« Préhistoire d’une Naissance » : l’écrivain et les discours de savoir à la Renaissance
Quelques aperçus en France
p. 73-79
Texte intégral
1On doit à Alain Viala d’avoir magistralement développé dans son œuvre le programme qu’annonçait dès 1960 Roland Barthes, dans « Histoire ou littérature », selon qui l’histoire littéraire ne pourrait être que sociologique, axée sur l’étude des « fonctions littéraires »1. Histoire générale de la communication littéraire, pour laquelle le XVIIe siècle offrait un terrain de choix, mais qu’on a pu transposer sur le XVIe siècle, avec notamment l’idée selon laquelle la « littérature » d’alors avait dû elle aussi construire son public au moins autant qu’elle avait été construite par les attentes de ce dernier. Le caractère empirique, voire pragmatique, de la production à la Renaissance, autorisait la chose, et il est certain que la demande du public lettré, mais aussi les négociations avec les éditeurs et les imprimeurs, ont souvent déterminé également la naissance des œuvres, autant sinon plus que le respect de telle ou telle grille générique2. Une des récentes sommes parues, L’Histoire de la France littéraire3, semble du reste avoir pris acte de cette orientation globale, pour le XVIe siècle, comme pour la totalité des autres.
2La perspective, cela étant, se heurte à quelques résistances, qui proposent, après avoir pris acte de la nécessité d’articuler bel et bien littérature et institutions, de redonner une teneur à l’« œuvre ». Dans La Littérature française : dynamique et histoire, Georges Forestier et Emmanuel Bury notent ainsi, pour le XVIIe siècle :
La logique et la dynamique propres aux genres littéraires et à l’imitation, portées par la tradition rhétorique et poétique, ne sauraient être dépossédées des déterminations internes qui les font évoluer, et si l’interaction avec la vie sociale et politique doit être prise en compte, il faut éviter de « réduire » sociologiquement la vie des formes et des textes, et rendre au « Parnasse » la part de liberté qui lui revient et qu’il a toujours revendiquée.4
3Autrement dit, la démarche risque de restreindre le potentiel des textes, en les rendant serfs des seules pressions idéologiques et sociales, en somme des pouvoirs. Nous aimerions nous inscrire dans ce sillage, mais nous aussi en amont du Grand Siècle et en développant une approche qui, pour n’être pas tout à fait celle que porte « la tradition rhétorique et poétique » évoquée ci-dessus, réhabilite sans doute tout autant qu’elle la force la spécificité de l’œuvre et, partant, celle de l’« écrivain ».
4Dans l’introduction de son ouvrage Pré-histoires. Textes troublés au seuil de la modernité, Terence Cave écrit :
Chaque texte littéraire est un hapax : même en s’insérant dans une tradition et un ensemble de conventions rigoureuses, il insiste sur sa différence, là où les traités de droit ou de théologie – pour ne pas parler des documents entassés dans les archives – cherchent à établir une authenticité toujours transférable et traduisible. Cette possibilité de « différence », il la doit surtout à l’encodage très complexe qui le caractérise […].5
5Pour Cave, le « texte littéraire » manifeste une « différence » – conception peut-être à rapporter à l’idée de Jean Cohen de la poésie comme « écart », ou encore aux travaux de Michaël Riffaterre autour de l’« agrammaticalité » – par rapport aux produits de l’orthodoxie. Théorie qui n’est pas sans rappeler non plus les cultural studies, mais qui dote ledit texte d’un régime particulier, non pas fondé d’abord sur la conformité à des canons poéticiens, pas vraiment non plus sur une appartenance à la « fiction », mais sur la distance prise par rapport à des discours extérieurs, au statut comme au fonctionnement de ceux-ci. Ainsi, si la « convention » y est évidemment bien présente, le jeu qui s’instaure avec elle le démarque des textes de droit ou de théologie, qui eux chassent l’idiotisme, pour établir des normes. Et c’est ce qui créerait la « littérarité » de l’hapax en question.
6On peut ajouter que la porosité générale du champ des « Belles lettres », au regard des partages qui peu à peu vont prévaloir, est particulièrement accusée à la Renaissance, Renaissance dont Michel Foucault avait le premier souligné l’épistémè singulière, et qui en outre est l’époque d’une intense réflexion sur le classement des disciplines. Et c’est au point que les textes peuvent alors être conçus comme « littéraires » dans la mesure où ils recyclent les divers matériaux du savoir eux-mêmes, les intègrent à leur univers, les détournent de leurs fonctions premières6. La recherche récente a privilégié de tels croisements, étudiant entre autres le droit7 ou encore la philosophie naturelle8 chez divers écrivains, et précisant par là ce qu’on pourrait qualifier de cartographie des relations et voisinages entre « littérature » et discours savants dans l’humanisme. Elle encourage ce faisant une vraie interdisciplinarité, qui ne se résout pas en une dissolution de l’objet « littéraire », mais qui au contraire se fonde sur l’affirmation de ses prestiges. À cette aune, l’« encodage » dont parle Cave ne répond pas vraiment à des stratégies de contournement analogues par exemple à celles des libertins du temps suivant, ou encore à de la provocation comme chez les satiristes ; dans ces deux derniers cas, on reste bon an mal an prisonnier d’une logique de l’opposition et, sous l’égide de la dissimulation ou de la charge, on assigne au texte un rôle passif et à l’auteur celui de trublion ou de trouble-fête.
7Car il s’agit bien, dans cet écart franchement pris avec l’autorité, d’investir une fonction et un espace de parole autres. Et cela, à l’époque, est d’autant plus remarquable quand il en résulte des œuvres sans réelle qualité au regard des poétiques en vigueur. Ainsi, tandis que se constitue, avant la « République des Lettres », avec la Brigade puis la Pléiade en particulier, aussi bien des groupes unifiés que des stratégies d’autolégitimation de leurs productions – séries d’« arts » et autres textes manifestes qui peuvent correspondre au souci de fonder en raison la discipline « littéraire » naissante9 –, des érudits comme Rabelais ou Montaigne, après une carrière qui les a fait passer maîtres dans les savoirs alors les plus en crédit, décident de pratiquer un déplacement, pour accomplir un « dessein farouche et extravagant », selon la formule de Montaigne (Essais, II, 8). Nous examinerons plus particulièrement les « seuils » de leur entreprise respective, décisifs par rapport aux massifs que sont ces dernières.
8Rabelais, donc, d’abord. Après une première vie de franciscain puis de bénédictin, une seconde de médecin10, il publie en 1532 non seulement les Epistolae du médecin italien Manardi, mais encore et surtout, sous l’influence du livret populaire des Grandes et inestimables Cronicques du grand geant Gargantua, à la foire d’automne de Lyon et sous le pseudonyme d’Alcofrybas Nasier, Les Horribles et Épouvantables Faits et Gestes du très renommé Pantagruel, roi des Dipsodes, chez Claude Nourry et non chez Gryphe comme ses ouvrages « savants ». Après notamment la Pantagrueline pronostication pour l’an 1533 vient, en 1534, la VIe inestimable du grand Gangantua, père de Pantagruel : « voilà […] Rabelais installé en littérature »11. Le roman comporte un Prologue qui fera couler beaucoup d’encre, ne serait-ce que parce que dès 1542, dans l’impression qu’il procurera, sans l’aval de leur rédacteur, des deux premiers livres classés désormais selon l’ordre des générations des géants, Étienne Dolet lui conférera pour la première fois sa place liminaire, en ouverture de la geste.
9Il reprend des traits du livre-remède ou pharmacopée de l’« Abstracteur de Quinte essence », déjà présents dans le Prologue du Pantagruel, mais bien davantage que ce dernier traite du mode de lecture qui est requis. Nous ne tenterons pas de fournir une énième analyse de la logique de développements où se problématise l’interprétation « à plus hault sens »12 – l’invitation à celle-ci, comme le fait judicieusement remarquer Romain Menini, ne pouvant de toute façon pas être prise, par définition, au pied de la lettre13 –, mais insisterons sur le fait que le protocole nouvelle manière qui s’édicte dérive de la tradition de l’exégèse des textes sacrés mais aussi profanes, soit pour ceux-ci de la perception d’une prisca theologia à l’œuvre dans les poèmes d’un Ovide au Moyen Âge, ou encore dans ou sous les fables d’Homère selon les néo-platoniciens. Le Prologue du Gargantua porte ainsi à l’un de ses points extrêmes la mise en cause d’une méthode de déchiffrement programmé et quelque peu contraint, mise en cause dont Michel Jeanneret a montré qu’elle traverse le siècle14, et dont on retrouve des souvenirs également dans les Essais15. Toujours est-il que c’est dans un cadre où Rabelais fait parler le narrateur Alcofrybas, inspiré par le vin, que semble pouvoir s’opérer cette distance par rapport à des discours et des gestes orthodoxes, qui s’y trouvent comme gauchis voire parasités ; comme si c’était là, finalement, que pouvait, à partir et sur fond d’une herméneutique officielle, s’inventer quelque chose comme l’« herméneutique littéraire » avant l’heure, brouillant les contours de l’instance dépositaire du message, compliquant comme à plaisir le sens de ce dernier, et attribuant de ce fait un rôle actif au partenaire, sans visage lui non plus, qui est convié à le décrypter.
10Est tracé de la sorte un programme, qui mettra tant en fiction qu’en crise les savoirs constitués, ceux véhiculés par les experts de la « Tétrade pythagorique » convoquée par Pantagruel dans le Tiers Livre, avec en vedettes Trouillogan le philosophe pyrrhonien et Bridoye le juge. Mais plutôt que de nous attarder sur ces personnages, voyons comment, plus de vingt-cinq ans après, Montaigne construit son œuvre-phare à lui par rapport aux disciplines dont ils sont les chantres.
11On le sait, la mort de La Boétie en 1563, puis celle de Pierre Eyquem en 1568, conduisent Michel, alors magistrat, à solder symboliquement des dettes, par la publication de la traduction du Livre des créatures de Sebon demandé par le second, puis celle des œuvres du premier, Discours de la servitude volontaire excepté. Arrive en 1571 le retrait en la tour, consacré par deux inscriptions « votives » selon le terme de Jean Starobinski16, l’une célébrant l’ami perdu, l’autre le souhait du refuge sur « le sein des doctes vierges » (« doctarum virginum sinus »), ce pour compenser un dégoût progressif de « l’esclavage de la cour du parlement » (« servitii aulici et munerum publicorum jamdudum pertæsus »)17. Vie contemplative après vie active, otium après negotium, mais dont le chapitre « De l’oisiveté » (I, 8) des Essais, considéré parfois comme leur préface primitive, dira toute la difficulté. En attendant, l’« estrange entreprise » se bâtit elle aussi en un lieu autre, mais selon cette fois une distinction et une scansion spatiales explicites, voire spectaculaires. Pour autant, elle n’en oubliera pas ce que la nouvelle existence a congédié : ainsi qu’André Tournon l’a montré, parmi les modèles intellectuels qui informent l’« essai » figure la glose humaniste18 ; plus largement, Montaigne oppose les « essais » aux « arrêts », refusant certes d’être « poète, grammairien ou jurisconsulte », mais convertissant en réalité son ancienne fonction en une activité du jugement qui n’a plus rien d’officiel ni d’autoritaire, mais qui sollicite en permanence le libre assentiment d’un partenaire19.
12De surcroît, l’autoportrait très singulier des Essais, qu’annonce le « Car c’est moi que je peins » de l’Avis au lecteur de leur première édition en 1580, tend à modifier en profondeur le visage et les modalités de la philosophie qui sert de socle théorique à l’ensemble, soit le pyrrhonisme, sans doute découvert dans les années 1574-1575, et qui se trouve comme libéré de ses usages chrétiens de l’époque, de « préservatif » voire de censure, pour être immergé et enrôlé dans une activité de déchiffrement de soi. « Brevet de feuilles sibyllines » que les développements de Montaigne, sorte d’équivalents dans la prose d’idées des écrits que la Sibylle de Panzoust, au sein de la fiction du Tiers Livre, laissait s’envoler au vent, laissant Panurge et ses compagnons face à la découverte du sens, au même titre que le lecteur des Essais est chargé de reconnaître sans repère pré-établi les « traits de la peinture ».
13Nous ne cherchons pas à reconstruire des « mythes » ni à réinstaurer une sorte d’« absolu littéraire ». Il serait naïf d’omettre que de telles sommes, dont la production s’étale en sus dans la durée, restent en prise sur l’histoire comme elle va, et sur les déterminations politiques de leur temps. Elles portent au contraire la trace des expériences et autres négociations de leurs auteurs avec les pouvoirs en place : Rabelais subit la censure ecclésiastique et s’engage fortement dans le Quart Livre auprès de la couronne de France, quand Montaigne est gentilhomme ordinaire de la chambre du roi dès 1573, puis réfléchit, dans le chapitre « De ménager sa volonté » (III, 10) des Essais, sur son passage à la Mairie de Bordeaux. Simplement, il nous semble qu’on ne saurait annexer le parcours de nos auteurs à la seule « stratégie sociale »20, et qu’il s’agit pour eux, sans aucunement renoncer à l’extériorité et aux modes d’intervention qu’elle nécessite, d’habiter autrement en leurs œuvres la parole et la langue, de lire autrement le monde, et d’établir autrement le commerce avec autrui.
14De plus, envisager que quelque chose comme le « littéraire » commence alors à se dessiner par confrontation avant toute chose avec les pratiques de savoir, c’est conserver une optique « sociologique ». Mais cette dernière s’arrime d’abord à des données et coordonnées intellectuelles, procède d’une nappe textuelle et du vaste univers de la connaissance. Sans doute cela est-il le propre de l’humanisme érudit, de sa fascination pour la lettre et la science – et également d’un monde où le tissu social n’est pas encore aussi compact que ce qui va prévaloir dès après la Fronde. Mais une voie s’ouvre ainsi, puisque de telles porosités subsisteront dans les périodes postérieures, âges désormais de l’« écrivain » et du « public », et en des ouvrages eux aussi de préférence sans grande « légitimité », comme leurs prestigieux devanciers21.
Notes de bas de page
1 « Que peut-être, littéralement, une histoire de la littérature, sinon l’histoire de l’idée même de littérature ? […] C’est donc au niveau des fonctions littéraires (production, communication, consommation) que l’histoire peut seulement se placer, et non au niveau des individus qui les ont exercées. Autrement dit, l’histoire littéraire n’est possible que si elle se fait sociologique, si elle s’intéresse aux activités et aux institutions, non aux individus » (« Histoire ou littérature », Annales ESC, mai-juin 1960, repris dans Sur Racine, Paris, Le Seuil, 1963 ; rééd. « Points », p. 144-145).
2 Voir sur ce point entre autres Les Arrière-boutiques de la littérature. Auteurs et imprimeurs-libraires aux XVIe et XVIIe siècles, Edwige Keller-Rahbé (dir.), Toulouse, Presses Universitaires du Midi, « Cribles XVIe-XVIIIe siècles », 2010.
3 Histoire de la France littéraire, Michel Prigent (dir.), Paris, PUF, 2006.
4 La Littérature française : dynamique et histoire, Jean-Yves Tadié (dir.), Paris, Gallimard, « Folio essais », 2007, t. I, Moyen Âge-XVIIe siècle, p. 469.
5 Genève, Droz, « Les seuils de la modernité », 1999, p. 12.
6 À cet égard, Terence Cave avait été précédé notamment par la mise au point de Philippe de Lajarte, « De la spécificité du champ littéraire au XVIe siècle : hypothèses de travail », dans Les Méthodes du discours critique dans les études seiziémistes, Paris, SEDES-CDU, 1987.
7 Voir les travaux de Stéphan Geonget, principalement son livre La Notion de perplexité à la Renaissance, Genève, Droz, « Travaux d’Humanisme et Renaissance », 41, 2006.
8 Voir les travaux de Violaine Giacomotto-Charra, et d’abord son livre : La Forme des choses. Poésie et savoirs dans La Sepmaine de Du Bartas, Toulouse, Presses universitaires du Midi, « Cribles XVIe-XVIIIe siècles », 2009.
9 Voir Jean-Charles Monferran, L’École des Muses. Les arts poétiques français à la Renaissance (1548-1610). Sébillet, Du Bellay, Peletier et les autres, Genève, Droz, « Les seuils de la modernité », 2011.
10 On trouvera toutes les précisions nécessaires en particulier dans la biographie procurée par Mireille Huchon, Rabelais, Paris, Gallimard, « NRF Biographies », 2011.
11 Expression empruntée à Alain Viala dans sa récente Histoire brève de la littérature française, Paris, PUF, 2014, p. 207.
12 Pour un état récent du « conflit des interprétations » autour de ce Prologue, voir Tristan Vigliano, « Pour en finir avec le prologue de Gargantua ! », @nalyses, automne 2008, n° 3, p. 263-296.
13 Dans l’« Épilogue » de son ouvrage Rabelais altérateur. « Graeciser en François », Paris, Classiques Garnier, « Les mondes de Rabelais », 2014, p. 969.
14 Voir notamment « Commentaire de la fiction. Fiction comme commentaire », Le Défi des signes. Rabelais et la crise de l’interprétation à la Renaissance, Orléans, Paradigme, 1994, p. 33-52.
15 Nous nous permettons de renvoyer à notre ouvrage Quand « les poètes feignent » : « fantasie » et fiction dans les Essais de Montaigne, Paris, Champion, « Études montaignistes », 2002, p. 130 sq.
16 Montaigne en mouvement, Paris, Gallimard, « Folio essais », 1993 [1982], p. 26 sq.
17 L’inscription est entre autres reproduite dans l’édition des Essais de Pierre Villey et Verdun-Léon Saulnier, Paris, PUF, « Quadrige », 1992 [1924], p. XXXIV.
18 Voir Montaigne, La glose et l’essai [Lyon, Presses universitaires de Lyon, 1983], éd. revue et corrigée, Paris, Champion, « Études montaignistes », 2000. Également, et là davantage autour du témoignage, « Routes par ailleurs ». Le « nouveau langage » des Essais, Paris, Champion, « Études montaignistes », 2006.
19 Voir François Roussel, Montaigne : le magistrat sans juridiction, Paris, Michalon, « Le bien commun », 2006.
20 Expression d’Alain Viala dans Naissance de l’écrivain, Paris, Éd. de Minuit, 1985, p. 202.
21 L’étude de ces relations constitue la ligne de force de la collection Lettres et culture XVIe-XVIIIe siècles (anciennement Cribles XVIe-XVIIIe siècles) des Presses Universitaires du Midi. Consacrée à la littérature française de la première modernité dans sa spécificité historique comme dans celle des questions plus théoriques qu’elle pose, et ouverte aux différentes méthodes de la critique, elle encourage les confrontations entre l’espace « littéraire » et les champs disciplinaires avoisinants, afin de mieux cerner ce qui fait l’originalité du premier dans la période concernée.
Auteur
Université Toulouse - Jean Jaurès Il Laboratorio
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