Table des matières

Première partie. Un univers textuel à explorer

• Le passé ne se défend pas tout seul
• Le refuge inexploré du corpus antique
• La Fable et le lecteur : une primordiale complicité

• La mythologie en langue vernaculaire
• Ovide : objet de toutes les fascinations
• Une magistrale translation ovidienne

• La General Estoria, parangon des « Ovides Moralisés »
• L’interprétation évhémériste ou historique des fables
• L’interprétation éthique et anagogique des fables
• Conclusion

Deuxième partie. À la Fable épuisée un souffle nouveau

• Le rôle déterminant des traductions
• Les traductions médiévales : une lente prise de conscience
• Un grand précurseur de la traduction « renaissante »

• La traduction devient nouvelle « exemplaire » ou « picaresque »
• La traduction devient nouvelle « pastorale » ou « sentimentale »
• La traduction devient « roman d’aventures »

• L’union sacrée du mythe et de la poésie
• Un authentique espace de création poétique
• Traduction et mimésis

Troisième partie. La mythologie et la science

• Au creux des traductions, l’élaboration d’un genre nouveau
• Un véritable outil poétique
• Les mythographies qui disent leur nom

• Face aux secrets du monde, le poète « rempli de divinité »
• Une théorie scientifique du savoir
• La relativité du savoir, élitisme et prosélytisme

• La fonction étiologique et anthropogonique de la Fable
• La Fable et la science des saisons
• La Fable et l’activité productrice de la Nature

• La Nature, une géographie des dieux
• L’homme, son anatomie astrale, miroir de la cosmogonie des dieux
• L’univers crée comme l’homme procrée

• Le langage des poètes, une divine délégation scripturale
• L’inspiration, un appel aux dieux
• La phase de l’« illumination » et de la « fureur »