Auteurs
p. 185-187
Texte intégral
Ancienne normalienne, agrégée d’anglais, Marie-Alice BELLE Est professeure agrégée en traductologie à l’Université de Montréal. Sa recherche porte sur les théories, les discours et les pratiques de la traduction en Angleterre aux XVIe et XVIIe siècles, avec un intérêt particulier pour l’intersection entre l’histoire de la traduction et ses domaines connexes (histoire littéraire, études de la réception, écriture féminine, histoire du livre). Elle dirige actuellement un projet de recherche financé par le Conseil de Recherche en Sciences Humaines du Canada sur la place des traductions dans la formation de la culture de l’imprimé en Angleterre entre 1476 et 1660.
Nayelli CASTRO Est professeure adjointe au Département d’Études Latino-américaines de l’Université de Massachusetts Boston. Sa thèse de doctorat (Université d’Ottawa) a porté sur la traduction philosophique en espagnol au Mexique entre 1940 et 1970. Elle a publié sa recherche dans les revues The Translater (2013), MonTI (2012) et TTR (2012). Elle a par ailleurs dirigé le collectif Traducción, identidad y nacionalismo en Latinoamérica (2013).
Raúl Ernesto COLÓN RODRÍGUEZ Est doctorant en traductologie et professeur à temps partiel à l’Université d’Ottawa. Il a travaillé en traduction éditoriale et cinématographique au Canada. Ses travaux ont paru dans diverses revues, incluant TTR, Meta et Circuit (Canada) ; Belas Infieis et Tradução em Revista (Brésil) ; Mutatis Mutandis (Colombie) ; Aspectos de la historia de la traducción en Hispanomérica : autores, traducciones y traductores et Kamchatka (Espagne) ; ReVue (Pologne). Il s’intéresse à la traduction lente (Slow Translation) en traduction collaborative activiste, et aux liens entre traduction, exil et migrations latino-américaines en Amérique du Nord.
Traducteur du portugais, de l’allemand et de langues scandinaves, Roch DUVAL Détient un doctorat en philosophie de l’Université de Montréal. Il a
Álvaro ECHEVERRI Est professeur agrégé au Département de linguistique et de traduction de l’Université de Montréal. Sa recherche porte sur l’enseignement de la traduction, l’histoire de la traduction et la méta-traductologie. Il s’intéresse particulièrement aux approches d’apprentissage centrées sur l’étudiant et aux aspects métacognitifs de la traduction et de son apprentissage. En ce moment, il travaille à la création d’une base de données bibliographiques consacrée aux textes traductologiques traduits en anglais, en français et en espagnol depuis 1970.
Cecilia FOGLIA Est doctorante, assistante de recherche et chargée de cours en traduction à l’Université de Montréal. Sa thèse consiste en une étude de la trajectoire socio-graphique du dramaturge et traducteur italo-canadien Marco Micone. Ses recherches portent sur la sociologie de la traduction, la traduction culturelle et la littérature de migration en traduction. Ses plus récentes publications sont « Tracking the Socio-graphical Trajectory of Marco Micone. A Sociology of Migration by Way of Translation » (chez Lit-Verlag, 2014), et « On translating the “Bible of marketing” », en collaboration avec Hélène Buzelin et Mylène Dufault (dans The Translator, 2015).
Chantal GAGNON Est professeure agrégée au Département de linguistique et de traduction de l’Université de Montréal, où elle enseigne la traduction économique et commerciale. Au cours des années, cette chercheure s’est penchée sur la question de l’idéologie en traduction, dans des corpus aussi variés que les discours politiques ou la presse financière. Elle a publié ses recherches dans des revues comme Meta, Across et Target.
Doctorante en traduction à l’Université de Montréal, Chantale MARCHAND Est éditrice de manuels scolaires aux niveaux collégial et universitaire. Elle a aussi enseigné la stylistique et la grammaire différentielles à l’Université de Trois-Rivières et la traduction à l’Université de Montréal. La conception de manuels et la pédagogie de la traduction constituent ses deux principaux sujets de recherche. Elle s’intéresse en particulier à la dimension psychologique de l’apprentissage ainsi qu’aux thèmes de l’authenticité et de la collaboration en enseignement. Ses travaux ont été publiés dans Meta ainsi que dans Circuit, la revue de l’Ordre des traducteurs, terminologues et interprètes agréés du Québec (OTTIAQ).
Stéphanie ROESLER Est titulaire d’un doctorat en littérature française et traductologie de l’Université McGill, consacré aux cinq traductions du Hamlet de Shakespeare par Yves Bonnefoy. Durant son postdoctorat à l’Université Concordia, elle a élargi ses recherches à d’autres traducteurs français de Hamlet aux XXe et XXIe siècles. Elle a notamment publié des articles dans la revue TTR, dans l’ouvrage Thinking through Translation with Metaphors (2010) et dans le collectif Traduire-écrire (2012). Son premier livre, Yves Bonnefoy et Hamlet : Histoire d’une retraduction, est paru aux éditions Classiques Garnier en 2016.
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Pour une interdisciplinarité réciproque
Recherches actuelles en traductologie
Marie-Alice Belle et Alvaro Echeverri (dir.)
2017
Le double en traduction ou l’(impossible ?) entre-deux. Volume 1
Michaël Mariaule et Corinne Wecksteen (dir.)
2011
Le double en traduction ou l’(impossible ?) entre-deux. Volume 2
Michaël Mariaule et Corinne Wecksteen (dir.)
2012
La traduction dans les cultures plurilingues
Francis Mus, Karen Vandemeulebroucke, Lieven D’Hulst et al. (dir.)
2011
La tierce main
Le discours rapporté dans les traductions françaises de Fielding au XVIIIe siècle
Kristiina Taivalkoski-Shilov
2006
Sociologie de la traduction
La science-fiction américaine dans l’espace culturel français des années 1950
Jean-Marc Gouanvic
1999