Les matériaux des constructions romaines de quelques sites du nord de la Gaule et la transmission des savoirs en maçonnerie
Résumé
Dans le nord de la Gaule, les calcaires du Lutétien sont utilisés pour les parements des bâtiments d’époque romaine. Pierres de taille et moellons bien équarris ont été soigneusement conservés dans les musées et les réserves archéologiques à l’instar des sculptures, des fûts de colonnes et des chapiteaux. Diverses roches ont été utilisées : du gypse, des meulières, des grès, des tufs calcaires, de la craie, des silex et plusieurs calcaires du Bassin parisien. Ces roches représentent la plus grande partie de la construction et sont issues des terrains proches des chantiers. Le choix et l’association de ces matériaux dans les murs peuvent varier suivant les périodes de construction des bâtiments. Des exemples pris à Meaux (site de La Bauve), Châteaubleau (Seine-et-Marne), Paris, Genainville (Val-d’Oise), Le Vieil-Évreux (Eure) et Bavay (Nord) illustrent cette diversité. L’observation du comportement des roches utilisées dans ces murs antiques permet de connaître la résistance de ces matériaux à l’érosion. Les maçons des époques successives ont-ils profité de ces leçons, ou ont-ils refait leurs propres expériences, comme c’est le cas pour les constructions en béton du xxe siècle ?
Entrées d’index
Mots-clés : maçonnerie, moellon, mortier, plâtre, incompatibilité
Texte intégral
1Les constructions romaines de la Gaule sont observables sur de nombreux sites étudiés par les archéologues, et les musées conservent les plus belles pièces comme les sculptures, les marbres, etc. Les murs de maçonnerie en divers matériaux qui restent sur place ont perdu leur décor de marbre ou d’enduit, et on peut ainsi observer les pierres de taille, les moellons et les mortiers ainsi que les techniques utilisées. Aussi, par quelques exemples pris depuis l’Antiquités jusqu’à nos jours, il est possible de suivre l’évolution des techniques de maçonnerie, en regardant les moellons et les mortiers, sous les enduits et les placages qui les cachaient quand le bâtiment était habité.
Les murs de moellons de l’époque romaine
2En commençant par l’époque romaine, on ne peut qu’admirer la technique des maçons, qui a permis à de nombreux murs de parvenir jusqu’à nous. Plusieurs exemples peuvent alimenter la réflexion et montrer à quel point on a su utiliser les ressources locales : craies, calcaires divers, grès et meulières. La fabrication des mortiers était aussi remarquable, car la construction dépend de leur tenue dans le temps. Leur résistance à l’altération est telle qu’à certains endroits on peut encore observer la trace du fer qui a serré le mortier des joints.
3À Paris, aux thermes de Cluny, le petit appareil de calcaire lutétien alternant avec des lits de briques est une technique qui a été appliquée avec rigueur et qui a défié les siècles. La connaissance des ressources en divers calcaires du Lutétien1 et de leurs propriétés physiques a été reprise et poursuivie au Moyen Âge. La voûte en béton du frigidarium a perdu son décor mais a résisté à tous les avatars qu’elle a subis au cours des temps. La recette de ce béton paraît aujourd’hui extraordinaire ; c’était pourtant un savoir-faire répandu au début de notre ère.
4À Bavay (Nord), le forum semble construit avec la même technique, les moellons sont en divers matériaux : grès, pierre bleue2 (calcaire givétien), calcaires lutétiens (à milioles et à Ditrupa) et calcaires jurassiques de la Meuse (fig. 1). Ces deux dernières provenances sont éloignées d’environ deux cents kilomètres. À l’époque moderne, on n’utilisera plus que les pierres bleues et les grès des carrières locales. Les sources des pierres se sont réduites.
5À Autun, les moellons de granite, pour les portes, les grès divers (du Permien et du Trias) au temple de Janus, au théâtre ou dans les murs des remparts3, sont utilisés sans lits de briques. Le granite a été abandonné et les grès ont été exploités jusqu’au xxe siècle pour les monuments, les maisons et les restaurations. Les carrières4 qui ont fourni la pierre à la ville, du Moyen Âge au xixe siècle, étaient la continuité des carrières romaines. Dans la même région, à Cluny, les murs des remparts médiévaux et le mur ouest, à l’intérieur du grand transept de l’abbatiale, sont en petit appareil de belle qualité, dans la même lignée que les murs romains d’Autun. Cette construction du grand transept de Cluny a résisté depuis le xiie siècle sur une hauteur d’environ 30 mètres, ce qui est tout à fait remarquable. On peut en déduire que l’observation des techniques antiques sur les nombreux monuments romains de la région a permis aux maçons du Moyen Âge de continuer à travailler avec soin.
6Plus au sud, les murs du temple antique d’Eysses (Villeneuve-sur-Lot, Lot-et-Garonne) sont en moellons de grès et de calcaires locaux (fig. 2). Comme il n’y a pas d’autres ressources locales, les murs modernes (antérieurs au xxe siècle) sont de même composition dans les villages des environs.
7En région parisienne, les sites de Genainville (Val-d’Oise) ou de Senlis (Oise) sont au milieu d’un bassin carrier de calcaire lutétien, et on observe dans ces régions la continuation des murs de moellons aussi bien pour les maisons et les églises que les clôtures.
8Au Vieil-Évreux (Eure), site établi sur la craie, les murs sont plus complexes : calcaires lutétiens, craies et tuf calcaire voisinent, englobés dans un solide mortier. L’usage des tufs calcaires se poursuit au début du Moyen Âge et sera abandonné plus tard, peut-être à cause de l’épuisement des gisements.
9Dans la Brie, à Meaux, en ville ou dans le site romain de La Bauve, les murs sont édifiés en divers calcaires du Bartonien, avec des angles bien taillés en calcaire lutétien ; certaines bases de murs sont en moellons de meulière. À Châteaubleau (Seine-et-Marne), le calcaire de Brie et le calcaire de Provins ont fourni la majorité de la construction des édifices entre le iie et le ive siècle sous forme de gros blocs utilisés pour les soubassements, des dalles, des moellons et même des tesselles. Les calcaires lutétiens, de provenance plus lointaine (pays meldois et vallée de l’Oise), ont servi pour les colonnes, chapiteaux, sculptures et aussi pour le petit appareil des temples. Dans ces derniers, les moellons, faits de calcaire tendre lutétien, présentent des entailles pour accrocher les enduits ; ils proviennent probablement de la vallée de l’Oise. Les propriétés de ces calcaires des diverses carrières régionales sont bien connues dans tout ce monde romain de la vallée de la Seine5.
Les constructions du Moyen Âge : continuité et inventions
10Les maçonneries romaines étant encore en place dans des nombreux sites, la question de la survivance des savoir-faire au début du Moyen Âge semble difficile à évaluer. Cette analyse sera poursuivie par région et par type de matériau.
Les calcaires
11Les régions riches en carrières de calcaire ont continué à utiliser les mêmes sources pour les constructions médiévales, avec parfois de petites inventions pour l’appareillage décoratif. De rares exemples sont encore en place, comme à Jouarre (Seine-et-Marne), dans la crypte Saint-Paul de l’ancienne abbaye : un mur carolingien est en petit appareil hexagonal, de calcaire lutétien. Ce type d’appareil décoratif est encore visible sur le pignon de la façade de Notre-Dame-la-Grande de Poitiers (Vienne).
12Les meulières et les calcaires silicifiés ont parfois été mis en place en opus spicatum, comme sur plusieurs églises des environs de Septeuil, dans les Yvelines (fig. 3) ; mais on peut constater que cette façon de faire des xe et xie siècles a été oubliée au cours des âges pour les chantiers des agrandissements de ces églises.
Le gypse et le plâtre
13Le gypse saccharoïde a été utilisé pour des moellons depuis l’Antiquité en région parisienne, car il a été observé sur le site de La Bauve, à Meaux, dans une base de mur datée d’avant la conquête romaine. Ce matériau, réputé fragile, était le seul utilisé pour de nombreux monuments de Crète, de Syrie et de Perse. En Provence, autour de Mormoiron (Vaucluse), où les carrières de gypse ont été très actives, le gypse est utilisé en construction dans les maisons du village. Dans la région parisienne, le gypse est encore utilisé pour des moellons au début du Moyen Âge, dans les murs carolingiens de Saint-Pierre de Montmartre et à Saint-Martin-de-Champs (Paris)6, puis cet usage du gypse en construction a disparu, et il n’est plus employé que pour la fabrication du plâtre, aux multiples usages : enduits extérieurs et intérieurs, cloisons, etc.
L’utilisation des grès en construction
14Depuis le Néolithique, les grès sont recherchés pour les dolmens en région parisienne, puis pour les meules et les moellons. Dès les premiers siècles, les grès du Bassin parisien sont utilisés pour le petit appareil. On peut remarquer que les plus durs sont réservés pour les meules. En Bourgogne et dans le Massif central, les constructeurs choisissent plutôt des arkoses (comme à Autun, en Saône-et-Loire, ou au Puy-en-Velay, dans la Haute-Loire), qui permettent une taille plus précise que les grès durs de Fontainebleau. Mais certaines sculptures ont été réalisées en grès, par exemple un dieu à Javols (Lozère), des stèles à Strasbourg (Bas-Rhin), un chapiteau avec sa colonne à Andilly-en-Bassigny (Haute-Marne). En région parisienne, il faut attendre le xve siècle pour que les tailleurs de pierre améliorent leur technique, comme le montre la tour de Montlhéry (Essonne), où les premiers niveaux sont beaucoup moins bien taillés que la partie supérieure, plus récente. Un autre exemple est l’église de Dourdan (Essonne), dont la partie du xve siècle est entièrement en grès bien appareillé, alors que le château possède des murs de moellons plus frustes. Ces exemples sur les grès montrent que les savoirs plus avancés dans certaines régions, comme l’Alsace, ne parviennent que tardivement en Île-de-France. Les propriétés des grès sont peu à peu mieux comprises et utilisées, dans les soubassements comme barrière contre l’humidité, et pour les ponts (pont de Moret-sur-Loing, dans la Seine-et-Marne, par exemple). C’est au château de Fontainebleau (Seine-et-Marne), au xviie siècle, que le grès sera le mieux mis en valeur, avec des colonnes monolithes pour la cour ovale et des sculptures pour les entourages de portes.
Les constructions antérieures à 1945
15Au cours des Temps modernes, puis au xixe siècle et au début du xxe siècle, on a poursuivi l’utilisation des matériaux locaux ou traditionnels : pierres, briques, plâtre, avec des mortiers à la chaux aérienne ou légèrement hydraulique. Les ressources locales permettent une continuation des techniques de construction, mais les pierres de provenance plus lointaine sont abandonnées. Les savoir-faire sont-ils transmis par tradition ou par nécessité ? Les exemples dans les bâtiments qui n’ont pas été détruits suffisent-ils à transmettre le savoir-faire ? L’invention du ciment hydraulique va complètement perturber les techniques et surtout les apprentissages. Pour les grands ouvrages, ponts, barrages, ports, phares, le ciment hydraulique issu d’un mélange de calcaire et argile, chauffé au-dessus de 1 300 degrés, révolutionne la construction depuis le milieu du xixe siècle, et le béton apparaît pour les grands bâtiments à partir de 1900 à Paris : garage Perret, théâtre des Champs-Élysées.
16Jusqu’en 1900, les architectes ont une formation traditionnelle, comme on peut le constater aux Grand et Petit Palais, édifiés pour l’exposition universelle de 1900. Ils ont une parfaite connaissance des qualités des pierres, ce qui leur est enseigné en de nombreux cours à l’école d’architecture. Leurs connaissances s’étendent aux marbres pour les décors, aux matériaux de couverture (tuiles, ardoises, zinc, plomb), à la ferronnerie (rampes, balcons) et à la charpente ; enfin, aussi bien pour le gros œuvre que pour le second œuvre, la formation est complète. Ceux qui choisissent le béton, comme les frères Perret, le font avec grand soin. Ils surveillent la fabrication des mélanges avec des granulats bien sélectionnés, et leurs œuvres sont conservées et admirées.
Les constructions du xxe siècle
17Pour la construction courante après 1945, la pierre est abandonnée au profit du béton et des parpaings de ciment. Dès cette période, les architectes doivent se fier aux compétences des entreprises et des bureaux d’études, ils n’ont plus besoin d’enseignement sur les matériaux. Avec le béton, à la fin du xxe siècle, la pénurie de granulat et de sable se fait sentir. La ponction de granulat dans les rivières étant la cause de l’écroulement des ponts, on doit chercher une solution en concassant des roches dures : granites et calcaires durs. Les carrières sont exploitées à l’explosif, la masse est fissurée et les granulats n’ont pas la qualité des graviers de rivière, si bien que la qualité et la durabilité des bétons en sont affectées. La conséquence de ce changement de mode de construction est aussi la pénurie de sables, ce qui entraîne la destruction des plages, des côtes et des paysages.
18Issues de cette évolution, des normes utilisées pour les constructions contemporaines vont s’appliquer à des bâtiments anciens. Il a fallu argumenter pendant des années, au ministère de la Culture, pour que les DTU (documents techniques unifiés) ne soient applicables qu’aux bâtiments construits après 1945 – sinon les quartiers anciens étaient voués à la ruine progressive. Le problème réside dans la formation des maçons, à qui les normes modernes sont enseignées et qui ont perdu le savoir-faire pour le bâti ancien. Après avoir dressé un court inventaire des savoirs en maçonnerie, après l’abandon de la construction traditionnelle, il est possible de dresser une liste non exhaustive de la perte des savoirs.
La perte des savoirs en maçonnerie
19Les mortiers à base de chaux aérienne ou hydraulique pour les joints et les enduits ont été abandonnés peu à peu au cours du xxe siècle, car le ciment à prise rapide permet de travailler vite, par tous les temps, sans se préoccuper de la pluie ni de la chaleur. Devant les dégâts causés aux pierres par les joints en mortier à base de ciment hydraulique, certains artisans ont pris conscience de la situation et ont recherché une solution adaptée aux maisons anciennes. Les fabricants ont mis sur le marché des mortiers et enduits de mélanges « tout prêts ». Ces recettes ont parfois produit des surprises au bout de quelques années, comme par exemple un enduit contenant des éléments qui favorisent des points de rouille engendrant des « dégoulinures » rouge sombre sur le mur blanc, après quelques années d’exposition (fig. 4).
Les incompatibilités entre matériaux
20Une des conséquences les plus graves de l’oubli des savoir-faire est la méconnaissance des incompatibilités entre matériaux. La première, évoquée plus haut, est l’utilisation des joints en mortier à base de ciment sur les anciens bâtiments en pierre de taille ou en moellons. Une autre incompatibilité est celle qui existe entre plâtre et ciment : la superposition des deux matériaux provoque de petites explosions, il se forme des cratères dans les enduits. Un troisième exemple est l’incompatibilité fer/plâtre, connue de chacun il y a moins d’un siècle. Le plâtre fait rouiller le fer, et aucun scellement ne doit être fait au plâtre.
21La liste est incomplète et malgré le grand nombre d’ouvrages écrits et de cours de maçonnerie publiés au cours du xixe siècle, les recettes et les tours de main des maçons ne peuvent être transmis que de personne à personne.
Le plâtre des façades
22Entretenir et restaurer les enduits au plâtre de Paris, des façades des immeubles dans la capitale et en Île-de-France, doit être confié à quelques rares entreprises que la plupart des propriétaires ignorent. Les savoir-faire ne sont plus enseignés, mais ces techniques sont encore connues par des passionnés qui savent accomplir ces travaux et transmettent leurs savoirs. Mais de nombreux immeubles ont perdu leurs belles façades avec les décors, le plâtre a été remplacé par des enduits imperméables qui enferment l’humidité à l’intérieur du bâtiment.
Les toitures en laves de Bourgogne
23Les toitures en laves de Bourgogne représentent un cas particulier : une grande partie des maisons et églises des villages de l’Yonne, de la Côte-d’Or et de la Saône-et-Loire étaient couvertes de dalles calcaires appelées « laves » (fig. 5). La technique de pose a été abandonnée au cours du xxe siècle et les laves furent remplacées peu à peu par des tuiles ou de la tôle ondulée. En 1980, il ne restait qu’un « lavier » à Clessé, qui travaillait dans le Mâconnais et qui a réussi à former de jeunes couvreurs, lesquels ont acquis le savoir-faire. Les toits en laves de Bourgogne peuvent de nouveau être entretenus ou refaits ; mais ces toitures, qui étaient celles des maisons pauvres, sont maintenant plutôt celles des privilégiés.
24À toutes les époques, on peut constater des abandons de techniques anciennes ; par exemple, certains calcaires comme le tuf sont oubliés au cours du Moyen Âge. Mais la grande césure se situe autour de 1950, au moment de l’oubli de la fabrication et de l’utilisation des mortiers de chaux. La construction courante se faisant en parpaings de ciment ou en béton, l’enseignement des maçonneries en pierre est abandonné.
25Malgré tous ces exemples négatifs, il reste quelques espoirs de reprise des techniques anciennes pour les restaurations du patrimoine bâti ancien, mais ces espoirs reposent sur de bonnes volontés, sur des entreprises spécialisées, rares et souvent plus chères, réservées aux secteurs sauvegardés qui peuvent obtenir des subventions pour les travaux d’entretien.
Bibliographie
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Blanc A., 2014, « Augustodunum, Autun : du granite au béton », dans Lorenz J., Blary F., Gély J.-P. (dir.), Construire la ville : histoire urbaine de la pierre à bâtir, Paris, Éditions du CTHS (CTHS sciences, 14), p. 209-219.
Blanc A., Blanc P., Gély J.-P., 2016, « Les pierres dans la construction monumentale gallo-romaine », dans À la romaine ! Résidence privée, construction publique en Gaule du Nord, cat. exp. (Guiry-en-Vexin, Musée archéologique du Val-d’Oise, 2016), Roissy-en-France, Archéa, p. 136-139.
Gély J.-P., Viré M., Busson D., Robin S., 2008, « L’approvisionnement en pierre de Lutèce », dans Blary F., Gély J.-P., Lorenz J. (dir.), Pierres du patrimoine européen : économie de la pierre de l’Antiquité à la fin des Temps modernes, Paris, Éditions du CTHS / Château-Thierry, Patrimoine vivant, p. 256-266.
Groessens E., 2016, « La ou les pierres bleues ? La géologie du calcaire noir », dans S. Cormier et B. Beirnaert-Mary (dir.), La pierre bleue de l’Avesnois entre paysage et architecture : les collections du forum antique de Bavay, Milan, Silvana, p. 14-20.
Notes de bas de page
Auteurs
Chercheur associé au Laboratoire de médiévistique occidentale de Paris (LAMOP, université Paris I – Panthéon-Sorbonne, UMR 8589 du CNRS), membre de l’Association des géologues du bassin de Paris
Chercheur bénévole à Sorbonne université, membre de l’Association des géologues du bassin de Paris
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Signes et communication dans les civilisations de la parole
Olivier Buchsenschutz, Christian Jeunesse, Claude Mordant et al. (dir.)
2016