisseaux bien armés. Paris parvint dans l’île de Cythère, où il apprit que la reine Hélène et de nombreuses dames et demoiselles donnaient une grande fête dans le temple de Diane. C’est là que Paris vola Hélène avec toutes les dames et filles et gens et richesses qui se trouvaient dans le temps, et il revint à Troie avec allégresse, ne pensant pas qu’il apportait le feu qui allait faire flamber sa ville de Troie.
13Les Grecs furent indignés de ce vol, notamment Ménélas, le roi, le mari, et Agamemnon son frère, et les rois Castor et Pollux, les deux frères d’Hélène. On réunit un conseil et on décida de rassembler tous parents et amis de toute la Grèce, de l’Italie et aussi d’Afrique et d’Europe, pour venger un tel affront. On lit avec certitude chez Dites et Dares et chez Guido de Colonna que les Grecs contre Troie, derrière Agamemnon, Ménélas, Castor et Pollux, mirent à l’eau 1 250 navires très bien équipés de gens et d’armes et de tout ce qui est nécessaire à la guerre ; et dans cette flotte venaient de nombreux rois, princes, ducs, comtes, grands barons, pour faire la guerre à Troie. Du côté des Troyens, on dit qu’y vinrent quarante-trois rois, grands princes et seigneurs, rassemblés depuis la majeure partie de l’Asie. Selon les historiens les plus crédibles, on dit que s’assemblèrent 37 000 chevaliers très divers en armes et en coutumes, désireux d’y assister.
14Tous se réunirent derrière le roi Priam et ses nobles fils, et se comptèrent à 686 000 cavaliers et fantassins, venus pour la défense ; mais tout ce monde ne put empêcher la destruction de Troie qui était prédite. Ainsi, durèrent le siège et la défense dix ans et six mois et douze jours selon les lunes qu’ils observaient, et la ville fut envahie et détruite par les Grecs, grâce aux engins et aux roueries de Sinón et à la malheureuse machine du cheval. Ce fut un jeudi, le 13 juin, après le premier sommeil. Mais les très bons et valeureux chevaliers Anchise et son fils Énée et Ascagne, le fils de celui-ci, partirent de la cité après sa destruction, une fois morts le roi Priam, sa femme Hécube, et tous ses fils, et Pulicena sa fille, de la main de Pyrrhus, le fils d’Achille, et le feu mis à la cité. Ils partirent donc, et relâchèrent en Sicile, où il est attesté qu’Anchise mourut et fut enterré. Alors Énée et Ascagne passèrent en Afrique, touchant le port de Carthage la Grande, où régnait en ce temps la reine Élisa Dido. Certains historiens affirment que le dit Énée se maria avec elle. Mais après un certain temps de vie commune, il s’en sépara et alla en Italie où il épousa Latina, ancienne femme de Turnus le Toscan, fille du roi Latín, qui gouvernait toute cette terre et qui fut le père du roi Orbando.
15Après la mort du roi Latín, du roi Orbando et de Turnus son gendre, Énée demeura dans cette terre pour la diriger ; pendant sa vie, il peupla Naples, qu’on appela en ce temps-là Éneapol, ce qui veut dire la cité d’Énée. Après la mort d’Énée, lui succéda son fils Ascagne, qui épousa la fille de Turnus ; à la mort d’Ascagne, ce fut son frère Postumus qui régna, lui qui était né après la mort d’Énée. Après Postumus, régna son fils Latinus, après ce Latinus, Anteus, et après Anteus, Gaseus, Gobinus, et après lui régna Tibère, puis Agrippa, et puis Aventinus et enfin régna Émile.
16Cet Émile, par toutes sortes d’artifices, chassa du royaume son frère aîné qui aurait dû avoir le gouvernement et qui s’appelait Monicor ; tous deux étaient les fils de Picus et les petits-fils de Faunus. Ce Monicor eut une fille, Rea Elgia, qui, quoique moniale consacrée à la déesse Vesta, eut une liaison avec un jeune homme qui était du lignage d’Énée. En naquirent deux jumeaux, Romulus et Remus, et leur mère, selon la coutume de ce temps, fut enterrée vivante. D’autres disent qu’elle fut brûlée pour adultère. Les deux bébés furent jetés dans une forêt très épaisse, pour les faire mourir. Mais là, selon l’opinion de plusieurs historiens, ils furent pris et élevés par une louve. D’autres disent et écrivent qu’ils furent élevés par la femme d’un berger qui, en arpentant la forêt avec son bétail, les trouva et, ému de compassion, les emporta et les fit élever dans sa maison par sa femme, qui avait pour nom Loba ; mais celle-ci avait été quelque temps femme de mauvaise vie et certains disent qu’en vient le nom de Lupanar, qui signifie en latin la maison des mauvaises femmes.
17Les deux garçons, élevés par le mari de cette femme, un berger qui gardait les brebis de Monicor, le grand-père de ces enfants, atteignirent l’âge de la jeunesse, quatorze ans. D’autres bergers de la région leur dirent alors qu’ils étaient les petits-fils de Monicor et qu’ils étaient du lignage d’Énée. Ils grandissaient en âge et grandissait aussi leur force ; ils avaient la vertu et les qualités, et prouvaient tellement qu’ils descendaient de ce lignage que nombreux étaient ceux qui voulaient les servir. Ils étaient d’ailleurs fort aimables pour tous, et tous les gens se confiaient à eux. Lorsqu’ils virent qu’ils avaient assez de force pour livrer bataille à leur oncle Émile, ils la livrèrent sur le terrain, toutes bannières déployées. Dans cette bataille, Émile fut tué, si bien que les deux frères se rendirent facilement maîtres du gouvernement car on connaissait leur bonté et leur franchise, dont ils usaient avec tous. Ceci fait, ils replacèrent leur grand-père dans son gouvernement.
18Si bien que, après sa mort, ils furent eux-mêmes seigneurs et rois, et ils régnèrent ensemble à Rome tant qu’il n’y eut aucune jalousie entre eux. Mais il fallut commencer à élever des murs autour de la cité de Rome et, selon le dire de certains, c’est alors que Remus fut tué de la main d’un valet de Romulus, sur son ordre. D’autres disent qu’eux-mêmes avaient établi que quiconque chercherait à entrer dans la ville par-dessus ce mur, sauf en quelques endroits indiqués, devait être mis à mort. Et Remus revint une nuit de la chasse, trouva les portes fermées ou d’autres lieux qui étaient réservés, et sauta par-dessus le mur qui était très bas ; si bien que le lendemain son frère Romulus ordonna de le décapiter, puisqu’il avait rompu la loi établie.
19Romulus resta donc seul roi dans la cité et acheva de la fortifier ; il l’ennoblit grandement et lui donna son propre nom, Roma. Car auparavant la ville avait eu d’autres noms ; là où s’élève maintenant Rome, se trouvaient alors de vastes pâturages, des prés, des eaux médicinales et des vents tempérés, tellement que tous les gens d’Italie et de ses provinces y envoyaient leurs troupeaux. C’est ainsi que le lieu fut très peuplé et on l’appela Valencia, car c’était là que les troupeaux se réfugiaient pour guérir et soigner toutes leurs maladies. C’est dans ce lieu que se réfugia Saturne loin de son fils Jupiter qui, selon les dires, l’avait chassé du royaume car c’était un homme mauvais et cruel ; ce Saturne était discret et habile, et voyant les gens de la province grossiers et incultes, il leur montra comment semer le blé et l’orge, planter les vignes, et vivre avec une politique ; pour tout cela il fut choisi par tous pour roi et seigneur. Il étoffa la ville, en fit une cité et l’appela Saturna.
20Après lui, lui succéda au royaume son fils Pyrrhus, et après lui, régna Latinus le premier du nom, son fils, qui changea encore le nom de la vile en Latina. Après ce roi Latinus régna Orbando, et c’est alors qu’arriva Énée en Italie, comme on l’a dit. Avec Romulus devenu roi, qui comme on l’a dit avait tué son frère, la ville s’appela Rome, puis le second roi fut Numa Pompilius, puis le troisième Tulius Hostilius, le quatrième Ancus Marcus, et le cinquième Tarquinius Priscus, et le sixième Servius Tulius, et le septième et dernier Tarquin le Superbe, lequel perdit et le royaume et la vie à cause de l’affront que fit à Lucrèce, femme de Colatinus, son fils Sextus Tarquinius. Ces sept rois régnèrent après que Rome eut ce nom, et ils y régnèrent 240 ans.
21Rappelons que Saturne changea le nom de Valencia en Saturna, et y régnèrent alors quinze rois qui s’y succédèrent pendant 330 ans, selon la comptabilité d’Orose. Il y eut donc à Rome un total de vingt-deux rois, puis Rome élut des consuls qui gouvernèrent durant 570 ans. C’est ainsi que Rome eut quatre noms : Valencia, Saturna, Latina et Rome. Depuis le moment où Tarquin le Superbe perdit le royaume, jusqu’à ce que Jules César prenne le nom d’empereur, s’écoulèrent 477 ans. Depuis Jules César, le premier empereur au monde, jusqu’à ce que les Goths vinssent en Espagne, il y eut à Rome quarante-huit empereurs selon l’avis de certains, et selon d’autres, cinquante empereurs.
22Voici, très noble seigneur, ce que le plus brièvement mais avec le plus de certitude, j’ai pu rassembler. Je le soumets à la correction si je me trompe quelque part de ceux qui en savent plus et qui ont mieux et plus lu que moi ; je reste à votre service avec l’entière volonté d’accomplir ce que votre noblesse me demandera et voudra user de tout ce que je possède.
Prosistas castellanos del siglo xv. Tratados y Letras de Diego de Valera, éd. Mario Penna, Madrid, coll. « Biblioteca de Autores Españoles » (116), 1959, pp. 155-159.
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