Remerciements
p. 161-162
Texte intégral
1Au terme de ce travail, je souhaite exprimer ma profonde reconnaissance envers toutes les personnes et institutions qui l’ont encouragé et accompagné, depuis sa genèse jusqu’à sa publication. Conçu dans sa version initiale comme la première partie d’une thèse de doctorat, il a été rédigé à la bibliothèque du Centre d’Études Catalanes de l’université Paris-Sorbonne. Au personnel du Centre, et tout particulièrement à Marie-Claude Fenestre et Yvonne Villaret, qui m’ont beaucoup entourée à ce moment-là, je redis ici toute mon amitié. J’ai pu reprendre ce texte quelques années plus tard à la bibliothèque de la Casa de Velázquez, où j’ai retrouvé le même soutien de la part de tous les bibliothécaires que je remercie très chaleureusement.
2Je souhaite également exprimer ici ma reconnaissance à tous les auteurs et critiques dont la lecture a nourri ma réflexion marchienne. Ce travail, originairement conçu comme un travail universitaire, a dû être réécrit pour correspondre aux exigences de la collection qui l’accueille : il a été débarrassé d’un conséquent appareillage critique, dépouillé des « discussions » entre spécialistes qui l’avaient largement informé, pour être recentré sur ce qui en constitue finalement l’essence, à savoir, une lecture personnelle de l’œuvre poétique d’Ausiàs March, un essai sur sa poésie. On retrouvera néanmoins tous les auteurs que j’ai lus et qui m’ont inspirée dans la partie « Pour en savoir plus » (dans les « Notes et références »).
3 Ce travail n’existerait pas sans Marie-Claire Zimmermann. C’est à elle que je dois ma rencontre avec Ausiàs March. Elle a été mon professeur, puis ma directrice de thèse. J’ai eu la chance de faire à ses côtés mes premiers pas dans le métier d’enseignant-chercheur au Centre d’Études Catalanes et je lui dois un magistère qui m’accompagne chaque jour. Elle m’a fait l’amitié de relire ce manuscrit et de le préfacer. Je suis également très reconnaissante à Pierre-François Moreau d’avoir relu ce travail avec la rigueur et la générosité sans faille qui lui sont propres. Jean-Pierre Étienvre avait aussi, à l’époque des débuts de cette recherche, accepté d’être associé à la direction de ma thèse. Il m’a depuis fait l’honneur d’une amitié et d’un soutien constants et a œuvré pour que ce livre paraisse aux Éditions de la Casa de Velázquez. Je suis consciente du privilège qui a été le mien de faire mes premiers pas dans la recherche et l’université accompagnée des conseils et de la sollicitude de ces trois grands professeurs. Depuis, leur soutien et leur exemple ne m’ont jamais quittée. Qu’ils en soient ici très profondément remerciés.
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