1Comme tout événement scientifique, une publication est le résultat d’un travail personnel qui n’aurait pu voir le jour sans une série de rencontres. Ce livre en est l’illustration. C’est pourquoi, je tiens à exprimer ici ma reconnaissance à toutes les personnes qui, d’une manière ou d’une autre, m’ont aidée dans sa réalisation.

2Il s’agit de la version revue et mise à jour du mémoire inédit de mon habilitation à diriger des recherches, soutenue à l’Université Bordeaux Montaigne, le 22 juin 2012. Je veux tout d’abord remercier Jean-Michel Roddaz qui, comme dans le passé, m’a fait confiance et a bien voulu parrainer cette habilitation. C’est également le moment de lui exprimer le bonheur que j’ai ressenti à travailler à ses côtés toutes ces années, protégée par sa bienveillance et poussée par ses conseils à l’intérieur d’une équipe de recherche soudée. J’associe à ces remerciements l’ensemble des autres membres du jury, Mesdames Demougin, Donati et Rodà, ainsi que Messieurs Bost et Martín-Bueno dont les remarques et critiques minutieuses m’ont aidée à préciser mes conclusions et à améliorer mon texte.

3Mon mémoire d’habilitation n’aurait jamais pu exister sans l’exigence toujours magnanime de Ségolène Demougin. Sa rigueur méthodologique et scientifique s’est avérée fondamentale dans ma réflexion. Mes remerciements s’adressent également à Jean-Pierre Bost, pour m’avoir transmis son savoir, pour m’avoir témoigné générosité et patience tout au long de la réalisation de ce travail, mais aussi tout au long de ma vie de chercheur.

4Pour mener à bien cette publication, j’ai pu compter sur l’aide de collègues espagnols et portugais. Les liens d’amitié que j’ai noués avec eux au gré de mes travaux précédents dans la péninsule Ibérique, m’ont permis de publier les illustrations, qui viennent conforter l’intérêt de ces deux volumes. Je tiens donc à remercier chacun et chacune pour sa générosité scientifique et humaine, et plus particulièrement Helena Gimeno, directeur du Centro CIL II d’Alcalá de Henares et ses collaborateurs, Pablo Rodríguez Alonso et Helena Lorenzo Ferragut, qui ont satisfait mes demandes sans compter leur temps et les dérangements qu’elles pourraient occasionner. Joaquín Gómez Pantoja m’a fait l’honneur de mettre à ma disposition les illustrations d’Hispania Epigraphica Data Base online et je l’en remercie chaleureusement. Ma gratitude va aussi à José Manuel Abascal, Javier Andreu, Pierre Aupert, José Beltrán, Jean-Pierre Bost, María Luisa Cancela Ramírez de Arellano, Antonio Caballos, Jonathan Edmondon, José d’Encarnação, Delfin Ferreira, Virginia García Entero, Helena Gimeno, Julián González, Diana Gorostidi, Carmen Guiral, José Luis Jiménez, Angel Jordán, Gerardo Kurtz, María Angeles Magallón Botaya, Manuel Martín-Bueno, Trinidad Nogales Basarrate, Juan José Palao, Mauricio Pastor, Manuel Ramírez Sánchez, Jesús Salas Álvarez, José Carlos Saquete, Alejandro Sosa Suárez, Armin U. Stylow et Javier Torrero, pour les clichés qu’ils ont bien voulu me prêter. Je remercie également les institutions qui m’ont envoyé des données graphiques : Berlin-Brandenburgische Akademie der Wissenschaften. Corpus Inscriptionum Latinarum (Manfred G. Schmidt et Andreas Faßbender en particulier), Deutschen Archaeologischen Instituts de Madrid, Consejería de Cultura de la Junta de Andalucía, Museo de Algeciras, Museo Arqueológico Nacional (MAN), Museu de Arqueologia de Catalunya-Barcelona, Museu Arqueològic de Dénia, Museu Arqueològic d’Eivissa i Formentera, Museo de Jaén, Museu de Mataró, Museo de Palencia, Museo de Sevilla, Museo arqueológico de Tarragona (MNAT), Museo Nacional de Arte Romano de Mérida (MNAR), Museo Arqueológico de Sevilla, Museu de l’Almodí, Xativa.

5Ma reconnaissance est importante envers l’Université de Saragosse, où j’ai fait les dernières corrections de ce travail, portée par l’aide et l’amitié de M. Martín-Bueno et M. A. Magallón Botaya.

6J’exprime ma gratitude à Pierre Aupert, Muriel Petit et surtout Natacha Roglet pour leurs relectures attentives qui ont permis d’améliorer sensiblement l’écriture de l’ouvrage, à Rosario Hernando qui, comme toujours, m’a guidée tout au long de mes recherches dans les manuscrits épigraphiques et à Christine Larrazet, pour toutes nos conversations sur la sociologie et l’anthropologie.

7Enfin, cet ouvrage n’aurait pu voir le jour sans les encouragements et l’écoute de tous les membres d’Ausonius. Je remercie le Pôle Humanités Numériques, en particulier Martine Courrèges-Blanc, pour la réalisation des cartes. Ma dette est grande envers le service de publications de cet institut, envers son directeur, Olivier Devillers, qui a bien voulu accueillir mon livre, envers Geneviève Verninas qui a amélioré les photos et réalisé les stemmata, envers Nathalie Tran, qui a réalisé la mise page avec une patience et une technicité remarquables et envers Stéphanie Vincent pour avoir, une fois encore, déployé sa grande imagination pour créer la couverture.

8Enfin, j’adresse mes plus sincères remerciements à tous les membres de ma merveilleuse famille (consanguinei ou adfines) qui m’ont toujours soutenue et encouragée, tout en me permettant de concilier au mieux un travail exigeant avec une vie presque normale.