Les auteurs
p. 155-157
Texte intégral
Michel Ballard Est l’auteur de : De Cicéron à Benjamin, Presses du Septentrion, 2007 ; Le Commentaire de traduction anglaise, A. Colin (collection « 128 »), 2007 ; Versus (vol. 1) : repérages et paramètres et Versus (vol. 2) : des signes au texte, Ophrys, 2003 et 2004. II a coordonné 14 collectifs et actes de colloques parus aux Presses du Septentrion et chez Artois Presses Université. Ses recherches portent sur l’histoire de la traduction et l’épistémologie de la traductologie ; il conçoit la traductologie (« traductologie réaliste ») comme une démarche d’investigation de la traduction faisant intervenir l’observation de corpus de textes traduits et intégrant les facteurs humains, sociologiques et culturels qui président à leur production.
Catherine Delesse Est Professeur à Nancy-Université (Nancy 2), membre du centre de recherches IDEA. Linguiste, elle s’intéresse également à la traduction, notamment des bandes dessinées, particulièrement des séries Tintin et Astérix, ainsi qu’à la relation image-texte dans la BD. Elle a publié en 2009 un livre co-écrit avec Bertrand Richet sur la traduction anglaise d’Astérix, Le Coq gaulois à l’heure anglaise.
Ronald Jenn Est Maître de Conférences à l’Université Charles-de-Gaulle – Lille 3 où il enseigne la traduction et la traductologie. Il a traduit, en collaboration, des nouvelles inédites en français ou devenues introuvables rassemblées dans le recueil : Nathaniel Hawthorne. La Semblance du vivant. Contes d’images et d’effigies, dans la collection « Versions françaises » aux Éditions Rue d’Ulm en 2010. Il est partie prenante du projet Histoire des Traductions en Langue Française, pour la rubrique « Historiens américains » au sein du volume consacré au dix-neuvième siècle à paraître chez Verdier.
Cindy Lefebvre-Scodeller A soutenu en novembre 2009 une thèse en traductologie rédigée sous la direction de Michel Ballard, intitulée « La Présence du traducteur : traduction littéraire anglais-français ». Ses recherches s’articulent autour de la personne du traducteur : à travers l’étude des stratégies de traduction utilisées par les traducteurs, elle définit les implications et les enjeux de la subjectivité, de la créativité ou encore de la récurrence de certaines de ces stratégies. Elle a publié deux articles consacrés au traitement de la figure de la répétition dans les traductions de romans de Virginia Woolf, ainsi qu’un article dédié à la traduction des marques d’oralité dans deux romans d’Irvine Welsh (Trainspotting et Porno). Elle est actuellement PRCE à l’IUT de Lens, dans le département Services et Réseaux de Communication, où elle enseigne l’anglais général et technique à des étudiants de DUT.
Michaël Mariaule Est Maître de Conférences à l’Université Charles-de-Gaulle – Lille 3 où il enseigne la traduction et la traductologie. Il est l’auteur d’une thèse soutenue en 2007 et dirigée par Michel Ballard sur « Les Limites de la traduction : traduction littéraire anglais-français » dont il a alimenté quelques articles (sur la traduction des jeux de mots, des néologismes, la problématique de l’adaptation, pour n’en citer que quelques-uns). Il s’intéresse à l’histoire ainsi qu’à la didactique de la traduction et à ses problèmes théoriques, qu’il s’attache dans la mesure du possible à articuler à la pratique dans le cadre d’une traductologie réaliste.
Florent Moncomble Est agrégé d’anglais, Maître de Conférences en linguistique anglaise à l’Université d’Artois, et auteur en 2008 d’une thèse en psychomécanique du langage consacrée à la détermination zéro en anglais. Ses recherches actuelles portent sur les motivations proprement systématiques qui sous-tendent les phénomènes situés à la marge du langage conventionnel, ainsi que sur l’exploitation des recherches en linguistique dans l’étude d’activités langagières situées à l’interface avec d’autres disciplines – qu’il s’agisse de proposer une systématique comparée appliquée à la traduction, ou de s’interroger sur certains emplois déviants du langage comme par exemple dans la presse ou certaines littératures.
Raluca Anamaria Vida Est docteur en traductologie et littérature comparée (directeur de thèse : M. Michel Ballard et Mme Rodica Pop ; titre de la thèse : « La Retraduction entre fidélité et innovation »). Elle a été boursière du gouvernement français entre 2005 et 2008, assistante universitaire à l’Université Technique du Bâtiment de Bucarest entre 2009 et 2010 (chargée des cours de Traduction économique en langue française et de Théorie et Pratique de la Traduction). Actuellement, elle est traductrice et chargée de la presse auprès de l’Ambassade de la République Algérienne Démocratique et Populaire à Bucarest. Elle est également traductrice littéraire (du français vers le roumain et du roumain vers l’anglais).
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Pour une interdisciplinarité réciproque
Recherches actuelles en traductologie
Marie-Alice Belle et Alvaro Echeverri (dir.)
2017
Le double en traduction ou l’(impossible ?) entre-deux. Volume 1
Michaël Mariaule et Corinne Wecksteen (dir.)
2011
Le double en traduction ou l’(impossible ?) entre-deux. Volume 2
Michaël Mariaule et Corinne Wecksteen (dir.)
2012
La traduction dans les cultures plurilingues
Francis Mus, Karen Vandemeulebroucke, Lieven D’Hulst et al. (dir.)
2011
La tierce main
Le discours rapporté dans les traductions françaises de Fielding au XVIIIe siècle
Kristiina Taivalkoski-Shilov
2006
Sociologie de la traduction
La science-fiction américaine dans l’espace culturel français des années 1950
Jean-Marc Gouanvic
1999