Les gages de Sganarelle
p. 31-38
Texte intégral
1Cet essai s’attachera à cinq mots. Ou plutôt un seul, répété cinq fois. Dans les éditions récentes du Dom Juan de Molière – par exemple celle de Joan Dejean ou de Georges Forestier et Claude Bourqui1 – comme dans ses représentations actuelles, la pièce se termine avec la déploration de Sganarelle, demeuré seul en scène après que la statue du Commandeur a foudroyé son maître :
Ah mes gages ! mes gages ! voilà par sa mort un chacun satisfait, Ciel offensé, lois violées, filles séduites, familles déshonorées, parents outragés, femmes mises à mal, maris poussés à bout, tout le monde est content, il n’y a que moi seul de malheureux, mes gages, mes gages, mes gages !
2Ce dénouement est bien connu, mais a-t-il toujours été celui de la pièce ? Pour répondre à cette question, je voudrais suivre cet ultime et bref monologue dans les premières éditions de l’œuvre, dans les textes polémiques qui ont accompagné ses quinze représentations entre le 15 février et le 20 mars 1665, et dans les pièces qui ont porté sur la scène le seigneur libertin et son valet démuni avant Le Festin de Pierre de Molière.
3Le Festin de Pierre, et non Dom Juan, puisque c’est sous ce premier titre que la pièce est désignée dans le « Registre » de La Grange2, l’un des comédiens de la Troupe, qui enregistre les recettes de chacune des représentations. La pièce attira le public : les recettes des six premières représentations dépassèrent les 1700 livres (et pour quatre d’entre elles les 2000 livres), alors que celles de La Princesse d’Élide commencées le 24 mars n’atteignirent jamais les 1000 livres. Pour les sept représentations suivantes, les recettes se maintinrent entre 800 et 1200 livres avant de tomber à 730 puis 500 livres pour les deux dernières – signe, peut-être, d’une certaine désaffection du public. Le titre de la pièce est également Le Festin de Pierre dans le privilège pour sept ans accordé au libraire Louis Billaine le 11 mars 1665. Billaine le fit enregistrer par la communauté parisienne des libraires et imprimeurs le 24 mai 1665, mais il ne publia pas la pièce. Dans sa Vie de Molière, parue en 1705, Grimarest3 en avance une raison : « Molière eut la prudence de ne point faire imprimer cette pièce dont on fit dans le temps une très mauvaise critique ».
4Ce n’est qu’avec l’édition Barbin des Œuvres de Monsieur de Molière parue en 1682, dix ans après la mort de Molière, que la pièce, publiée dans le Tome VII, apparaît sous le titre de Dom Juan ou Le Festin de Pierre, Comedie. Dans cette première édition, Sganarelle ne déplore pas la perte de ses gages. Son monologue se termine comme un sermon dont la terrible fin de Dom Juan serait l’« exemplum ». Après la didascalie qui indique : « Le tonnerre tombe avec un grand bruit & de grands éclairs sur D. Juan, la terre s’ouvre & l’abysme, & il sort de grands feux de l’endroit où il est tombé », le Sganarelle de 1682 déclare :
Voilà par sa mort un chacun satisfait, Ciel offencé, Loix violées, filles seduites, familles deshonorées, parens outragez, femmes mises à mal, maris poussez à bout, tout le monde est content ; il n’y a que moy seul de malheureux, qui après tant d’années de service, n’ay point d’autre recompense que de voir à mes yeux l’impiété de mon Maître punie par le plus épouvantable châtiment du monde.
5Donc, ici, point de « gages ».
6Si le texte publié et joué aujourd’hui nous est connu, c’est grâce à l’édition des Œuvres de M. de Molière publiée en 1683 à Amsterdam par Henri Wetstein. Le Festin de Pierre y est la première pièce du second tome. Fondée sur un manuscrit fidèle au texte joué par la troupe de Molière en 1665, l’édition hollandaise donne à lire ce que l’édition parisienne de 1682 a censuré. Cette censure avait été imposée par le lieutenant général de police qui, une fois les exemplaires imprimés, exigea la suppression de certains passages, obligeant les éditeurs à faire recomposer certains feuillets et cahiers. Mais la censure avait d’abord été autocensure. La prudence des éditeurs avait précédé celle, plus radicale, de Molière puisqu’ils avaient eux-mêmes édulcoré le texte qui avait été représenté – et que nous connaissons grâce à l’édition de Wetstein. Ils avaient, par exemple, supprimé l’épisode du pauvre obligé à blasphémer pour recevoir l’aumône de Dom Juan, qui, finalement, la lui donne « pour l’amour de l’humanité », et ils avaient effacé les gages de la dernière réplique de Sganarelle. Dans les rééditions de son édition, Wetstein, pensant sans doute au marché français, se montra plus timoré. Dans celle de 1693, qui omet la scène du pauvre, Wetstein garde les deux premiers « mes gages ! mes gages ! », mais il ne conclut pas la pièce avec les trois derniers. La « comédie » s’achève avec la leçon toute chrétienne de l’édition parisienne : « Il n’y a que moi seul de malheureux qui après tant d’années de service, n’a point d’autre récompense que de voir à mes yeux l’impiété de mon Maître punie par le plus épouvantable châtiment du Monde ».
7Les pamphlets publiés durant les représentations parisiennes de 1665 permettent de comprendre la prudence de Molière et l’autocensure des éditeurs de 1682. C’est là une seconde histoire des gages. Dans les Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre, composées par un certain sieur de Rochemont4, la mention des gages prend place dans les accusations d’impiété lancées contre Molière. Celles-ci trouvent leur raison, non seulement dans le libertinage et l’athéisme de Dom Juan, mais autant, ou sinon plus, dans les superstitions ridicules de Sganarelle puisque Molière a « mis la défense de la religion dans la bouche d’un valet impudent ». Pour Rochemont, sans doute un proche de la Compagnie du Saint-Sacrement et du prince de Conti, la scène finale est la preuve éclatante que Molière se joue de la foi et de Dieu. Loin de corriger les mœurs et de réprimer les vices, comme il l’affirme, il
couvre cette belle morale d’un feu de charte, et d’un foudre imaginaire, et aussi ridicule que celui de Jupiter, dont Tertullien raille si agréablement ; et qui bien loin de donner de la crainte aux hommes, ne pouvait pas chasser une mouche ni faire peur à une souris : en effet, ce prétendu foudre apprête un nouveau sujet de risée aux Spectateurs, et n’est qu’une occasion à Molière pour braver, en dernier ressort la Justice du Ciel, avec une âme de Valet intéressée, en criant mes gages, mes gages : car voilà le dénouement de la Farce ; ce sont les beaux et généreux mouvements qui mettent fin à cette galante Pièce […].5
8 Le pamphlet indique ainsi que la réplique fut bien dite par Molière, qui jouait Sganarelle, qu’elle fit rire et que, pour les dévots au moins, elle devait être comprise comme une raillerie impie :
[…] le Foudre est un Foudre en peinture, qui n’offense point le Maître, et qui fait rire le valet ; et je ne crois pas qu’il fût à propos, pour l’édification de l’Auditeur, de se gausser du châtiment de tant de crimes, ni qu’il y eût sujet à Sganarelle de railler en voyant son Maître foudroyé ; puisqu’il était complice de ses crimes, et le ministre de ses infâmes plaisirs.6
9Les pamphlets anonymes composés dès 1665 en défense de Molière, la Réponse aux Observations […] et la Lettre sur les Observations […] (peut-être rédigée par Donneau de Visé)7, plaident, au contraire, pour la piété simple, sans malice ni raillerie, de Sganarelle. « Sganarelle a le fond de la conscience bon : et […] s’il ne s’explique pas tout à fait bien, les gens de sa sorte peuvent rarement faire davantage »8, écrit l’auteur de la Lettre, qui ne commente pas les derniers mots du valet. Celui de la Réponse y fait allusion ironiquement, en suggérant au sieur de Rochemont qu’il aurait pu déguiser plus adroitement sa critique haineuse et envieuse s’il avait blâmé fortement Molière « d’avoir fait crier Mes gages, mes gages ! » et s’il avait fait « une invective contre ce valet, en lui montrant quelle était son inhumanité de regretter plutôt son argent que son maître »9. L’impiété imputée à Sganarelle par les Observations est ainsi plaisamment retournée en une supposée « inhumanité » dont un homme de bien (ce que n’est pas le sieur de Rochemont) aurait dû accuser Molière.
10La polémique du printemps de 1665 ne peut être séparée de celle qui a accompagné la représentation du Tartuffe en trois actes donnée à Versailles lors de la Fête des plaisirs de l’île enchantée le 12 mai 1664. Les Observations du sieur de Rochemont font écho à la fureur du parti dévot, qui ne réussit pas à faire interdire la pièce (qui fut jouée en septembre 1664 à Villers-Cotterêts chez Monsieur) mais qui obtint qu’elle ne fût pas représentée par Molière sur la scène du Théâtre du Palais-Royal. Le Festin de Pierre ne pouvait que faire croître leur irritation puisqu’au dernier acte Dom Juan y endosse le rôle du faux dévot : « Il n’y a plus de honte maintenant à cela, l’hypocrisie est un vice à la mode, et tous les vices à la mode passent pour des vertus, le personnage d’homme de bien est le meilleur de tous les personnages qu’on puisse jouer, aujourd’hui la profession d’hypocrite a de merveilleux avantages » (V, 1). Les défenseurs de Molière rappelaient, pour leur part, que les vrais dévots n’avaient rien trouvé de blâmable dans Le Tartuffe et que Le Festin de Pierre n’avait pas éloigné le Roi de Molière. Tout au contraire : le 14 août 1665, écrit La Grange, « la Troupe alla à Saint-Germain en Laye. Le Roi dit au Sieur de Moliere qu’il voulait que la Troupe dorénavant lui appartînt et la demanda à Monsieur. Sa Majesté donna en même temps six mil livres de Pension à la Troupe […] qui prit le titre : la Troupe du Roi ». Molière, quant à lui, recevait depuis 1663 une pension de mille livres au titre des gratifications accordées aux gens de lettres.
11Les derniers mots de Sganarelle sont-ils une invention de Molière ? Répondre à la question sera mon dernier propos. Comme l’a montré Georges Forestier, Molière a pris de grandes libertés par rapport à la tradition théâtrale des Dom Juan. Son libertin est fort différent de ses prédécesseurs. Il n’a pas assassiné le Commandeur après avoir abusé de sa fille, mais il l’a tué en duel. Il ne proclame pas haut et fort son athéisme ou son matérialisme. Son libertinage est celui de la séduction galante et des fausses promesses de mariage qui moquent le sacrement. Libre à l’égard de ses prédécesseurs, Molière modifie l’histoire, transforme les personnages, invente des scènes.
12En va-t-il de même avec les gages de Sganarelle ? On pourrait le penser puisque dans les pièces qui précèdent la sienne, nombreux sont les valets de Dom Juan qui ne déplorent pas la perte de leur état, une fois leur maître foudroyé. Catalinón, dans le Burlador de Sevilla de Tirso de Molina, déclare qu’il ira avertir le père de Dom Juan et demande la protection de deux saints (l’un réel, l’autre inventé) : « Arrastrando como pueda / iré a avisar a su padre. / ¡San Jorge, san Agnus Dei, / sacadme en paz en la calle ! » [ « Me traînant comme je pourrai / j’irai aviser son père. / Saint Georges, saint Agnus Dei, / faites-moi sortir sain et sauf d’ici »]. Dans la tragi-comédie de Dorimond, Le Festin de Pierre ou le Fils criminel, parue en 165910, rééditée comme Le Festin de Pierre ou l’Athée foudroyé en 1665 et plusieurs fois publiée en Hollande comme étant la pièce de Molière, Briguelle n’a rien à déplorer. Après que l’ombre de Dom Pierre, gouverneur de Séville, a entraîné Dom Juan dans les abîmes, le valet trouve immédiatement un nouveau maître en la personne de Dom Philippe, amant de la fille de Dom Pierre. Le dénouement est donc heureux, à défaut d’être édifiant : « Le sort aux bons valets à la fin fait Justice : / Je recouvre un brav’ homme, et je suis désormais / Pour estre plus heureux que je ne fus jamais ». Dans la tragi-comédie de Villiers, qui a le même titre que celle de Dorimond, Le Festin de Pierre ou le Fils criminel et qui fut publiée en 1660, Philipin dit son désarroi et sa détresse, mais sans évoquer ses gages perdus. Il conclut la pièce par un rappel à l’ordre des familles :
Moi, je souffre une perte à nulle autre seconde.
Que je suis malheureux ! ah ! pauvre Philipin !
Voila, voila l’effet de ton cruel destin.
Enfans qui maudissez souvent et Pere et Mere,
Regardez ce que c’est de bien vivre, et bien faire ;
N’imitez pas Dom Juan, nous vous en prions tous,
Car voicy, sans mentir, un beau miroir pour vous11.
13Point de gages non plus dans la réécriture en vers de la pièce de Molière composée en 1677 par Thomas Corneille12 pour que la comédie, retirée du répertoire après la dernière représentation du 20 mars 1665, puisse être jouée par la troupe, sous le titre du Festin de Pierre mais avec un texte édulcoré de tous les passages controversés. Les derniers alexandrins dits par Sganarelle après que son maître a été précipité dans les abîmes tirent la morale chrétienne de l’« exemplum » : « Il est englouti, je cours me rendre Hermite ; / L’exemple est étonnant pour tous les Scélérats ; / Malheur à qui le voit, et n’en profite pas ».
14Pas de gages avant Molière, donc ? L’affirmer serait oublier une autre tradition théâtrale des Dom Juan, celle des comédiens italiens, qui ont représenté tant en Italie qu’à Paris un Convitato di Pietra. Le titre, que l’on peut traduire comme le « Convive » ou le « Convié de pierre », rendait mieux justice à l’intrigue que sa traduction française, « Le Festin de Pierre », résultat d’un contresens qui a confondu convive et banquet et qui obligeait, comme dans les pièces de Dorimond et Villiers, à donner le nom de Dom Pierre au Commandeur. Le valet désespéré par la perte de ses gages apparaît dans un Convitato di Pietra de Giacinto Andrea Cicognini13, représenté en 1632 et publié à Bologne et Venise sans doute en 1663 ou 1666. La plainte de Passarino, « servo a Don Giovanni », n’est pas le dernier mot de la pièce, qui s’achève avec un monologue de Dom Juan en Enfer, mais elle introduit le désespoir du valet, privé de protection et de revenu dans une société caractérisée par la dépendance et le service : « O pover al me Patron, al me salari, è anda a cà del Diavol. Aiut, soccors, ch’al me Patron é precipità. O là zent, a’ n gh’è che al soccorra » [ « O mon pauvre Maître, mes gages, il s’en va dans la maison du Diable. À l’aide, secourez-moi, mon Maître est précipité dans l’abîme. N’y a-t-il personne qui vienne à son secours ? »].
15La mention des gages perdus se retrouve dans les pièces « a soggetto », les canevas à partir desquels les comédiens italiens improvisaient leurs rôles. L’un d’eux, Domenico Biancolelli, qui jouait en habit d’Arlequin dans les pièces représentées par sa troupe à Paris dans la décennie 1660, décrit ainsi son jeu dans la dernière scène du scénario du Convitato di Pietra : « La statue lui conseille [à Dom Juan] de se repentir ; je dis Amen ! Il n’y veut pas entendre, il abîme sous terre. Je m’écrie : Mes gages ! mes gages ! Il faut donc que j’envoie un huissier chez le diable pour avoir mes gages ». Les notes de Biancolelli, traduites au XVIIIe siècle par Thomas-Simon Gueullette, nous approchent de Molière. En effet, sa troupe (alors Troupe de Monsieur) avait partagé le Théâtre du Petit-Bourbon avec les Comédiens Italiens depuis son arrivée à Paris en 1658. Le partage continua au Théâtre du Palais-Royal où Molière s’installa en 1665. Les comédiens italiens y reprirent leur Festin de Pierre dont une représentation fut donnée le 21 janvier 1664 aux dires d’un diplomate allemand qui en fut le spectateur. La plainte de Passarino ou de Biancolelli n’était donc pas inconnue de Molière. Il s’en empara pour en faire les derniers mots de son propre Festin de Pierre.
16Les gages de Sganarelle permettent ainsi d’entrer dans trois histoires du Dom Juan de Molière : celle de sa censure et autocensure, sur la scène comme dans les éditions ; celle de ses interprétations contradictoires, proposées par les dévots ou les fidèles de Molière ; et celle de ses écarts et emprunts par rapport à la tradition qui a porté sur la scène le seigneur libertin et son serviteur. Ce qui démontre, peut-être, que les « histoires connectées » peuvent être écrites en faisant le choix de la plus petite des échelles textuelles.
Notes de bas de page
1 Molière, Le Festin de pierre (Dom Juan), Joan Dejean (éd.), Genève, Droz, 1999 ; Molière, Œuvres complètes, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 2010, t. II, p. 845-907 et p. 1209-1309.
2 Le Registre La Grange de la troupe de Molière, 1659-1685, Bert Edward Young (éd.), Genève, Droz, 1947.
3 Jean Léonor Le Gallois, sieur de Grimarest, Vie de M. de Molière [1705], Georges Mongrédien (éd.), Paris, Brient, 1955.
4 Paris, N. Pepingué, 1665 (éd. dans Molière, Œuvres complètes, op. cit., t. II, p. 1212- 1221).
5 Œuvres complètes, op. cit., t. II, p. 1217.
6 Ibid., p. 1218.
7 Ibid., p. 1222-1228 et p. 1229-1241.
8 Ibid., p. 1234.
9 Ibid., p. 1226.
10 Dorimond, Le Festin de Pierre ou le Fils criminel, Lyon, Antoine Offray, 1659. Voir le texte sur la base Moliere21, http://moliere.paris-sorbonne.fr/base.php?Le_Festin_de_pierre_de_Dorimond.
11 Villiers, Le Festin de pierre ou le Fils criminel, tragi-comédie, traduite de l’italien en françois, par le sieur de Villiers, Paris, Sercy, 1660. Voir le texte sur la base Moliere21, http://moliere.paris-sorbonne.fr.
12 Le Festin de Pierre. Comédie. Mise en vers sur la prose de feu M. de Molière, Paris, à l’image S. Louis, 1683. Voir le texte sur la base Moliere21, http://moliere.paris-sorbonne.fr/base.php?Le_Festin_de_pierre_de_Thomas_Corneille.
13 Giacinto Andrea Cicognini, Il Convitato di Pietra, Venetia, sd. Voir le texte italien sur la base Moliere21, http://moliere.paris-sorbonne.fr/base.php?Il_convitato_di_pietra, et pour les liens entre les deux textes, Claude Bourqui, Les Sources de Molière, Paris, SEDES, 1999, p. 129-134.
Auteur
EHESS – Collège de France Centre de Recherches Historiques
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