Introduction
p. 15-22
Texte intégral
Situation géographique
1L’antique ville de Xanthos, au pied de laquelle s’est installé le village moderne de K ń ḱ, dépend aujourd’hui de la province turque de Mugla. Située sur la rive gauche de son fleuve éponyme, le Xanthe (aujourd’hui Esen Çay), Xanthos est distante de la mer de seulement quelques kilomètres. Le fleuve a creusé sa vallée entre les massifs du Kragos, à l’ouest, et du Masikytos, à l’est. Il borde la ville, construite sur des hauteurs rocheuses, à plusieurs dizaines de mètres en contrebas, à l’ouest, avant de déboucher dans la grande plaine alluviale qui sépare Xanthos de la côte méditerranéenne.
2La vallée du Xanthe est une région aujourd’hui florissante, car elle dispose d’un bon terroir, de températures clémentes en hiver et d’abondantes ressources en eau. Il en était sans doute de même dans l’Antiquité et ce sont ces conditions de vie favorables et les possibilités défensives offertes par le terrain qui ont probablement présidé à la première installation attestée, sur le plateau conventionnellement nommé “acropole lycienne”. Ce plateau, qui prend grossièrement la forme d’un rectangle, domine, à l’ouest et d’une hauteur approchant les 80 m, le fleuve Xanthe. Le côté est du plateau est bordé par un petit vallon. Dans ce secteur de la ville, on trouve des édifices de toutes les époques. Les plus anciens se trouvaient sur l’acropole lycienne (édifices F, G, H, “résidences”, temple D, “temple aux trois cellae”...). Des tombes datables de l’époque classique s’élèvent hors l’acropole en bordure d’une place à portiques d’époque romaine (“agora romaine”). Entre l’acropole lycienne et cette place se trouvait un creux naturel du terrain qui a été utilisé, à l’époque hellénistique, pour la construction d’un théâtre.
3L’acropole lycienne constitue l’amortissement sud-ouest d’une colline qui la domine au nord et que nous nommerons “acropole haute”. Cette colline, qui culmine à 148 m, présente, à l’ouest, des pentes escarpées, qui en rendent l’accès très difficile. Au nord, ses possibilités défensives naturelles sont moindres, mais la vue commande toute la vallée et aucun mouvement menaçant la ville ne pouvait passer inaperçu. L’acropole haute, dont la limite orientale est constituée par une petite dépression, descendait en pente douce jusqu’à un petit précipice qui domine la plaine fluviale, au sud, et le vallon qui sépare ce point de l’acropole lycienne, à l’ouest. A l’exception des monuments funéraires de la nécropole orientale, datables d’entre la fin de l’époque archaïque et la fin de l’époque classique, les édifices dégagés ou en cours de dégagement de cette partie de la ville sont tous d’époque romaine ou d’époque byzantine. C’est dans ce secteur que se trouve le centre de la cité au Bas-Empire : on voit alors à Xanthos deux grandes places à portiques (agora inférieure, agora supérieure) dont l’une possède une basilique civile sur le côté est (complexe agora supérieure-basilique), une rue à colonnades qui longe ce complexe sur le côté nord et qui relie cette zone à l’agora romaine (décumanus), un dipylon à l’extrémité est de la rue à colonnades, un nymphée qui domine la place dallée où se rejoignent le décumanus et le cardo.
4A l’époque byzantine, la plupart de ces monuments seront démantelés et leurs dépouilles réutilisées dans la construction de la grande cathédrale, en bordure est du cardo, et d’une autre grande église, sur l’agora inférieure.
Historique des recherches
5Les ruines de Xanthos n’ont été découvertes qu’en 1838, alors que la Lycie avait été explorée dès le xviiie siècle par divers voyageurs. Une expédition britannique, dirigée par Ch. Fellows, entra pour la première fois dans la ville en avril 1838. Cette première visite fut suivie de trois autres en 1840, 1842 et 1843, au cours desquelles les reliefs du monument des Néréides, les sarcophages de Payava et de Merehi, entre autres, furent transportés à Londres. Entre 1881 et 1908, la ville fut l’objet d’une exploration intensive menée par les Autrichiens O. Benndorf et G. Niemann1 et par E. Kalinka et E. Hula, qui aboutit notamment à la publication des Tituli Asiae Minoris I et II.
6A partir de 1950, une équipe française, dirigée par P. Demargne et P. Devambez, puis par P. Demargne et H. Metzger entreprit l’exploration de la ville. Les fouilles systématiques se sont poursuivies jusque dans les années soixante, avec des interruptions. Ces premières fouilles, qui concernaient l’acropole lycienne, les édifices funéraires classiques et le théâtre, avaient laissé de côté le secteur est de la ville, la priorité ayant été donnée aux régions présumées les plus anciennement occupées du site2. A partir de 1962, sous les directions successives de H. Metzger puis de Ch. Le Roy, l’effort de fouille se déplaça vers le Létôon, sur l’autre rive du Xanthe. Toutefois, pendant cette période, une activité limitée fut maintenue sur le site de Xanthos par J.-P. Sodini, qui effectua la fouille de la cathédrale.
7Depuis 1996, des activités archéologiques intensives ont repris à Xanthos, sous la direction de J. des Courtils, et les campagnes de fouilles menées depuis 1998, précisément dans le secteur inexploré de la ville, ont permis de découvrir tout un aménagement urbain datable de l’époque romaine, dont on avait toujours su qu’il existait sans pour autant en mesurer l’ampleur. Les récents nettoyages effectués sur le site permettent désormais de mieux comprendre l’organisation de la ville qui n’a cessé de se développer depuis l’époque classique et a probablement atteint son extension maximale au Bas-Empire.
Données historiques et bilan archéologique
8Xanthos est déjà mentionnée, sous le nom de “Anawarna” que transcrivirent les Hittites à partir du nom lycien d’“Arnna”, dans l’inscription de Yalburt3 qui relate l’expédition du roi hittite Tudhalya IV dans la vallée du Xanthe. Il est vraisemblable que le pays “Lukka” dont parlent certains documents hittites correspond à la Lycie4. Mais l’origine des Lyciens reste encore aujourd’hui obscure. La Lycie et les Lyciens apparaissent à plusieurs reprises dans l’Iliade sans que le nom de Xanthos soit cité. Hérodote5 prête aux Lyciens une origine crétoise, ce qui est en accord avec les textes homériques qui montrent l’armée lycienne sous la conduite du héros crétois Sarpédon6. Les études menées sur la langue lycienne poussent plutôt à penser que les Lyciens sont une population d’origine anatolienne7.
9Xanthos apparaît en tant que telle après la conquête perse de 546 a.C. La ville est à cette époque incorporée avec les autres villes lyciennes dans la première satrapie perse8 et, à la bataille de Salamine, la Lycie fait partie de la flotte perse en fournissant cinquante navires9. La grande inscription lycienne gravée sur le pilier inscrit de Xanthos10 nous donne des renseignements sur la dynastie qui règne sur la ville à la fin du ve siècle a.C., mais aussi sur les rapports difficiles qui existent à cette époque entre la Lycie et Athènes, alors qu’on sait par ailleurs que la Lycie faisait partie de la ligue de Délos vers 470-44011. A cette époque, dans les textes, la ville de Xanthos est représentative de toute la Lycie et y joue le rôle de capitale.
10Le ive siècle a.C. voit l’émergence d’une nouvelle dynastie en Lycie orientale et Xanthos perd dès lors son rôle prédominant au profit de la ville de Limyra. Xanthos est conquise par Alexandre le Grand, sans opposer de résistance, au cours de l’hiver 334-33312. A la mort d’Alexandre, la Lycie est contrôlée d’abord par Antigone, puis par Ptolémée et enfin, en 197, par Antiochos le Grand qui dédie la ville de Xanthos à la triade apollinienne13. Xanthos et les autres cités lyciennes, à l’exception de Telmessos, passent ensuite pour vingt ans sous contrôle rhodien. A la suite d’une ambassade de notables xanthiens à Rome, la Lycie redevient indépendante en 16814. A partir de cette date, vingt-trois cités lyciennes indépendantes s’organisent en une confédération au sein de laquelle les six cités les plus importantes détiennent trois voix. Quatre de ces villes, Xanthos, Patara, Pinara et Tlos se trouvent dans la vallée du Xanthe. Le Létôon de Xanthos joue le rôle de sanctuaire fédéral.
11En 42 a.C., Xanthos est détruite par Brutus et Antoine doit pousser les Xanthiens à reconstruire leur cité15. Enfin, en 43 p.C., sous Claude, la Lycie est annexée à Rome sous prétexte de conflits locaux, puis, sous Vespasien, elle est réunie à la Pamphylie pour former la grande province de Lycie-Pamphylie avec pour capitale Attaleia.
12Xanthos apparaît encore dans les textes à l’époque protobyzantine comme appartenant au diocèse d’Asie et à la province de Lycie et comme siège d’un évêché dépendant de Myra16.
13Le bilan archéologique des fouilles de Xanthos est aujourd’hui très contrasté. L’acropole lycienne a été fouillée de manière exhaustive : on sait que les traces les plus anciennes d’installation, constituées par des céramiques, datent de la fin du viie siècle a.C.17 et que l’acropole, ceinte d’un rempart à l’époque classique, était le siège de la résidence du dynaste qui régnait sur la ville. Les édifices à vocation cultuelle qui s’élevaient à l’intérieur de l’enceinte et les édifices funéraires que l’on voit encore à proximité de l’agora romaine, mais aussi dans la nécropole orientale, sont étudiés et publiés.
14Les édifices romains sont en revanche encore en cours d’étude et, pour certains, en cours de fouille. La ville romaine elle-même nous échappe complètement, oblitérée à la fois par la grandeur et le prestige des monuments classiques encore in situ et par les nombreuses constructions byzantines qui règnent un peu partout sur le site. La vision que nous pouvons avoir aujourd’hui de Xanthos est donc extrêmement déformée et, peut-être, d’autant plus que les vestiges les mieux connus datent d’une époque réputée glorieuse pour la ville, alors que les grands monuments romains encore en partie inexplorés sont les vestiges d’une cité dont on considère, en général, qu’elle est en constant déclin depuis l’époque hellénistique.
15L’histoire du sanctuaire proche du Létôon est indissociable de celle de Xanthos. Malheureusement, tous les grands édifices d’époque hellénistique ne sont pas encore étudiés, non plus que le nymphée d’époque hadrianique. Les portiques du sanctuaire ont fait récemment l’objet d’une présentation synthétique18. Le théâtre n’est pas complètement fouillé, mais les premiers résultats de son exploration viennent d’être publiés19.
16Les fouilles de Xanthos ont commencé il y a plus de cinquante ans, mais la ville reste encore mystérieuse, à l’image de la langue lycienne qui n’est pas encore complètement déchiffrée.
Sources documentaires
17Peu d’auteurs antiques ont parlé de Xanthos et, quand cela fut le cas, ils n’ont pas pris la peine de décrire la ville comme aurait pu le faire Pausanias. Les textes historiques pouvant être utiles dans le cadre de ce travail sont donc rares : on sait grâce à Hérodote que, au moment de la conquête perse, les Xanthiens ont incendié la ville20. Une catastrophe de même type est rapportée par Appien21 dans son récit de la prise de Xanthos par Brutus : deux monuments que l'on n'a pas encore découverts sont mentionnés dans le texte : une agora et un Sarpédonéion. Appien indique également qu'Antoine a poussé, en 41 a.C., les Xanthiens à reconstruire leur ville dévastée22. Après cela, il faut attendre l’époque byzantine pour retrouver le nom de la ville dans les listes d’évêques suffragants23.
18Si l'on se tourne maintenant vers l'épigraphie, on constate que les inscriptions utilisables pour notre propos sont peu nombreuses. Un “naos” et un “péribole” pour César sont attestés par une inscription24. Le seul édifice xanthien daté par une inscription est le petit arc d'ordre dorique élevé à l'arrière de la porte sud de la ville sous Sextus Marcius Priscus25, légat à l'époque de Vespasien. On sait qu'un bouleuterion a été édifié à proximité de l'agora, sous Domitien, entre 82 et 8526, mais on n'en a encore retrouvé aucun vestige. On sait aussi que le riche Opramoas de Rhodiapolis27 a notamment financé des travaux dans le théâtre, travaux sans doute rendus nécessaires par les dégâts occasionnés à l'édifice par le tremblement de terre de 145, mais cela ne suffit pas pour dater l'édifice. L’agora, qui n’est pas encore localisée de façon sûre, a également fait l’objet d’une donation du même personnage. Nous possédons enfin deux inscriptions mentionnant des bains28 et un gymnase29. Nous ne connaissons pas, à ce jour, de témoignage épigraphique concernant les autres monuments ou ensembles monumentaux de Xanthos.
Objectifs
19Le premier objectif de ce travail est d’établir un état des connaissances sur le site de Xanthos à l’époque impériale, afin de situer plus précisément la ville dans l’architecture et l’urbanisme de sa région et de son temps. Il s’agira en outre de montrer que l’étude de l’ornementation des édifices d’une ville constitue un moyen efficace de parvenir à ce résultat.
20Ainsi, l’étude des formes architecturales permettra de déterminer l’existence de constantes dans les techniques de construction, ou dans la typologie des édifices et de juger si elles sont imputables à la tradition ou à des influences extérieures. Dans cette perspective, la question de l’existence d’ateliers locaux, ou celle du recours à des ateliers extérieurs sera également envisagée. En effet, en dehors des études de monuments qui concernent, pour la plupart, des édifices prestigieux sis dans des villes tout aussi prestigieuses (Éphèse, Pergame…), les études ou monographies consacrées à l’architecture monumentale des cités d’Asie Mineure à l’époque impériale sont encore rares. Dans ce contexte, l’ouvrage de L. Vandeput30 consacré à l’étude de l’ornementation des édifices de Sagalassos, auquel je ferai constamment référence dans ce livre, constitue une contribution majeure à la connaissance de la Pisidie à l’époque impériale et complète les publications dont on fait l’objet Cremna31 et Antioche32, deux colonies pisidiennes. En revanche, les sites lyciens, encore largement inexploités, sont très mal connus pour cette période. Cet ouvrage a pour but d’apporter une pierre à l’édifice en proposant aux chercheurs des données inédites susceptibles de fournir de nouvelles possibilités de comparaisons.
21La première partie de ce livre présente les monuments d’époque impériale de Xanthos et les éléments architecturaux que l’on peut leur attribuer. L’étude des blocs d’architecture errants ou remployés sur le site fait l’objet de la seconde partie. Les blocs y sont classés par fonction et par séries. Ces données fournissent la base des troisième et quatrième parties consacrées aux techniques et formes de construction et aux formules et motifs décoratifs employés dans l’architecture de Xanthos. Il sera possible, à la suite de cette étude, de mettre en évidence les spécificités de l’ornementation xanthienne et de suivre son évolution pendant la période définie.
Méthode
22L’inventaire des blocs d’architecture errants ou remployés sur le site, rationalisé par l’utilisation d’une base de données informatique, a été l’outil indispensable à ce travail. Le site a en effet été occupé de façon quasi continue au moins jusqu'au xixe siècle, ce qui constitue un premier obstacle à son étude. La ville a été d’autre part considérablement bouleversée au cours des siècles et beaucoup de ses monuments démantelés pour être remployés dans les remparts ou dans des édifices tardifs. Curieusement, d'autres édifices, qui se sont effondrés à une date inconnue, semblent avoir été abandonnés en l'état. On est frappé enfin par l'abondance des éléments architecturaux qui gisent un peu partout sur le site et qu'il semble impossible de restituer à des monuments précis, faute de connaître ceux-ci. Un inventaire était donc nécessaire pour rassembler ces vestiges épars. La base de données ainsi obtenue regroupe des blocs non décorés, des blocs porteurs de décors et exclut les reliefs. La répartition des blocs en séries se fait selon plusieurs critères : matériaux, dimensions, profils, ornementation. Chacun de ces critères est pris en compte pour la recherche d’une datation, les indices les plus importants étant en général fournis par l’analyse des décors.
23L’étude de l’ornementation d’un monument est souvent le seul moyen de l’attribuer à une époque précise. La méthode a évidemment ses limites intrinsèques33 et on ne perdra pas de vue que, outre le fait que nous ne raisonnons que sur ce que nous voyons, Xanthos n’est à l’époque romaine qu’une ville de province, qui ne peut pas rivaliser avec les grands centres d’Asie Mineure et qui suit sans doute les modes avec un certain retard. On doit aussi se souvenir que des formules différentes apparaissent à la même époque et, parfois, sur le même monument.
24Les motifs décoratifs seront étudiés à l’intérieur d’une même série de blocs, puis comparés à ceux qui ornent les édifices datés d’autres villes d’Asie Mineure. On se rendra compte ainsi de l’évolution des motifs décoratifs utilisés à Xanthos et du degré de dépendance des artisans locaux aux modes du moment. Les formes et décors utilisés dans l’architecture monumentale de la ville seront analysés afin de déterminer les éventuelles spécificités xanthiennes en la matière, mais aussi afin de préciser le répertoire décoratif des artisans.
25Les recherches menées sur l’architecture monumentale de Xanthos vont naturellement de pair avec l’étude des programmes de construction qu’a connus la cité, car les monuments antiques, s’ils existent parfois seulement pour eux-mêmes, comme c’est en général le cas des grands édifices funéraires, s’insèrent le plus souvent dans des ensembles. Non seulement ils reflètent alors la mode d’une époque, mais ils traduisent aussi la volonté affichée d’une ville de donner une certaine image d’elle-même. La typologie des édifices et la détermination des programmes de construction ont permis de déterminer l’évolution de la physionomie de la ville à l’intérieur de l’époque romaine. Dans la mesure du possible, j’ai d’abord comparé la situation de Xanthos à celle des autres villes de la vallée du Xanthe et j’ai essayé ensuite de trouver des parallèles satisfaisants dans les régions proches, de façon à replacer la ville dans le contexte plus général de l’évolution architecturale et urbanistique des villes du sud-ouest de l’Asie Mineure à l’époque romaine.
26En raison de la maigreur des données historiques et épigraphiques et du fait que la majorité des constructions en place n'a pas fait l'objet de fouilles, je ne peux cependant présenter ici qu'un travail préparatoire, susceptible d'être rapidement enrichi par de nouvelles découvertes. Ce travail apportera cependant de nouvelles informations sur l’évolution d’une ville dont l’existence ne se limite pas à l’époque classique et pourra, je l’espère, être utilisé dans le cadre de toute étude de synthèse concernant la vie des cités dans cette région de l’Asie Mineure.
Notes de bas de page
1 Benndorf & Niemann 1884.
2 FdX, I, 23-26.
3 Poetto 1993.
4 des Courtils 2001, 123-133.
5 Hdt. 1.173.
6 Hom., Il., 2.675.
7 Ibid., n. 4.
8 Hdt. 3.90.
9 Hdt. 7.92-98.
10 TAM, I, 44
11 Keen 1998, 97-111 et 118-135 (avec bibliographie antérieure).
12 TAM, I, 98 ; Arr., An., 1.24.4 ; Plut., Alex., 17.
13 TAM, II, 266.
14 Pol. 26.7.
15 App., BC, 5.7.
16 Darrouzès 1981, 263.
17 FdX I, passim.
18 Davesne 2000, 615-631.
19 Badie et al. 2004, 145-186.
20 Hdt. 1.176.
21 BC, 4.78.80.
22 BC, 5.7.
23 Darrouzès 1981, 263.
24 IGR, III, 482 ; OGIS, 555 ; Hänlein-Schäfer 1985, 197.
25 TAM, II, 270.
26 Robert 1951, 254.
27 TAM, II, 905.
28 TAM, II, 361.
29 TAM, II, 496.
30 Vandeput 1997.
31 Mitchell 1995.
32 Mitchell & Waelkens 1998.
33 Lorsque plusieurs ouvriers travaillent sur le même édifice, il y a forcément des différences de “main” qui ne traduisent évidemment pas des écarts chronologiques. La position des motifs décoratifs dans l’édifice est à considérer avec attention : il arrive en effet fréquemment que les éléments décoratifs les moins visibles soient traités avec moins de soin que les autres. Vandeput 1995, 129-132.
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Architecture romaine d’Asie Mineure
Les monuments de Xanthos et leur ornementation
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