Education des filles et droits des femmes en Amérique au XIXe siecle : Catharine Esther Beecher, 1800-1878
p. 53-60
Texte intégral
Catharine Beecher, pédagogue de renom, dédie en 1869 son ouvrage, The American Woman’s Home « aux femmes qui tiennent entre leurs mains le destin de la République ». « Le destin de la République » ? Comment imaginer plus haute mission ? C’est du pouvoir qui leur est dévolu en tant que mères de citoyens et en tant qu’éducatrices de ces mêmes citoyens que parle C. Beecher, comme certaines féministes européennes à la même époque. Sur cette idée démesurée de la vocation féminine s’articulent son discours antiféministe et son système pédagogique.
1Nous sommes dans l’Amérique jacksonienne (présidence d’Andrew Jackson 1829-1837), décentralisée, démocratique – sauf pour les noirs et les femmes – où triomphe la libre entreprise et où le self made man, fier de ses « droits naturels », se croit tout puissant. Elle est parcourue par un vaste courant réformateur et émancipateur. Catharine Beecher figure dans cette mouvance jacksonnienne. Mais l’idéal féminin de cette Protestante, puritaine et rigoriste s’oppose au modèle qu’élaborent les partisans des droits des femmes à partir des années 1830-40. A la revendication d’espace public, Beecher oppose la sphère privée, à la cité la famille, au projet égalitaire l’ordre patriarcal et une essence féminine. Dans la logique de sa haute considération pour les femmes, elle recherche obstinément des modes d’influence culturelle qui situent celles-ci au centre de la vie nationale. Elle mettra au point une injonction non contradictoire – les femmes sont « supérieures et sujettes »1 qu’elle illustrera dans des ouvrages et projets divers.
2En plein essor du mouvement de réformes, qui ouvre un espace nouveau à l’action des femmes dans le domaine philanthropique, les croisades antialcoolique et abolitionniste notamment, Catharine Beecher se range aux côtés du conservatisme clérical hostile à l’action militante féminine.
3On peut se demander ce qu’il advint de la définition essentialiste du féminin inhérente à la spiritualité du protestantisme évangélique, qui privilégie l’initiative morale des femmes et définit les frontières du privé et du public selon le genre. Cette vision du monde disparait-elle des perspectives de celles qui luttent pour les droits sociaux et politiques des femmes jusqu’à l’obtention du droit de vote en 1920 ?
4Pour tenter de répondre à cette question, j’esquisserai ici la vie et la carrière d’une femme remarquable, porteuse d’une mission éducative qui veut embrasser l’ensemble du continent américain. Non sans paradoxe, son itinéraire présente une cohérence du point de vue de la classe et de l’origine sociale : Catharine Beecher appartient sans ambiguïté aux classes moyennes, blanches, originaires de Nouvelle Angleterre, dites WASP.
1. Naissance d’une carrière – famille, religion, éducation
5Catharine Esther Beecher naquit en 1800 du couple Lyman et Roxanna Beecher. Elle est l’ainée de huit enfants, treize en tout. (Lyman s’était remarié après la mort de Roxanna et aura cinq autres enfants). Quatre filles dans cette famille (dont Harriet Beecher-Stowe et Isabella Beecher-Hooker). Sept de ses frères se font pasteurs. Le plus connu, Henry Ward Beecher, pasteur à Brooklyn, président de l’American Women Suffrage Association, fut impliqué dans un scandale dénoncé par Victoria Claflin Woodhull à la suite de relations adultérines avec Elisabeth Tilton, à la fois une de ses paroissiennes et l’épouse d’un ami.
6Comme Catharine, ses sœurs Harriet et Isabella, femmes également remarquables, croient au pouvoir féminin et participent du « réformisme » jacksonien ambiant, mise en question des valeurs morales, politiques, religieuses, intellectuelles : l’esclavage, les orthodoxies, la famille. En 1852, Harriet Beecher-Stowe, née en 1811, ébranlera l’Amérique avec La case de l’oncle Tom, faisant plus pour ameuter l’opinion publique contre l’esclavage que maint abolitionniste. Elle entendait protester contre le « Fugitive Slave Act » de 1850 qui exigeait la restitution à leur propriétaire des esclaves en fuite. Même si Beecher-Stowe revendique par la suite le suffrage des femmes, c’est au nom de valeurs chrétiennes et familiales que l’auteur choisit de démanteler l’idéologie esclavagiste, ce qui explique en partie l’immense succès de l’ouvrage. Militante féministe connue, Isabella Beecher-Hooker défendait les droits des femmes, tout particulièrement le droit de vote. Quant à Catharine, si conservatrice qu’elle fût, elle veut obstinément réformer l’éducation des filles. Comme beaucoup de ses contemporains, elle croit aux vertus de la diététique et de l’hydrothérapie. Dans la famille, on réforme donc tant et plus.
7Revenons au père, Lyman Beecher, pasteur d’abord à East Hampton, Long Island, puis à Hartford dans le Connecticut, sur la côte est. Sa vocation s’inscrit dans le courant du protestantisme évangélique qui surgit au XVIIIe siécle dans l’état de New York et en Nouvelle Angleterre à l’occasion de « Renouveaux ». Il privilégiait la ferveur, la démocratisation et la sincérité de la vie religieuse contre la hiérarchie et les institutions, (désétablissement des églises). Force vive dans l’Amérique du début du XIXe siècle, cette nouvelle inspiration religieuse encourage l’action philanthropique des femmes qui engendrent les premières revendications d’autonomie.
8Les prédicateurs appelaient les fidèles à la conversion et à consacrer leur vie au Christ. Profondément calviniste, Lyman Beecher croit au péché originel et au salut par la grâce. Pourtant les « œuvres » ou la conduite morale sont aussi déterminants : « grâce » et moralité doivent aller de pair. Au-delà des complexités et contradictions théologiques, Lyman Beecher exerce une forte influence sur sa fille Catharine : leur intimité est intense sur le plan religieux où leurs divergences les rapprochent au lieu de les séparer. Elle résistait par exemple à la conversion, ce qui inquiétait infiniment son père. Mais pour cette calviniste, l’élaboration des règles morales faisait partie de la religion, de l’introspection et de l’éducation.
9Roxanna, sa mère, meurt en 1816, Catharine s’occupe des jeunes enfants, même après le remariage de Lyman l’année suivante. Dès l’âge de quinze ans, dans cette famille nombreuse, elle fait l’apprentissage sur le tas du travail domestique. (On peut se demander si cette obligation précoce de mère de famille ne l’incita pas à rester célibataire malgré tous ses discours sur la sainteté et le pouvoir des mères...).
10Quelle fut son éducation scolaire ? Elle fréquente une petite école primaire à Lichtfield et brille sans difficulté : on ne demande pas grand chose aux petites filles à l’âge de dix ans. Chez elle, elle se prépare au mariage par ses activités domestiques, cultive les arts d’agrément de rigueur, piano, poésie et enseigne un peu à New London.
11C’est en 1823 jusqu’en 1831, que se concrétise sa vocation : elle crée le Hartford Female Seminary avec l’aide de huit professeurs, une étape importante dans l’éducation des filles. En 1818, Emma Willard fondait le Troy Female « Seminary » NY ; Sarah Moulson une école secondaire du même genre à Adams, dans le Massassuchetts, fréquentée par Susan B. Anthony. A Hartford, Beecher poursuit deux objectifs pédagogiques : formation religieuse et rigueur intellectuelle. Bien que rebelle à la conversion pour elle-même, elle organise un « renouveau » dans l’école même : chaque jour les élèves se réunissent pour pratiquer un examen de conscience et prier. Elle innove en matière d’éducation des filles, qu’elle n’entend former ni à briller ni à décorer les salons mais à se rendre utiles. Les élèves étudient toute un gamme de matières, rarement conseillées aux filles, logique, rhétorique, philosophie, chimie, histoire, latin, algèbre. Catharine Beecher accorde une importance égale à la formation morale et à l’apprentissage intellectuel et, pendant ces années, elle déplace progressivement la priorité accordée à la religion vers l’enseignement de règles de conduite morale et sociale.
12Ses activités, liées au Seminary fréquenté par des jeunes filles de bonne famille, lui donnent dans la ville de Hartford une place respectée sur le plan social, culturel et religeux et la rapprochent de son père qui lui soumet souvent ses sermons. Elle réussit pour un temps à jouer un rôle dans le leadership culturel et religieux local.
13Inspirées par sa croyance en la dignité des femmes, les réformes pédagogiques de Catharine Beecher ne se limitaient pas seulement au cursus éducatif. Consciente du désastreux état de l’emploi féminin, ses projets pédagogiques visaient à dispenser une formation professionnelle aux femmes et à les rémunérer correctement. Elle va jusqu’à suggérer de faire de l’enseignement un domaine féminin réservé. A Hartford comme à Cincinnati, elle s’efforce d’obtenir pour ses établissements un financement par des institutions privées et d’Etat.
14En 1831, Angelina Grimké, fille d’un grand planteur de la Caroline du Nord, devenue Quaker et abolitionniste, passe quelques jours au Hartford Seminary. Elle note les activités philanthropiques de Catharine Beecher qui court les prisons et s’active pour les sourd-muets et les indiens Cherokee et monte à cheval chaque jour. Frappée par l’atmosphère de respectabilité et de raffinement qui n’exclut pas l’action charitable, Angelina ne donna pas suite à son projet d’étudier à Hartford. Mais elle et sa sœur Sarah, à l’avant-garde de la jonction entre lutte contre l’esclavage et droits des femmes, vont quelques années plus tard, en 1837, s’affronter à Catharine Beecher.
Une Protestante de Nouvelle Angleterre dans l’Ouest
15En 1832, Lyman Beecher est nommé directeur du Lane Theological Seminary à Cincinnati, Ohio, et persuade sa fille de le suivre. A la lisière du Sud esclavagiste, Cincinnati sera de plus en plus un lieu d’affrontements entre partisans et adversaires de l’esclavage. Ainsi, Lyman Beecher plutôt opposé à l’anti-esclavagisme, se rangera aux côtés de l’administration contre les étudiants abolitionnistes de Lane, dont Théodore Weld (qui épousera Angelina Grimké) est l’un des plus actifs. Non seulement ce dernier combattait l’esclavage mais entendait fréquenter des Noirs, ce que n’admettait pas Lyman Beecher. Devant la menace de dissolution du groupe abolitionniste, Weld et ses amis quittèrent Lane pour fonder Oberlin College, désormais un haut lieu antiesclavagiste. Oberlin fut aussi le premier établissement d’enseignement supérieur à admettre les femmes (Lucy Stone, Antoinette Brown).
16Quant à Catharine Beecher, elle espère poursuivre sa carrière de pédagogue sur un terrain nouveau et stimulant, et entreprend, comme à Hartford, de se faire une place au sein de la bonne société et des clubs littéraires de Cincinnati.
17Les idées qu’elle expose dans la foulée traduisent son ambition de forger la moralité de la nation en marche. An Essay on the Education of Female Teachers (1835) explique le besoin de former un corps d’éducatrices aptes à civiliser la nouvelle population immigrée, pour faire obstacle à l’anarchie et à l’immoralité. Elle évaluait à 90 000 le nombre de ces professeurs « énergiques et de bonne volonté », des femmes bien entendu, requis pour éduquer ces petits sauvages dans le respect de la morale et de la religion. Mais ce discours condescendant déplut à Cincinnati, la « Londres de l’Ouest » et le « Western Female Institute » créé par Beecher en 1833, périclita très vite, faute de fonds. Elle s’aliéna la bonne société locale qu’indisposait l’arrogance de cette famille transplantée de la Nouvelle Angleterre et qui se croyait seule dépositaire d’un système universel de valeurs.
18De retour dans la région de Boston, Catharine Beecher va bientôt s’opposer à Angelina et Sarah Grimké qui, depuis leur départ de la Caroline du Sud, s’orientent de plus en plus vers la double lutte, contre l’esclavage et pour l’émancipation des femmes. Depuis 1835, les deux sœurs, après leur passage dans les milieux Quaker de Philadelphie, suivaient une formation militante, dispensée justement par Theodore Weld, après son passage au Lane Seminary puis à Oberlin College. S’impliquant de plus en plus dans ce mouvement, elles prennent la parole devant les chambres de l’Etat du Massachussets, parlent non plus en petit comité mais dans les églises, devant des auditoires mixtes, entreprennent des tournées, tout en continuant à écrire des brochures abolitionnistes. C’est en juillet 1837 qu’une « Lettre pastorale », émanant d’un groupe d’ecclésiastiques du Massachussetts et lue en chaire, condamne catégoriquement le comportement asexué (unsexed) des « ladies from South Carolina ». Cette lettre, également arme politique, condamne aussi la tendance abolitionniste radicale (garrisonienne). Elle dénonçait les « dangers qui menacent la Femme ». Celles que la lettre ne nomme pas (les sœurs Grimké) « s’oublient au point de s’exhiber publiquement comme conférencières ». Or, selon le Nouveau Testament, prétendaient les pasteurs, c’est dans sa dépendance et sa faiblesse que réside « la force des femmes ». Mais lorsque, « en public et dans le rôle de réformateur », elle prend le ton et la place d’un homme, »... « elle s’éloigne de la Nature ». Et ces autorités religieuses de la comparer à la vigne « dont la force et la beauté consiste à s’appuyer sur l’espalier... ». Les sœurs Grimké ripostèrent par de savantes exégèses bibliques démontrant l’égalité des hommes et des femmes dans les domaines de la morale et de l’action et continuèrent à parier en public, malgré les manifestations d’hostilité.
19On ne s’étonnera pas de voir Catharine Beecher faire chorus et contredire publiquement Angelina Grimké, lors de tournées sur la côte est ce même été. Dans un opuscule, Essay on Slavery and Abolitionism, publié en 1837 en réponse à celui d’A. Grimké, Appeal to the Christian Women of the South, (1836), Beecher disait haïr l’esclavage mais considérer l’abolitionnisme comme un mouvement anti-chrétien, malséant et déplacé pour les femmes : car le pouvoir féminin, selon elle, ne devait jamais s’exercer directement. Elle excluait aussi de la sphère féminine les fameuses pétitions au Congrès, instrument courant de la pratique politique abolitionniste et féministe. « C’est aux hommes qu’il appartient de s’adresser aux autorités », dit-elle, les femmes peuvent tout au plus chercher à les influencer.
20Ce conflit illustre les définitions contradictoires du rôle social des femmes. Beecher et Grimké partent l’une et l’autre d’une volonté de réforme de la condition dévalorisée des femmes qu’elles tiennent en haute estime. Mais à partir de là, la conception des rôles de genre divergent. Beecher croit à une nature féminine à vocation d’influence dans et à partir de la famille. Tandis que les Grimké, par leurs convictions et leur pratique militante, veulent voir reconnaître l’égalité entre les sexes sur le plan moral, politique et social. Elles expriment les premières revendications féministes.
Elargissement du message
21Progressivement, Catharine Beecher s’adresse à la nation américaine tout entière. En 1852, elle fondait l’American Woman’s Educational Association, pour aider à la fondation du Milwaukee Female Seminary. Elle avait déjà proposé de fournir aux Etats de l’Ouest des professeurs formées par elle-même. De 1840 à 1850, elle publie plusieurs ouvrages sur la mission féminine, A Treatise on Domestic Economy… The American Woman’s Home en 1869 avec Harriet Beecher-Stowe, à la fois manuel d’enseignement ménager et hymne à la féminitude américaine.
22Ce n’est pas en raison de leur infériorité qu’elle enjoint aux femmes de rester au foyer ; c’est au contraire pour les situer au sein de l’institution universelle de la famille, au centre moral de la nation et de la culture. Soucieuse aussi de renforcer la cohésion du pays, soumis à différentes forces centrifuges, elle fait un sort à une idée morale en vogue, la soumission du moi au bien général, qu’elle traduit en valeurs « féminines », par l’abnégation de la mère. Cette règle paradoxale de leadership devient l’idée force de son système éducatif et philosophique, selon la formule, « supérieures et sujettes », (superior and subordinate).
23Il lui paraissait en effet salutaire que les femmes, au demeurant privées de vote et subordonnées aux hommes dans la relation conjugale, n’entrent pas en concurrence avec le sexe masculin : il fallait donc les convaincre de s’affirmer par le sacrifice de soi et par l’exercice d’une influence de nature aussi subtile que les « gouttes de pluie tombées du ciel » qui « vivifient la terre ». Ainsi, par ce discours répétitif et mystificateur, Catharine Beecher entendait enfermer dans la famille les femmes, gardiennes du phare de la moralité publique et dépositaires d’un pouvoir fictif que lui attribuent de toute éternité les chantres de la Nature féminine.
Conclusion
24A l’ère de « réforme », Catharine Beecher exaltait le culte de la sphère féminine et de la vocation familiale des femmes. Mieux, elle entendait faire de ces notions une panacée pour porter remède aux maux de la nation.
25Mais elle a 30 ans en 1830 : les mouvement abolitionniste et antialcoolique sont en route et s’orientent vers une autonomie de fait pour les femmes. Elle est donc contemporaine de l’émergence du Mouvement pour les Droits des femmes par lequel s’affirmait progressivement une vision nouvelle des rôles.
26La révolte sociale, légale et politique, prend forme en 1848, lors de la première Convention : les pionnières de Seneca Falls y prononceront un réquisitoire contre toutes les formes d’oppression envers les femmes et dresseront une liste exhaustive de leurs revendications.
27Dans un processus d’émancipation lent et irrégulier, les femmes s’acheminent peu à peu vers l’être à part entière. Mais la problématique des droits « naturels » et le discours d’une Ernestine Rose sur la construction sociale des sexes n’oblitèrent pas pour autant la nébuleuse d’idées et de croyances qui avaient inspiré l’action féminine au début du siècle. La polarisation sur le « domaine féminin », qui pose une nature spécifique, chargée des plus nobles missions, reste présente, parmi les pionnières des Droits des femmes, notamment dans la critique du mariage, vu comme le symbole de l’esclavage des femmes.
28Les débats de la Convention Nationale de 1860, où Elisabeth Stanton mit hardiment la question de la libéralisation du divorce à l’ordre du jour, révélèrent la vigueur des arguments essentialistes. La reverende Antoinette Brown-Blackwell, tout en revendiquant l’égalité de genre, maintenait qu’il était du devoir de l’épouse de se sacrifier à sa famille et au salut de son pecheur de mari. Ainsi doit-on conclure à la diversité des fondements idéologiques des féministes au dix-neuvième siècle. La conception mystique et mythique d’une FEMME exerçant le pouvoir par sa faiblesse, celle de Catharine Beecher, fera toujours plus ou moins partie de l’arsenal des arguments en faveur de la défense et de la valorisation des femmes.
Notes de bas de page
1 Catharine Beecher, Treatise on Domestic Economy for the Use of Young Ladies at Home and at School, Boston, Th. Webb, 1843.
Auteur
Université de Paris VII
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