1 Kamel Kateb, « Bilan et perspectives des migrations algériennes », Hommes et Migrations, n° 1298, 2012, p. 7.
2 Niek Pas, « Vélocemen, hiverneurs et Algériens, cyclisme et sociabilité sportive en Algérie 1885-1914 », Vingtième Siècle, vol. 4, n° 136, 2017, p. 3-19.
3 Thierry Terret, Histoire du sport, Paris, Presses Universitaires de France, 2007.
4 Nicolas Bancel et Jean-Marc Gayman, Du guerrier à l’athlète, éléments d’histoire des pratiques corporelles, Paris, Presses Universitaires de France, 2002.
5 Didier Rey, Football et société en Oranie coloniale 1897-1962, Mémoire d’Habilitation à Diriger des Recherches, università di Corsica, 2010.
6 Youssef Fatès, « La genèse du football en Algérie », Claude Boli, Yvan Gastaut et Fabrice Grognet, Allez la France, football et immigration, Paris, Gallimard, 2010, p. 99-104.
7 Didier Rey, Football et société en Oranie coloniale 1897-1962, Mémoire d’Habilitation à Diriger des Recherches, università di Corsica, 2010.
8 Didier Rey, « Les identités multiples : Corse et Algérie au miroir du football 1897-1962 », Insaniyat, n° 34, 2006, p. 29-45.
9 Pierre Lanfranchi, « Mekhloufi, un footballeur français dans la Guerre d’Algérie » art. cité.
10 Philip Dine et Didier Rey, « Le football en guerre d’Algérie » art. cité.
11 Youssef Fatès, « Algérie coloniale : les patronages et le sport », Évelyne Combeau-Mari, Sports et loisirs dans les colonies XIXe-XXe siècles, Paris, Le Publieur, 2004, p. 203-218.
12 Didier Rey, Football et société en Oranie coloniale 1897-1962, Mémoire d’Habilitation à Diriger des Recherches, università di Corsica, 2010.
13 Youssef Fatès, « La genèse du football en Algérie » art. cité.
14 Paul Dietschy, « Le football africain, entre domination coloniale et émancipation », Pierre Singaravélou et Julien Sorez, L’Empire des sports, une histoire de la mondialisation culturelle, Paris, Belin, 2010, p. 53-69.
15 Ahmed Cheniki, « Algérie-France, expériences culturelles et aventures ambiguës », Hommes et Migrations, n° 1298, 2012, p. 82-94.
16 Meriem Belabed-Mouhoub, « L’appropriation des activités physiques et sportives en Algérie. Les pionniers et les supports de pénétration durant la période coloniale », Pierre Simonet et Laurent Veray, L’empreinte de Joinville, Paris, INSEP, 2003, p. 421-435 ; Djamel Boulebier, « Élite musulmanes et processus d’acculturation par les activités physiques modernes dans les années vingt : de la Médersienne à l’Avant-garde musulmane de Cirta », Insaniyat, n° 34, 2006, p. 99-129 ; Tayeb Rehaïl, « L’Association Sportive du Khroub (ASK) 1945-1962 : sport et engagement nationaliste », Ouanassa Siari Tengour, Résistance algérienne, histoire et mémoire 1945-1962, Oran, CRASC, 2017, p. 253-275.
17 À partir du 15 mai 1941, sous le régime de Vichy, son application n’est pas très stricte. Avec l’ordonnance du 7 mars 1944 supprimant l’indigénat pénal, c’est la fin de ces circulaires gubernatoriales et la préconisation d’une une nouvelle formule : faire endosser la responsabilité de l’ordre aux présidents des clubs. Youssef Fatès, Sport et politique en Algérie, de la période coloniale à nos jours, Thèse en Sciences politiques, université Paris I, 2002.
18 Youssef Fatès, Sport et Tiers-Monde, Paris, Presses Universitaires de France, 1994, p. 30-31.
19 Philip Dine et Didier Rey, « Le football en guerre d’Algérie » art. cité.
20 Driss Abbassi et Bohrane Erraïs, « Les “Journées Borotra” en Afrique du Nord, sport et politique pour la « Grande France », avril-mai 1941, Outre-mers, vol. 91, n° 342-343, 2004, p. 51-64 ; Jacques Cantier et Éric Jennings, L’Empire colonial sous Vichy, Paris, Odile Jacob, 2004 ; Stanislas Frenkiel, La triple illusion, la tournée de Jean Borotra en Afrique du Nord relatée par L’Auto 11 avril 1941-18 mai 1941, Mémoire de Master 1 STAPS, université Paris-Sud, 2004 ; Stanislas Frenkiel, Larbi Ben Barek, Marcel Cerdan, Ali Mimoun et Alfred Nakache aux frontières de l’assimilation, essai de déconstruction des regards posés sur quatre champions nord-africains de l’apogée de L’Auto, Paris-soir et Gringoire à la fureur épuratrice 1936-1944, Mémoire de Master 2 STAPS, université Paris-Sud, 2005.
21 Pierre Arnaud et Richard Holt, « Quelques conclusions », Pierre Arnaud et James Riordan, Sport et relations internationales, les démocraties face au fascisme et au nazisme 1900-1941, Paris, L’Harmattan, 1998, p. 325-334.
22 Youssef Fatès, Sport et politique en Algérie, de la période coloniale à nos jours, Thèse en Sciences politiques, université Paris I, 2002.
23 Philip Dine et Didier Rey, « Le football en guerre d’Algérie » art. cité.
24 Youssef Fatès, Sport et politique en Algérie, de la période coloniale à nos jours, Thèse en Sciences politiques, université Paris I, 2002.
25 Youssef Fatès, « Le club sportif, structure d’encadrement et de formation nationaliste de le jeunesse musulmane pendant la période coloniale », Nicolas Bancel, Daniel Denis et Youssef Fatès, De l’Indochine à l’Algérie, la jeunesse en mouvement des deux côtés du miroir colonial 1940-1962, Paris, La Découverte, 2003, p. 150-162.
26 Youssef Fatès, « Les marqueurs du nationalisme : les clubs sportifs musulmans dans l’Algérie coloniale », Quasimodo n° 3-4, 1997, p. 121-129.
27 Michel Pastoureau et Dominique Simonnet, Le petit livre des couleurs, Paris, Points, 2014.
28 Javi Rey, Bertrand Galic et Kris, Un maillot pour l’Algérie, Paris, Dupuis, 2016.
29 Lors de la saison 1938-1939 puis de 1948 à 1950, ce plafond descend à deux.
30 Né en 1905 à Alger, formé au Gallia Sports Alger, Alexandre Villaplane est le fils unique d’un artisan tonnelier. Il s’installe en 1919 avec ses parents dans les environs de Sète avant de mener une carrière de footballeur professionnel. Capitaine des Bleus lors du Mondial 1930 en Uruguay, il s’engage ensuite dans la Collaboration. Il est jugé et condamné à mort en 1944 pour haute trahison, intelligence avec l’ennemi, meurtres et actes de barbarie. Olivier Villepreux, Samy Mouhoubi et Frédéric Bernard, « 1944, occuper le terrain », Olivier Villepreux, Samy Mouhoubi et Frédéric Bernard, Débordements, sombres histoires du football 1938-2016, Paris, Anamosa, 2016, p. 29-57.
31 Jean-Pierre Alba, Edmond Allouch, Antonio Alméro, Christian Amand, Roland Amar, André Ascencio, Jean Avellaneda, René Bernardi, Lucien Bohé, Jo Blasco, Joseph Botella, Joseph Brotons, Jean-Pierre Buadès, Charly Camand, Marcel Carisio, Roger Couard, Émile Dahan, Maxime Deschizeaulx, Jacques Ferrari, Louis Ferry, Yvon Giner, Richard Guérin, François, Louis et Pierre Landi, Paul Levin, Armand Liberati, Pierre Lubrano, Lucien Magnon, Camille Malvy, Raymond Menjou, Lucien Mercadal, François Mercurio, Yves Moknachi, Christian Oliver, Vincent Pappalardo, Antoine Pascual, Roger Pellegrino, Lucien Perpère, André Philippot, Pierre Ponsetti, René Rebibo, Claude Rocamora, Jules Salvador, Max Sellal, René Sintes, Guy Sparza, Georges Taberner, Georges Tallieu, Jean-François Tenneroni, Jean Testa, Jean Vadel, René Vernier, Michel Vicidomini, René Vidal et Joseph Vincent. André Giamarchi conserve son statut amateur pendant toute sa carrière. Hubert Zakine, La mémoire du football d’Afrique du Nord, Murcia, Jimenez Godoy, 1995.
32 Stéphane Mourlane, « L’OM, un club aux couleurs de l’immigration maghrébine à Marseille ? », Migrance, n° 29, 2008, p. 117-121.
33 Pierre Singaravélou et Julien Sorez, « Introduction, pour une histoire transnationale du sport », Pierre Singaravélou et Julien Sorez, L’Empire des sports, une histoire de la mondialisation culturelle, Paris, Belin, 2010, p. 21-49.
34 Jean Eskenazi, « A huit jours de la reprise en football », Paris-soir, 15 août 1938, p. 12.
35 Pierre Lanfranchi et Alfred Wahl, Les footballeurs professionnels des années 1930 à nos jours, Paris, Hachette, 1995.
36 Djamel Eddine Derdour, De l’étoile nord-africaine à l’indépendance : itinéraire d’un homme politique engagé, Paris, L’Harmattan, 2002.
37 Olivier Chovaux, « La vitalité du football français avant 1945 », Didier Demazière et Williams Nuytens, Un monde foot, foot, foot ! Condé-sur-Noireau, Corlet-Panoramiques, 2002, p. 43-48.
38 Stéphane Mourlane, « L’OM, un club aux couleurs de l’immigration maghrébine à Marseille ? » art. cité.
39 Stanislas Frenkiel, « L’ambivalence médiatique française sur la “Perle noire” : analyses des représentations de L’Auto et de Paris-Soir », Insaniyat, n° 34, 2006, p. 83-97 ; Stanislas Frenkiel, « Larbi Ben Barek, Marcel Cerdan et Alfred Nakache : icônes de l’utopie impériale dans la presse métropolitaine 1936-1944 ? », STAPS, n° 80, 2008, p. 89-102 ; Stanislas Frenkiel et David-Claude Kemo-Keimbou, « La Mission FFA-L’Auto : “pourquoi négliger nos noirs d’Afrique” ? 3 décembre 1937-15 janvier 1938 », Modern and Contemporary France, vol. 18, n° 1, 2010, p. 33-50.
40 Anonyme, « L’affaire des réformes frauduleuses de Marseille », Le Populaire, 18 août 1938, p. 2.
41 Ahmed Ben Bella, Itinéraires, Alger, Éditions Maintenant, 1990 ; Omar Carlier, « Ben Bella : l’homme, le mythe et l’histoire », Confluences Méditerranée, 2012, vol. 2, n° 81, p. 41-54.
42 Benjamin Stora, Aide-mémoire de l’immigration algérienne 1922-1962, Paris, Ciemi-L’Harmattan, 1992.
43 Alfred Wahl, « Football et jeux de ballon », L’Empire du sport, CAOM, 1992, p. 46-47.
44 Saïd Ben Arab à Bordeaux et Mustapha Labacci à Sète en 1944 ; Boumedienne Abderrahmane à Sète, Mohamed Azzouz à Lyon et Ahmed Firoud à Rennes en 1945 ; Mokhtar Arribi, Saïd Hadad et Ahmed Mihoubi à Sète, Tahar Belhadj au Havre, Sliman Guitoun et Nehibi à Perpignan, Abderrahmane Ibrir et Abdallah Naoui à Bordeaux en 1946 ; Abdelaziz Ben Tifour à Nice, Mohamed Bernou à Montpellier, Hamid Bouchouk à Sète et Ben Nehari à Béziers en 1948 ; El-Andaloussi et Ben Samed au Stade Français en 1949 ; Aïssa Barka à Bastia, Rachid Belaid à Toulouse, Saïd Ferrad à Troyes et Omar Nekkache à Marseille en 1951 ; Hamid Kermali à Mulhouse et Amar Kodja à Nantes en 1952 ; Assassi Fellahi à Saint-Étienne, Ahmed Si Mohamed à Grenoble et Mustapha Zitouni à Cannes en 1953.
45 Philip Dine, « Dresser la carte sportive de l’Algérie française” : vitesse technologique et appropriation de l’espace », Pierre Singaravélou et Julien Sorez, L’Empire des sports, une histoire de la mondialisation culturelle, Paris, Belin, 2010, p. 105-116.
46 Laurent Bocquillon, « Les footballeurs maghrébins sur la Côte d’Azur », Migrance, n° 29, 2008, p. 110-116.
47 Michel Naït-Challal, Les dribbleurs de l’indépendance, Paris, L’Équipe, 2008.
48 Jacques De Ryswick, « Inquiétude croissante dans le football français, à dix jours d’Allemagne-France », L’Équipe, 8 octobre 1954, p. 1.
49 Jacques De Ryswick, « C’est la véritable Équipe de France qui jouera contre les Nord-Africains (pros) », L’Équipe, 7 octobre 1954, p. 11. Né en 1926 à Sidi-Bel-Abbès, Manuel Garriga est le seul footballeur non musulman de cette sélection. De 1946 à 1957, ce défenseur central dispute 328 matchs professionnels principalement aux Girondins de Bordeaux avec qu’il est Champion de France en 1950 et double finaliste de la Coupe de France en 1952 et 1955. Il est sélectionné en Équipe de France le 1er novembre 1950 pour un match nul contre la Belgique. Il décède à son poste de docker au port de Bordeaux en 1983.
50 Anonyme, « Après une excellente partie de nos représentants, la sélection nord-africaine bat la sélection métropolitaine », L’Écho d’Alger, 8 octobre 1954, p. 4.
51 Yvan Gastaut, « Une victoire prémonitoire, le match France-Afrique du Nord d’octobre 1954 », Claude Boli, Yvan Gastaut et Fabrice Grognet, Allez la France, football et immigration, Paris, Gallimard, 2010, p. 97.
52 Mehdi Benbassal, « Draoua Habib, ancienne gloire du football algérien, ex-joueur et entraîneur 1928-1983 », La voix de l’Oranie, 5 juillet 2001, p. 22.